Réformisme

législation sur le travail, la création des cités ouvrières, et l’instauration d’une sorte de communisme agraire. Les chartistes et la société Fabienne développent ce courant de pensée réformateur. En France, Saint-Simon et Auguste Comte symbolisent le réformisme scientiste anti-libéral, porteur de progrès social. Ils soutiennent le primat de l’économique sur le politique. Auguste Comte développe ainsi la loi des trois états : la phase théologique (la monarchie de droit divin), la phase métaphysique (apparition

afin de mieux comprendre leur rapport à la société. Au début ils avaient une vision d’une société dominée par le darwinisme social ou le libéralisme compensée par la conviction de pouvoir contribuer activement à l’amélioration du bien-etre social (réformisme). Leur recherche évolue aussi vers ce qui se nomme l’intéractionnisme symbolique, soutenant que la sociologie s’intéresse à la conception que l’individu se fait du monde social. Ils priviligient l’observation directe et le point de vue de l’acteur

................................1 Introduction………………………………………………….........................................2 Plan : I] Des éducations religieuses différentes A) Une éducation religieuse poussée…………………………………………3 B) Elevé dans un « réformisme libéral » ……………………………………..4 C) Une quête de savoirs ………………………………………………….......5 II] Leurs actions en faveur du protestantisme A) Un prodige de la musique classique, au service de la religion …………..6 B) Une théologie qui bouleverse les

personnes volontaires. En espérant que chacun retrouve un fonds commun avec les autres. Bien sûr, les étapes ne peuvent être aussi marquées, il y a des bonds en avant et des retours en arrière. Le tout est d’avancer, de ne pas s’arrêter au réformisme ou à la critique, mais d’arriver concrètement à vivre différemment avec d’autres humains. "La liberté de penser autrement n'existe plus " "Ce qui me choque réellement c'est que, dans ce beau pays, la contradiction et le débat deviennent totalement

détruire le pouvoir de la bourgeoisie par la révolution : « lutte des classes ». Leur but est d’instaurer une société communiste sans classe, sans propriété, sans Etat. Ce sont des socialistes révolutionnaires. L’autre tendance du socialisme est le réformisme, il s’agit d’améliorer de manière progressive la condition ouvrière par des réformes en utilisant le suffrage universel pour acquérir le pouvoir. C’est notamment la position de Jaurès en France. Les mouvements syndicaux s'inspirent des idées socialistes

coalitions porteuses d’intérêts divers (souvent incompatibles) peutelle remplacer l’engagement politique féministe visant l’abolition des valeurs patriarcales et la réalisation d’un projet alternatif de société ? De telles coalitions, vouées au réformisme et aux compromis afin de sauvegarder leur unité, sont-elles le meilleur instrument pour affronter les tenants du nouvel ordre mondial et leur idéologie du fatalisme économique ? Il ne s’agit pas simplement d’augmenter le nombre de femmes dans

mandats politiques et syndicaux. Le non-cumul est adopté en février. 1947 : les tensions de la guerre froide entre l’Est et L’Ouest rejaillissent dans les débats internes aux syndicats. Naissance de la CGT- FO qui s’oriente vers le paritarisme et le réformisme. La CGT reste dominée par les éléments communistes. 1964 : la CFTC se scinde en deux : CFTC et CFDT – Confédération Française Démocratique du Travail. Evolution vers un syndicalisme laïc. La CFTC se maintient avec une référence confessionnelle

Fondements idéologiques : le « socialisme du xxie siècle »[modifier | modifier le code] Lors d'une manifestation contre la réforme des retraites en octobre 2010 à Paris. Le NPA se veut un parti des luttes sociales et écologistes, refusant le réformisme. Dès la rencontre de juin 2008, il déclare vouloir incarner une « gauche qui ne renonce pas, une gauche de combat, anticapitaliste, internationaliste, antiraciste, écologiste, féministe, révoltée par toutes les discriminations » et viser une «

affaires sociales => gonflement des effectifs CGT. Avant CGT = rassemblement d'une "minorité agissante". Après guerre : mvt de masse (2 400 000 adhérents revendiqués en 1919, 1 600 000 selon les stats officielles). Figure de Léon Jouhaux. Mais le réformisme de fait de la CGT (particpation + ou - directe à la pol du gvt) est vivement contesté par une minorité révolutionnaire, rassemblant les admirateurs de la révolution blochevique (menés par Monatte). Pour ces derniers, le but = étendre le mvt révolutionnaire

membres de syndicats. A la fin des années 60, ils étaient plus de 200. Ensuite, on note l’impce du réformisme qui devient le foyer de la pensée politique du socialisme. L’Allemagne était le terreau de la pensée socialiste. La pensée socialiste marque l’échec de la théorie marxiste, la fonction capitaliste se développe. Le réformisme est l’axe officiel du parti dans l’entre deux guerres. Ce réformisme ne se fait pas sans douleur, un conflit idéologique est très fort à la sorti de la IGM. Le marxisme