Réformisme

capitalisme, du dépassement de celui-ci par le biais de la lutte des classes et du passage à la propriété sociale des moyens de production4. Dans les dernières années du siècle, une partie du socialisme européen s'oriente cependant dans les faits vers le réformisme. À la fin de la Première Guerre mondiale, la famille politique socialiste connaît un schisme avec la naissance du courant communiste, qui continue de se réclamer du socialisme dont il affirme revenir à la tradition révolutionnaire. Les partis socialistes

capitalisme, du dépassement de celui-ci par le biais de la lutte des classes et du passage à la propriété sociale des moyens de production4. Dans les dernières années du siècle, une partie du socialisme européen s'oriente cependant dans les faits vers le réformisme. À la fin de la Première Guerre mondiale, la famille politique socialiste connaît un schisme important avec la naissance du courant communiste, qui continue de se réclamer du socialisme dont il affirme revenir à la tradition révolutionnaire. Les

Jaurès amène une partie du mvmt ouvrier frçs vers le combat réformiste.. III 1919-1939 1) l’impact de la 1GM sur le mvmt ouvrier(…)naissance IIIéme Internationale à Moscou ;triomphe de Lénine et du marxisme(le marxisme-léninisme) ;crise du réformisme ;scission de la SFIO au congrès de Tours en 1920 ;création du PCF ;éclatmt de laCGT/CGTU ; 2) une vague révolutionnaire secoue tous les mvmts ouvriers en Europe sf au R.U.(…)(qui favorise l’extrême droite en Italie et en Allemagne entre autre)

capitalisme, du dépassement de celui-ci par le biais de la lutte des classes et du passage à la propriété sociale des moyens de production4. Dans les dernières années du siècle, une partie du socialisme européen s'oriente cependant dans les faits vers le réformisme. À la fin de la Première Guerre mondiale, la famille politique socialiste connaît un schisme important avec la naissance du courant communiste, qui continue de se réclamer du socialisme dont il affirme revenir à la tradition révolutionnaire. Les

la crise révisionniste qui révèle les tensions internes entre marxistes et réformistes. Le Parti conserve cependant son unité jusqu’en 1914 au prix d’un écart croissant entre le discours qui reste révolutionnaire et les actes qui évoluent vers le réformisme. En 1914, il est devenu un grand parti de masse, sans équivalent en Europe. Le révisionnisme ? Une fraction importante du PSD aurait voulu aller plus loin que le programme d’Erfurt et abandonner définitivement le caractère révolutionnaire du

une lecture de l’islam donnant la primauté aux sources coraniques et de la Sunna c’est à dire un retour à la tradition des textes religieux en quelques sortes. Le terme salaf a souvent renvoyé d’abord à « la Salafiyya » pour désigner la période du réformisme musulman qui vit le jour essentiellement en Égypte, à la fin du XIXe siècle. Les intellectuels islamistes de cette époque souhaitaient un retour aux sources en réaction aux transformations séculières d’un empire Ottoman finissant. Le mouvement de

l'orthodoxie des premières splendeurs de l'Islam tout en la conciliant avec les perspectives d'ouverture d'un modernisme modéré. Les Musulmans devaient prendre exemple sur les vertueux ancêtres -as-Salaf as-Salih- et comme au Moyen-Orient, les adeptes du réformisme religieux se firent appeler Salafiya/ Salafites. De même ils furent connus par le nom d'Islahiya/ -les réformateurs. De 1913 à 1925, dès son retour au pays, Abdelhamid Ben Badis va consacrer tous ses efforts et ses talents remarquables d'éducateur

analyse de l’État, comme le fera un autre hollandais, Pannekoek, bientôt suivi par Lénine qui s’inspire de ce dernier, avec son célèbre ouvrage L’État et la révolution. On ne pas traiter le réformisme comme si c’était simplement une erreur théorique, une mauvaise lecture de Marx. Jusqu’à un certain point, le réformisme exprime le point de vue de la petite-bourgeoisie dans le parti ouvrier, et plus encore, comme le montre Nieuwenhuis dans Le socialisme en danger, d’une couche sociale de permanents et d’anciens

et fonde la Revue syndicaliste qui devient plus tard La revue socialiste, en 1905. Il est nommé sous-secrétaire d’Etat à l’artillerie et à l’équipement militaire en 1914, puis ministre de l’Armement en 1915. Considéré comme un des chefs de fil du réformisme social, il prend la tête du BIT en 1920 dont il avait été l’inspirateur. Dans son rôle de ministre de l’Armement, il a su mettre à profit ses convictions socialistes et des relations étroites avec le patronat pour permettre la victoire militaire

conditions spéciales de leur pays et conçu dans l'esprit de l'Internationale Communiste. » Une tentative de dépasser ce choix existe néanmoins:certains socialistes se réunissent en effet à Vienne en mars 1921 et fustigent tout aussi bien le réformisme que le suivisme à l'égard de Lénine. La réunion fait émerger un Comité International de travail des partis socialistes, dont le secrétaire est Friedrich Adler ; « Internationale deux et demie ». Sous l'impulsion de cette Internationale deux et demie