Régiment de marche

le héro de l’histoire. Portrait critique de la société de Paris des années quatre-vingts, Bel-Ami c’est l’ascension d’un héro opportuniste et sans scrupule qui atteindra le sommet en profitant des femmes et de sa carrière de journaliste comme marches pour atteindre le sommet de la hiérarchie. Maupassant retrace la vie du jeune George Duroy, un jeune normand sans le sous ni scrupules, mais plein d’ambition. Duroy monte à Paris dans le seul but de réussir et de gravir les échelons de l’échelle

toujours De cette guerre infâme C'est à Verdun, au fort de Vaux Qu'on a risqué sa peau [...] Elle demeure, aujourd'hui la chanson-type de l'antimilitarisme Autrefois, elle fut chantée par les soldats qui se sont mutinés (dans une cinquantaine de régiments de l'armée française) après l'offensive très meurtrière et militairement désastreuse du général Nivelle au Dames. Ces révoltes furent sévèrement réprimées, notamment par le général Pétain, nommé le 17 mai 1917 pour remplacer le général Nivelle avec

vareuse noire avec insigne du régiment, un képi rouge et noir avec liseré en or rappelant le grade et le numéro du régiment, un sabre d’infanterie, une paire de jumelle, et un revolver modèle 1822 ou d’une baïonnette. L’uniforme français ne comportait pas de bottes mais des chaussures montantes serrées autour du mollet et de la cheville pour éviter que la boue n’entre dans les chaussures. Leurs longs manteaux étaient relevés de chaque côté pour mieux courir et marcher sinon leurs jambes étaient un

22 septembre de la même année, le sous-inspecteur des écoles Marie-Antoine-Sérapion Reynaud des Monts fait passer aux élèves cadets de Brienne l'examen d'entrée à l'École militaire de Paris, où après un an d'études ils pourront être affectés à un régiment d'artillerie, de génie, ou de la marine17. Napoléon est jugé apte à y entrer ainsi que quatre de ses condisciples. Il quitte l'école le 17 octobre et arrive cinq jours plus tard à Paris où il intègre la compagnie des cadets gentilshommes18. Le 24

pouvait arrêter les français qui acharner, continuais à débarquer dans les tranchées adverse malgré les trous d'obus qui les empêchait de marcher droit . Le bruit des obus qui atterrissait à quelques mettre de lui ne le déstabilisa pas un seul instant . François n'était pourtant le plus courageux de tous les soldats comme lui répétait sans cesse le chef de son régiment "si tous les soldats était comme cette fillette de François vl a qu'on serais mal barrer ", mais les moqueries le motivait encore plus

22 septembre de la même année, le sous-inspecteur des écoles Marie-Antoine-Sérapion Reynaud des Monts fait passer aux élèves cadets de Brienne l'examen d'entrée à l'École militaire de Paris, où après un an d'études ils pourront être affectés à un régiment d'artillerie, de génie, ou de la marine[12]. Napoléon est jugé apte à y entrer ainsi que quatre de ses condisciples. Il quitte l'école le 17 octobre et arrive cinq jours plus tard à Paris où il intègre la compagnie des cadets gentilshommes[13]. Le

Dès le début de la guerre, alors qu’il est instituteur à l’école communale de sa ville natale, Paul-Henri Mongis se retrouve mobilisé du jour au lendemain en tant que sergent au 74e régiment d’infanterie. Il participe avec son régiment entre autres à la bataille de la Marne, à la campagne d’Artois et à la bataille de Verdun. Il a conquis sur le front, un à un, au prix d’actions d’éclats les grades suivant, jusqu’à celui de lieutenant. Outre les trois palmes

BEL AMI ( 1885) Guy de Maupassant Objet d'étude : le personnage de roman, du XVIII à nos jours Vocabulaire : Gargote : restau bon marché Coups d'épervier : jeter le filet Tapageuse : Voyante Collation : léger repas Hussards : soldats combattants à cheval Back : pot à lierre d'un quart de litre L'extrait dont il s'agit ici, est l'incipit du roman de Maupassant publié en 1885. Le roman raconte les aventure de G O , un ambitieux qui pâlit son origine modeste par son charme. Il faisait

l'Algérie le 1er décembre. Un témoin oculaire allemand qui servait l’armée en volontaire donne le récit de cette expédition3 « Ce fut le 1er octobre que l’armée française sortit du camp de Merdjez-Hammar pour marcher sur Constantine. Elle se composait de quatre brigades, dont chacune avait à peine la force d’un régiment ; le tout ne comprenait pas plus de 7 000 hommes4. Les deux premières brigades, commandées par le duc de Nemours et le général Trézel, bivouaquèrent, le 1er octobre, sur les hauteurs de Rez-el-Akba5

suite des lambeaus d'armée en déroute avaient traversés la ville. Ce n'était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avancés d'une allure mou, sans drapeau, sans régiment. Tous semblaient accablés, éreintés, incapables d'une pensée ou d'une résolussion, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu'il s'arrêtaient. On voyait surtout des mobiliser, gens pacifics, rentiés tranquilles, pliant sous le