Région continentale

I. L’identité de la région Languedoc-roussillon Pour présenter la région : Le Languedoc-Roussillon est une région qualifié de « en quête d’affirmation », elle est peuplée de 2,6 millions d’habitants. C’est la région française avec le solde migratoire le plus positif. Son identité méditerranéenne et son profil socio-économique sont affirmés tout d’abord part l’importance de l’agriculture, la forte orientation vers le tourisme, une très faible industrialisation et d’autres part par le secteur

près de 5 millions de personnes. Fin 2011, l’énergie éolienne représente plus de 10 % de la consommation domestique dans 6 régions françaises (champagne-ardenne, Picardie, Lorraine, centre, Bretagne et Languedoc-Roussillon). elle atteint jusqu’à 50 % de la consommation domestique en champagne-ardenne, qui figure en tête des régions de France (970 mW raccordés). À fin 2012, la région champagne-ardenne sera en mesure de produire l’équivalent de presque 70 % de sa consommation domestique avec ses éoliennes

position Socio-Economique, « WaD ! » s’affirme pour une réduction d’impôts pour les plus démunis, une taxation des produits polluants et une réduction de la TVA. De plus, « Wallonie d’abord ! » met en exergue le besoin de créer une banque d’épargne de la région wallonne en différenciant les banques d’investissements et les banques d’épargnes. Le parti semble s’inscrire dans un programme relativement étatique en proposant la création d’agences contrôlées par l’Etat. Et à cela, s’ajoute les taxes. Ils semblent

avril 2008 Arrêt Sté Megaron (CE, 21 mars 2008, n°310173), conclusions du commissaire du gouvernement et note de jurisprudence de Philippe BILLET, La semaine juridique du 14 avril 2008. Avis de l’Assemblée des Régions de France du 7 juillet 2005 sur les interventions économiques des régions et Schémas Régionaux de Développement Economique Question écrite du Sénat n°21508 de M. Josselin de ROHAN Projet de loi de modernisation de l’économie adopté en première lecture par l’Assemblée nationale le 17

Ici la densité dépasse 1500 hab/km². Les hommes sont rassemblés dans 2 grandes métropoles. Le taux d’urbanisation y est supérieur à 80%. La mégalopole s’articule le long d’un rideau urbain hiérarchisé, linéaire et multipolaire. On distingue 4 régions majeures qui regroupent 210 villes : - Kanton → 30 millions de personnes - Kansai → 22 millions de personnes - Chukyo - Kitakyushu A l’heure actuelle, la densification de l’occupation humaine se poursuit avec l’arrivée de population

LE JAPON INTRO: Sur le littoral pacifique du Japon, s'étale la Mégalopole japonaise du Nord de Tokyo à Fukuoka à l'ouest Cette mégalopole se différencie des deux autres mégalopoles par son étirement sur une mince bande littorale, ses densités de population très élevées, la place de l'industrie, des ports et le poids de l'agglomération de Tokyo. Comment peut-on expliquer une telle concentration sur le « japon de l'endroit »Quels problème se pose à la mégalopole? I/LA PUISSANCE

lui a succédé et a participé à la correction de cette thèse. Mais aussi le Pr Bernard Wathelet, pour son soutien scientifique au cours des réunions. Il est important de souligner que ma recherche a été rendue possible par le soutien financier de la Région Wallonne et la société Meurens Natural par l’intermédiaire d’un projet FIRST DEI. Je remercie également d’ores et déjà les membres de mon jury de thèse : le Pr Michel Paquot (promoteur), le Pr Yves Queneau qui s’est proposé comme rapporteur externe

Herculanum (en italien moderne, autrefois Resina, Ercolano depuis 1969) est une ville romaine antique située dans la région italienne de Campanie, détruite par l'éruption du Vésuve de l'an 79, conservée pendant des siècles dans une gangue volcanique et remise au jour à partir du xviiie siècle. La cité était petite, avec une superficie de 12 hectares, dont environ 4,5 ha ont été dégagés, et une population estimée à quatre mille habitants. La cité n'est connue qu'en partie, la plupart des édifices

des dotations (indemnités) et des budgets faibles à cause de la présence d’une multitude d’intermédiaires, de frais de gestion élevés. La hausse des inégalités avec les régions pauvres ou peu peuplées qui ont des charges fixes très élevés mais peu de dotations. Des difficultés croissantes des régions françaises pour rivaliser avec celles des autres Etats Membres. On le remarque particulièrement au niveau des campus et des centres universitaires. Une certaine opacité

comporte donc 23 zones franches, suivies par la mission ville régionale dans le cadre d'un " tableau de bord régional des ZFU " créé dès 1996 à l'initiative conjointe du Préfet de région et du Président du conseil régional. La réalisation de ce tableau de bord a été confiée à l'institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Ile-de-France (IAURIF). Par ailleurs, la mission ville régionale représente le Préfet, secrétaire général aux affaires régionales au sein des comités d'orientation et de surveillance