Région de la Volta

mains libres pour débarquer en France. 2 : Les chevauchées. La première des célèbres chevauchées anglaises date de 1346 : une armée réduite, mobile, avançant sur un front réduit et pratiquant une guerre totale dévastant systématiquement les régions traversées. Les deux armées se rencontrent à Crécy le 26 août 1346. Les français sont plus nombreux, mais l’armée française, comptant sur sa chevalerie puissante, affronte une armée anglaise composée d’archers et de fantassins. Cependant, c’est un

choix de la politique de développement d’alors, basée sur l’économie de plantation et des grandes exportations industrielles ont favorisé l’importation massive de la main-d’œuvre bon marche de Haute Volta (actuel Burkina) et du Mali essentiellement. Malheureusement les mains-d’œuvre dans cette région, qui produit alors le tiers de la production ivoirienne de cacao étaient assujetties au travail forcé et, les intermédiaires du commerce de traite volent proprement les paysans. En devenant chef, Houphouët

économique de la Haute Volta. La BAO fut la toute première institution bancaire de ce pays. Dix ans plus tard, en 1955, la BAO perd son privilège d’émission de la monnaie au profit de l’Institution d’Emission de l’Afrique Occidentale et du Togo. En 1962 avec l’ouverture du capital à la First National City Bank, la BAO devient la Banque Internationale pour l’Afrique de l’Ouest (BIAO).celle-ci s’installe à Ouagadougou en 1965 comme deuxième agence bancaire en Haute-Volta. En début 1974, les autorités

mais pas, comme on le lit parfois, le premier normalien africain[3]. Il débute sa carrière de professeur de lettres classiques au lycée Descartes à Tours, puis est muté, en octobre 1938, au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans la région parisienne. Outre ses activités d'enseignant, il suit des cours de linguistique négro-africaine dispensés par Lilias Homburger à l'École pratique des hautes études et ceux de Marcel Cohen, Marcel Mauss et de Paul Rivet à l'Institut d'ethnologie de

  à  œuvrer  du   côté  du   OFF.  Il   s’agissait  en   quelque  sorte  d’ouvrir   un   espace  d’expression  aux  jeunes   danseurs   chorégraphes   de  Lyon  et   de   la   région   ;   de   leur   perme[re   d’être   vus   durant   l’événement   d’envergure  interna]onale  que  représente  la   Biennale  de  la  Danse   de   Lyon. C’est   chose   faite  

mais pas, comme on le lit parfois, le premier normalien africain3. Il débute sa carrière de professeur de lettres classiques au lycée Descartes à Tours, puis est muté, en octobre 1938, au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans la région parisienne (une stèle y commémore son passage). Outre ses activités d'enseignant, il suit des cours de linguistique négro-africaine dispensés par Lilias Homburger à l'École pratique des hautes études et ceux de Marcel Cohen, Marcel Mauss et de Paul

Pour s'y présenter il a du faire une demande de naturalisation3. Il débute sa carrière de professeur de lettres classiques 4 au lycée Descartes à Tours, puis est muté, en octobre 1938, au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans la région parisienne (une stèle y commémore son passage). Outre ses activités d'enseignant, il suit des cours de linguistique négro-africaine dispensés par Lilias Homburger à l'École pratique des hautes études et ceux de Marcel Cohen, Marcel Mauss et de Paul

famille du SNGE avec une mention spéciale au : - Professeur FAYE (Chef de service SNGE) qui nous a ouvert les portes de l’institution ; - Docteur Lamine DIAWARA Coordonnateur du Programme National de Lutte contre l’Onchocercose et Médecin Chef de la région médicale de Tambacounda sans qui ce stage n’aurait certainement pas eu lieu au Sénégal car son intérêt pour la recherche et sa joie d’accueillir un apprenti chercheur sénégalais dans son programme ont fortement contribué à convaincre nos directeurs

Pour s'y présenter il a du faire une demande de naturalisation3. Il débute sa carrière de professeur de lettres classiques 4 au lycée Descartes à Tours, puis est muté, en octobre 1938, au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans la région parisienne (une stèle y commémore son passage). Outre ses activités d'enseignant, il suit des cours de linguistique négro-africaine dispensés par Lilias Homburger à l'École pratique des hautes études et ceux de Marcel Cohen, Marcel Mauss et de Paul

échanges commerciaux et favorisant ainsi les marchés internationaux. De même pour les navires, utilisant la vapeur, qui aideront à la croissance. D’autres innovations joueront un rôle dans cette industrialisation telles que la pile électrique créée par Volta en 1800 et le marteau-pilon, en 1839. L’agriculture également, éprouva des besoins auxquels le progrès technique répondit par de nouveaux engrais et de nouvelles machines agricoles. La production et la qualité en furent d’autant plus améliorées. En