Réformisme

libertés politiques. - le socialisme avec les internationales socialistes et les partis socialistes - pour ou contre l'Etat : marxisme, anarchisme, fascismes - le syndicalisme : révolutionnaire ou réformiste - les partis politiques - réformisme symbolisé par le paternalisme, les politiques sociales comme en Allemagne avec Bismarck, le catholicisme social. Socialisme : doctrines et mouvements hostiles au capitalisme qui proposent une réforme radicale de la société et une répartition

la domination. Comment, dans telle configuration, les relations donnent-elles naissance à du pouvoir ? Je resserrerai le débat autour de trois éléments : la nature de la répression ; l’enchevêtrement économie/politique ; la question de l’ethos du réformisme. 5Pourquoi les gens obéissent-ils ? La réponse est apparemment simple lorsqu’il s’agit de pays comme la Tunisie ou la Chine : parce qu’ils ont peur. Comme dans le cas tunisien, la Chine nous montre que les choses sont plus complexes. L’importance

à une victoire de la masse populaire. • L'anarchisme dénonce le capitalisme, mais surtout l'Etat qui doit être abattu car il opprime. Il y a donc des grèves afin d'aboutir à un système où il y a consentement de la masse populaire. • Le réformisme ne veut pas renverser le système capitaliste, mais l'améliorer, en particulier avec le droit de vote des ouvriers.

désengagement de l'Etat, les libertés politiques. Le socialisme avec les internationales socialistes et les partis socialistes Pour ou contre l'Etat :marxisme, anarchisme, fascismes Le syndicalisme :révolutionnaire ou réformiste Les partis politiques Le réformisme symbolisé par le paternalisme, les politiques sociales comme en Allemagne avec Bismarck, le catholicisme social. Socialisme :doctrines et mouvements hostiles au capitalisme qui proposent une réforme radicale de la société et une répartition plus

contre l’abandon de la ligne révolutionnaire. La majorité des syndicats allemands se rapproche du réformisme, luimême majoritaire à l’intérieur du SPD. Le mouvement ouvrier s’est donc considérablement renforcé à la fin du XIXe siècle en Allemagne comme dans les autres pays européens en cours d’industrialisation, dans lesquels coexistent également plusieurs courants. La domination du réformisme en Allemagne explique qu’en 1914 le SPD accepte l’Union sacrée proposée par l’empereur, c’est-à-dire

Enfin, il conçoit comme nécessaire de réformer les liens entre Moscou et les capitales est-européennes selon les principes de non-ingérence et d’un pluralisme encore favorable au PC. Ses visites provoquent des manifestations populaires en faveur du réformisme mais l’Europe se coupe en deux entre gorbymaniaques (Pologne, Hongrie) et opposants aux réformes (Tchécoslovaquie, Bulgarie). En Pologne, Jaruzelski négocie avec l’opposition et Solidarnosc. En Hongrie, on assiste certes à une lutte entre gorbatchéviens

dernier volet qui pose pb car qu’est ce qu’on entend par agir. Visions Durkheim, Marx, etc très différentes : cela peut être soigner, renseigner sur meilleures solutions aux pb sociaux, maux. Conservatisme (Durkheim, soigner les maux de la société), réformisme (Le Play, meilleures réformes possibles pour faire évoluer la société), critique radical (Marx, transf radicale de la société, prolétariat). Vision très technique, ou améliorer la société, ou la changer du tout au tout, visée révolutionnaire II

SOCIALISME, COMMUNISME, SYNDICALISME EN ALLEMAGNE DEPUIS 1875. I-Naissance, essor du socialisme, du communisme et du syndicalisme → 1918, naissance de la démocratie et de la République de Weimar. Réformisme ou Révolution pour instaurer une démocratie ? A- La naissance du parti socialiste (Le SPD) et la fondation de la sociale démocratie. Page 94, Le programme de GOTHA, 1875. Le 22 mai 1875 à GOTHA en THURINGE (Région d’Allemagne) a lieu la réunion des deux partis socialiste Allemand

de la C.G.T., lors des scissions qui intervinrent du fait des communistes en 1921 ou des anticommunistes en 1947. Toutefois cette fidélité à la majorité ouvrière n’a pas emp&hé le maintien d’une personnalité marquée. Longtemps caractérisé par son réformisme proudhonien, et critiqué pour cela par les révolutionnaires, le Livre a évolué ensuite vers une forme quelque peu corporatiste de l’anarchisme. En bref, sans marchan&r leur appui aux autres branches ni jamais renier leur appartenance prolétarienne

d’Europe centrale et orientale, récemment acquis à la cause de la séparation des pouvoirs, c’est ce mécanisme d’attribution du contentieux électoral à la juridiction constitutionnelle qui a été retenu. Néanmoins, en cette période de « réformisme constitutionnel » des critiques de plus en plus vives ont été adressées à l’encontre du système actuel de répartition des compétences en matière de contentieux électoral. En arrière-plan de ce débat sur le partage des compétences entre juge judiciaire