Regard caméra

d'une de ses amies. Ils sont capable de passer de l'opacité à la transparence en fonction des différentes utilisations. La vidéo est toujours projeté sur les panneaux. Différents films seront projetés, et même un film diffusé en directe grâce à une caméra numérique qui captera en gros plan une comédienne chantant une chanson de variété française, comme si elle intégrait un message vidéo à Jan dans son livre d'or. La musique a une place importante dans la pièce, elle sera quasiment toujours joué en

important de l’histoire. II. Les mouvements de caméra - La caméra en mouvement joue un rôle technique (suivre le déplacement d’un personnage ou d’un véhicule, par exemple), descriptif (montrer l’étendue d’un paysage...), dramatique (souligner un regard ou un geste, mettre en évidence un objet...). L’utilisation du mouvement de la caméra peut également participer à l’écriture du film en intégrant ou traduisant le style du cinéaste : la caméra constamment portée de Breaking the Waves, de Lars Von

résonnedirectement avec le premier mouvement de caméra qui est en travelling qui peut nous faire penser qui dans cette séquence aura beaucoup de justement de plan séquence d'ensemble qui va ou pourra constituer une unité narrative selon l'unité d'action et généralement de temps ou de lieu, le son off nous met aussi dans un aspect de quotidien et le spectacteur est placée dans un point d'écoute extérieur on peut meme dire omnicient. Le premier mouvement de caméra un travelling avant avançant dans l'axe d'une

peut aussi se construire à travers le regard d'une instance narrative ou celui d'un personnage qui le balaie ou l'explore : ainsi, au début de Fenêtre sur cour d'A. Hitchcock, à partir d'une fenêtre. L'espace filmique est donc constitué sur un double niveau : - celui de l'écran, - celui de la structure du film. Fenêtre sur cour - Rear Window Film d'Alfred Hitchcock (Paramount), 1954, durée : 112 minutes Avec James Stewart, Grace Kelly, Thelma Ritter... Le regard sur l'espace I. Une séquence liminaire

l’histoire sous le point de vue de Tom. Le plan à 3min 10 est lui aussi une vue subjective se basant sur un raccord regard du personnage de Tom. Le plan vers 8min 37 est du même ordre. Le mouvement de caméra à 59min 54 permet aussi d’obtenir une focalisation interne. *Citez 2 moments où Tom est observé du point de vue de Miao Lin : sur quoi la caméra se concentre alors ? 59min 37 : La caméra se focalise sur une vue du haut du corps de Tom afin de montrer ses expressions et émotions après son incartade

aux enfants et aux cow-boys. Une fois les plan cow-boys/enfants passé, la caméra se concentre sur le combat entre les fourmis et les scorpions. Sam Peckinpah se sert d'un gros plan en plongé pour nous montrer ce carnage. On repasse sur les enfants mais cette fois si ils apparaissent dans le cadre en gros plan, contre-plongé. Jusqu'à la la fin de l'extrait, le plan reste sur le combat/enfants. Le passage du jeu de regard entre les cow-boys et les enfants, ressemble à un montage parallèle A B A

TRAVELING qui suit Hamm à hauteur de sa taille qui obstrue le champ les ¾ du champ. Mise au point sur sa taille. La caméra arrête son mouvement sur lecteur vinyle. Déplacement des caméras en mouvement inverse pour rester fixe plan taille. La caméra le suit légèrement jusqu’à ce qu’elle s’appesante sur un autre personnage allant dans ma même direction. La caméra s’arrête en plan taille sur le dos du personnage. Les jeunes débarquent dans le salon, dans un état second ils ricanent bêtement

Angles de prise de vues : -Angle normal = caméra à hauteur du sujet, d’incidence nulle. -Plongée (high shot)= Axe optique de la caméra au-dessus du sujet. -Plongée verticale/totale= axe optique de la caméra penché à 90° au-dessus du sujet. -Contre plongée (low angle)= Vue au-dessous du sujet -Contre plongée verticale/totale = 90° dessous du sujet -Angle incliné (tilted shot)= Caméra inclinée par rapport à l’horizon -Angle renversé (upside down)= caméra inclinée par rapport au sujet Composition

Ils semblent faire des allers et retours : «le long des chariots», (pour protéger ces derniers de toute agression – une notation très juste) avec le rythme saccadé : v. 6 : 2/4 (avec sa diérèse !), 3/3 ; v. 7 : 3/3//2/4, puis un tétramètre pour le regard (v. 8)… comme le choc des roues dans les ornières – vu les armes, le goudron n’existe pas : on a l’impression d’une migration barbare, voire indo-européenne, si ce terme ne datait pas de la fin du XIXè. L’impression d’animalité subsiste : «blottis»

* volonté de création d’intimité, lumière baissé et zoom de camera, on passe du plan américain au plan raproché bustre * Un objet sépare de façons symétrique les personnages( soit la chapeau, le bâton pour éteindre les lumières, la rampe de l’escalier et aussi au début dans le prolongement du chapeau la sœur, la porte. Qui veut les séparée, avec son dialogue * La musique de fond et le marmonnement de esther se confonde, donc principe de minellid’integrer la musique a l’histoire. * La