Refoulement

mauvaise fois, ou encore de la censure ? C’est bien la théorie qu’avance Sartre. Ces connaissances que nous nous refusons ne sont le fruit d’une auto-censure, de notre mauvaise fois. Ou plutôt, la mauvaise foi de notre conscience. Sartre désigne ces refoulements comme des « forces aveugles » (l.5) ou encore des « déguisements de l’instinct » (l.8). Autrement dit, la conscience trie, choisie ce qu’elle veut et peut désirer et les autres pensées trop difficiles à assumer. Et l’inconscient serait composé

4) Définition de l'inconscient freudien à partir du refoulement -Freud définit l'inconscient comme une substance psychique autonome et dynamique qui serait une partie de nous-même, une zone de notre esprit où souvenirs, fantasmes, désirs inavouable moralement ou socialement seraient stockés. Il le définit donc à partir du refoulement, ce que la conscience nie, censure (barrage sélectif), rejette hors de son champ. -Ce refoulement permettrait maturation et structuration de la personnalité

➢ Les bouffées délirantes ************************************************************************ La névrose Les trois premières années se passent relativement bien. Au moment de l'œdipe, il y a un conflit entre désir et défense (ou refoulement) qui n'est pas résolu, pré-structurant le Moi de manière névrotique . La latence se passe sans difficultés apparentes . Les expériences pubertaires vont permettre l'éclosion du Moi névrotique, ou le réparer si besoin est. On compte dans les névroses

surmoi Ces topiques forment une représentation dynamique : le ca cherche la satisfaction pulsionnelle, le surmoi donne des injonctions et le moi fait un certain nombre de choix et mets en place des mécanismes de défenses comme le refoulement ou l'inhibition. Lors du refoulement, c'est la représentation qui est refoulée. Soit l'affect est refoulé avec ou alors l'affect est projeté sur une autre représentation Le point de vue dynamique c'est de voir des mouvements fonctionnels en conflit. ? Le sujet est

l’inconscience et la responsabilité. La notion d’inconscience peut être distinguée entre trois instances majeures : l’inconscience immédiate (qui n’est pas ouvert au monde), l’inconscience réflexive (qui n’est pas réfléchi) et l’inconscient selon Freud (le refoulement des pulsions psychiques). Le terme « responsable » (littéralement « qui répond de ») renvoie quant à lui à l’origine ou au fondement d’une chose, à la prise en charge d’une fonction ou d’un acte (dont il doit rendre compte) mais peut également

de traitement des troubles psychiques autrement dit c’est une méthode thérapeutique C’est l’ensemble des théories psychologiques développées par Freud et ses disciples Il existe chez tout être humain un inconscient dynamique constitué par le refoulement de pulsions et de désirs qui agissent sur la vie consciente à son insu. Les pulsions sexuelles en particulier la sexualité infantile jouent très tôt un rôle décisif dans la constitution de la personnalité psychique affective de chacun. L’iceberg :

cours de la cure, on donne cette notion à tout ce qui dont les actions de la parole analysée s'oppose à l'accès de celui-ci à son inconscient. ⁃ Notion de refoulement : opération par laquelle le sujet cherche à repousser ou à maintenir dans l'inconscient des représentations (pensées, images, souvenirs...) liées à une pulsion. Le refoulement se produit dans le cas où la satisfaction d'une pulsion susceptible de procurer par elle-même du plaisir, risquerait de provoquer du déplaisir à l'égard d'autres

dans des jeux sexuels par exemple. 6. Résumez par un schéma très simple l’évolution de la théorie des pulsions (avant 1920-après 1920) avant 1920 après 1920 Pulsions libido (sexuelles) Pulsions d’autoconservation (faim, narcissisme, refoulement.) Pulsion de vie (sexuelles ET pulsions d’autoconservation) Pulsion de mort (agressivité) 7. Comment appelle-t-on, selon Freud, la barrière entre l’inconscient et le préconscient ? La barrière entre l’inconscient et le préconscient s’appelle

un modèle définitif du psychisme au début des années 1920, dans lequel il distingue trois grandes parties. La première est appelée le ça : considérée comme partie inconsciente du psychisme. C’est le lieu primitif des pulsions et le produit du refoulement. La deuxième partie est le surmoi : considérée également comme partie inconsciente du psychisme mais à l’inverse du ça, le surmoi représente les interdits, des règles à suivre, des normes à respecter, donc l’aspiration vers le perfectionnement

symptômes et non-dit, entre guérison et accès à la parole , que « Freud a avancé en 1895 l’hypothèse de l’existence de processus psychiques qu’il nomme inconscients» Pour faire disparaitre des symptômes, il faut s’attaquer, selon lui, à la levée des refoulements. C’est à ce défi que vise la parole dans la thérapie. « Il découvre que les patients peuvent parler à leur insu de ce qu’ils savent sans le savoir quand on les invite à s’abandonner à l’association libre de la parole, il adopte ce procédé.»