Réformisme

et son rôle qui sont reconnus, non seulement de fait mais dans les textes. Les travailleurs ont le droit de s'organiser, le droit de cotiser et de gérer leurs cotisations par le biais de l'organisation syndicale. C'est le même mouvement d'un réformisme conquérant qui trouvera son expression avec la loi du 11 février 1950 sur les conventions collectives et la liberté de négocier les salaires et les conditions de travail. Création des militants de la vieille CGT, la Sécurité sociale est à la fois

et là en collectivisme.     Les causes idéologiques : elles se manifestent avec la multiplication des courants de pensées qui dénoncent les carences de la conception libérale du rôle de l’Etat. Ces courants de pensées sont nombreux et divers : réformisme, socialisme, solidarisme, marxisme, communisme …     D’une façon générale, on s’accorde à reconnaître que l’Etat ne peut se borner à poser des règles favorables à la liberté des acteurs du jeu économique. Il doit intervenir pour corriger les insuffisances

(Chambre des communes) ; La France ou une très large unanimité a été réalisé autour de la République qui n'est plus contestée au marge que par une extrême droite plus bruyante que mobilisatrice et une extrême gauche divisée et en parti acquise au réformisme. L'immense majorité de la population porte au crédit de la République plusieurs avancés : la diffusion de l'instruction dans toutes les couches de la population, l'organisation et la mise en place d'un régime de libertés publiques, la mise en

Chirac ; idem LC 28 mars 2003) 31 mai 2005 : démission-révocation de J-P Raffarin décidée par Chirac qui nomme de Villepin au poste de PM et qui décide de la composition de son gouvernement. 3. L’hyper-présidentialisme (mai 2007 – mai 2012) et le « réformisme constitutionnel » de Nicolas Sarkozy. L’hyper-présidentialisme de Nicolas Sarkozy  Les manifestations de l’hyper-présidentialisme : Le libre choix par le président Sarkozy de ses « collaborateurs », PM et membres du gouvernement : « Le PM est

Française de l'Internationale Ouvrière) se fait sur le principe de la lutte des classes. ◦ Le syndicalisme se développe sur ces mêmes bases. La charte d'Amiens de 1906 ancre la CGT dans le camp révolutionnaire. ◦ Sous l'influence de Jean Jaurès, le réformisme se renforce. Il est une vision du socialisme, où le but de la société socialiste se construit par des réformes législatives, par des réformes légales et non par la violence révolutionnaire. Le socialisme et les mouvements ouvriers trouvent progressivement

Internationale ou Internationale communiste dont le premier congrès se tient en mars 1919 et le seconde en juillet-août 1920. C'est au cours de cette deuxième réunion que sont posées les « 21 conditions » à l'adhésion au Komintern: rupture avec le réformisme, nécessité de la dictature du prolétariat, organisation centralisée des partis membres. Dès 1919, les insurrections allemandes et hongroises sont écrasées, les mouvements ouvriers en France et en Italie sont affaiblis par la scission entre communistes

s’abat sur les dirigeants et la société (l’Octobre hongrois), les partis communistes nationaux acquièrent une marge réelle. En témoignent la gestion ouverte de la crise polonaise de 1956, le positionnement diplomatique roumain et plus généralement le réformisme à l’œuvre à partir des années 1950, lui-même indissociable des mutations sociales (accroissement des effectifs ouvriers, essor d’une intelligentsia technicienne et forte augmentation des diplômés). La tentative de refondation du socialisme tchécoslovaque

et lorsque, par contre, se forma dans le jeu alternatif des tendances, un mouvement de gauche révolutionnaire qui, en Italie, ne sortit jamais du domaine des phrases, tandis que, pour le socialisme russe, ce fut un prélude du bolchévisme. Réformisme, révolutionnarisme, centrisme, les échos mêmes de cette terminologie sont éteints tandis que, dans le grand fleuve du fascisme, vous trouverez les courants de Sorel, de Péguy, du Lagardelle du Mouvement socialiste et de la cohorte des syndicalistes

Internationale ou Internationale communiste dont le premier congrès se tient en mars 1919 et le seconde en juillet-août 1920. C'est au cours de cette deuxième réunion que sont posées les « 21 conditions » à l'adhésion au Komintern: rupture avec le réformisme, nécessité de la dictature du prolétariat, organisation centralisée des partis membres. Dès 1919, les insurrections allemandes et hongroises sont écrasées, les mouvements ouvriers en France et en Italie sont affaiblis par la scission entre communistes

et les réformes du dernier plus contestée au marge que par une extrême droite plus bruyante que mobilisatrice et empereur de Russie le Tsar Nicolas II laisse intacte le caractère autocratique du une extrême gauche divisée, et en partie acquise au réformisme. régime. Après la révolution de 1905 en Russie la bourgeoisie accepte la reconnaissance des libertés publiques et la convocation d’un parlement élu au suffrage universel sans que L’immense majorité de la population porte au crédit de la république