Réfraction

ne sont pas présentes. VI. Les couleurs interférentielles Les couleurs rencontrées dans la vie de tous les jours ont plusieurs origines physiques : on citer par exemple: - Le bleu du ciel (couleur par diffusion) - L’arc en ciel (couleur par réfraction) - Un concombre vert (couleur par absorption) D’autres couleurs sont obtenues par le phénomène des interférences comme les bulles de (voir image à droite), les taches d’huile sur le sol qui produisent des couleurs liées au phé d’interférences

dépend de leur fréquence. Comme n dépend de v et que, dans un milieu dispersif, v dépend de la fréquence alors on en conclut que l’indice n d’un milieu dispersif dépend de la fréquence. 3.4. (0,25) Pour un même angle d’incidence i1, l’angle de réfraction i2 sera différent pour deux ondes lumineuses monochromatiques de célérités différentes (c’est à dire de fréquences différentes, c’est à dire de couleurs différentes). Les différentes composantes d’une lumière polychromatique seront donc déviées

électromagnétique est l'association d'un champ magnétique parallèle à un champ électrique B. La lumière est quantifiable C. L'angle incident est toujours supérieur à l'angle réfracté D. Un milieu isotrope est un milieu avec différents indices de réfraction E. L'indice de réfraction dépend de la longueur d'onde F. toutes les propositions précédentes sont inexactes 10. Charles regarde une pièce au fond d'une fontaine située à 35cm de profondeur à travers l'eau avec une inclinaison de i par rapport à la normale à

cela, nous allons calculer l’écart relatif en pour cent ( % ) entre l’indice de réfraction calculé et celui présent dans la table CRM. Écart relatif : % Nous pouvons constater que l’écart relatif est de 4% ce qui rend l’indice de réfraction obtenu grâce à cette expérience tout à fait correct. Nous avons donc: n trouvé = 1.55, nplexi = 1.49 et e = 4%. Ensuite nous pouvons comparer le lambda (l’angle limite) calculé à celui obtenu par observation. Le lambda calculé est de 40

i : 4 ≃ 1, 33 . 3 Le faisceau lumineux est monochromatique et l'indice de l'eau est  n = Arcs-en-ciel : I.1 Expression de D en fonction de i, p et  r angle de réfraction associé à l'incidence i  : Montrer que la déviation D des rayons lumineux peut s'exprimer en fonction de  p ,  i  et  r (angle de réfraction correspondant à l'angle d'incidence i)  selon  D = p π + 2 (p + 1) r − 2 i  2 . I.2 Étude de D = D(i) et détermination de l'angle d'incidence  ±im  pour lequel D est

kilomètre. La figure 4. Illustre la variabilité de la vitesse d'un tsunami, en particulier le ralentissement de la vague en milieu peu profond, notamment à l'approche des côtes. De la variabilité de cette vitesse de propagation, il résulte une réfraction de la vague dans les zones peu profondes. Ainsi, le tsunami a rarement l'allure d'une onde circulaire centrée sur le point d'origine, comme le montre la Fig. 5. Toutefois, l'heure d'arrivée d'un tsunami sur les différentes côtes est prévisible puisque

1.3 Principe A l'interface entre deux milieux d'indice de réfraction différents (ici le verre [1] et l'eau [2]), un faisceau de lumière monochromatique et polarisée arrivant avec une incidence particulière (angle de réflexion interne totale [it]) est totalement réfléchi (figure 1, image de gauche). Dans ces conditions une composante électromagnétique de la lumière appelée onde évanescente [7] pénètre le milieu d'indice de réfraction inférieur sur une courte distance. L'interposition d'un film

qualifiée de zones d'ombres. explications de la formation des zones d'ombres : a 2900 km , les ondes p sont renvoyée a la surface , mm dit qu'elles sont refractée. entre 2900.Et 3470 km de profondeur les trajectoire des ondes p et s root dérivées. la réfraction des ondes p et s a partir 2900 km est une preuve que les deux milieux sont de composition différente. donc la terre A une structure interne hétérogène bilan de l'activité l'enregistrement des zones d'ombres indique que les structure interne de

des ondes sismiques et profondeur. Activité 2 a- modélisation de la zone d’ombre sismique -les ondes sismiques sont assimilées par analogie à la lumière et se comporte comme un faisceau lumineux. Donc le modèle va utiliser les propriétés de réfraction des ondes électromagnétiques. -la structure interne de la Terre est sous forme de couches concentriques. Chaque couche est un milieu différent. -les ondes S ne se propagent pas dans les liquides. Bilan : l’étude des vitesses des ondes sismiques

défauts!de!l’œil! !a.!La!myopie! !b.!l’hypermétropie! 6.!Schéma!réduit!de!l’œil! ! % ! ! % !   I.%Optique%géométrique% L’optique!géométrique!s’intéresse!aux!manifestations!macroscopiques!tels! que!la!propagation,%la%réBlexion%et%la%réfraction!de!la!lumière.!! Notion%de%Rayon%lumineux!:!! ◦  représentation!de!la!trajectoire!de!la!lumière!par!un!ensemble!de!traits!! ◦  «!Objet!théorique!qui!n’a!pas!d’existence!physique.!»! ◦  Ils!représentent!le!parcours!de!l’énergie!véhiculée!par!l’onde