Réformes Hartz

Au Moyen Âge, la réforme grégorienne est une politique menée sous l'impulsion de la papauté. Si les historiens admettent que le pape Léon IX a commencé le redressement de l'Église, c'est pourtant le pape Grégoire VII qui a laissé son nom à la réforme. De plus, les efforts pour sortir l'Église catholique d'une crise généralisée depuis le Xe siècle se poursuivent bien après le pontificat de Grégoire VII. Ainsi l'expression « réforme grégorienne » peut paraître impropre puisqu'elle ne s'est pas limitée

du 11/09, le conflit Israélo-Palestinien, … Et j’en passe. Plus proche de chez nous en France entre 1562 et 1598 on a dénombré 8 guerres de religions, toutes l’une à la suite de l’autre causées par la simple discorde entre le catholicisme et la Réforme protestante (volonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière). Ces guerres vont durer 36 ans et se termineront par la signature de l’édit de Nantes (30 avril).

La Réforme A l'origine de la division de la Chrétienté et de la Réforme protestante: le message d'un moine taraudé par son salut, au XVIe siècle Au XVIe siècle, ce sont les abus de l’Église, ses carences, et l’angoisse des fidèles qui seraient à l’origine de la Réforme protestante. Les clercs sont accusés de relâchement disciplinaire, pastoral. Un cinquième des curés vivraient en concubinage, les prêtres et les papes ont des «neveux», les clercs cumulent les charges ecclésiastiques, sont accusée

rapports entre tous les termes du sujet, ainsi que la ponctuation et les majuscules. Voici quelques exemples : « Les catholiques face à la réforme protestante dans l’Europe du XVI siècle : aspects religieux et politiques. » Il ne faut pas ici déballer une histoire du protestantisme dans l’Europe du XVI siècle, mais étudier les réactions des catholiques face à la réforme. « Face à », qui peut paraître anodin, prend alors tout son sens et est très important pour bien traiter le sujet et ne pas faire du hors

universelles. D'autre parts, en soumettant les textes bibliques à la critique, en mettant à la disposition des fidèles les textes religieux traduits dans leur langue maternelle( diffusion de l'évangélisme), ils vont ouvrir la porte à la Réforme religieuse. On appelle « Réforme », le mouvement religieux qui, au XVIe siècle, pousse certains catholiques à se séparer de l'Église romaine. Mais c'est surtout une rupture religieuse qui se met en place. Une volonté de créer une nouvelle religion allant à l'encontre

toujours plus. II.2. De plus, s'ajoute à cette constante volonté de gagner, son hostilité envers le protestantisme qui montre encore qu'Henri VIII ne lâche rien tant qu'il n'est pas satisfait. En effet, Henri ne cache pas ses sentiments hostiles à la réforme protestante que l'ancien moine allemand Martin Luther commence à prêcher et il n'hésite pas à l'invectiver (= l'attaquer). En juillet 1521, il envoie même au pape son Assertio septem sacramentorum, rédigée avec l'aide de Thomas More. Cela lui vaut

dominicains par Dominique de Guzman (1170-1221). C) Une Eglise plus puissante • Le pape à la tête de la chrétienté : - Au XIè siècle, une partie du clergé séculier est critiquée. Le pape engage donc un mouvement de réforme. - C’est la réforme grégorienne. • De la paix de Dieu à la croisade : - L’Eglise impose la Paix de Dieu. - Le pape Urbain II lance la première croisade en 1095.

peine temporelle due pour le péché. Le pêcher peut être effacé si on verse une certaine somme d'argent à l'église. Ce don, va au cours du temps se transformer en un commerce lucratif. L'affaire du commerce des indulgences fut le déclencheur de la Réforme protestante, à une époque où le développement de l'imprimerie permet une lecture directe de la Bible, dans toutes les langues, qui ouvre la voie à une critique des croyances catholiques et des pratiques de ses prêtres. Des millions de messes sont

clunisienne. I. Mode d’election du Pape a. Un moyen de redonné de l’autorité au Pape vicarius Petri, monter en puissance des cardinaux qui modifis le mode d’élection ( prêtre et êveque : réformateur) d. une montée en puissance des cardinaux II. Une réforme des mœurs de l’Eglise et de son fonctionnement a. les condanation de Nicolaisme 2/12/21 Remise en cause du mariage des prêtres à présent condamnés (concile de Mayence), les biens de l’église doivent être indivisible, le pape interdit les messes

notamment en Angleterre et en Italie pour s’enrichir et développer sa conception humaniste de la chrétienté. Bien que ses idées et ses critiques à l’encontre du pape fussent proches de celles de Luther, il n’a jamais voulu adopter ni encourager la réforme protestante, ne souhaitant pas créer de schisme à l’intérieur de l’Église, fidèle par là à son idéal de paix et de concorde. * Chroniqueur de l'empereur Charles Quint, son œuvre De rebus Gestae Caroli Quinti revêt un caractère aussi panégyrique