Regret Victor Hugo

Commentaire composé : Hugo : Le Dernier jour d’un condamné : Incipit Texte étudié : Condamné à mort !Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !Autrefois, car il me semble qu’il y a plutôt des années que des semaines, j’étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s’amusait à me les dérouler les

forcement utilisé par les dramaturges. Le mouvement classique, représenté, essentiellement, par Corneille et Racine n’utilise que très parcimonieusement le ressort de la mort « pathétique ». Par contre le mouvement romantique, auquel appartient Victor Hugo utilise largement, le ressort de la mort « pathétique », comme Albert Camus, l’utilise dans Caligula, mais d’une façon différente. « Les tragédies modernes », font de la mort de leurs personnages, tel Béranger 1er, des personnages « comiques »

poésie I Ref. XVI l'humanisme siècle la Pléiade = groupe de poète rassemblant Ronsard, Du Bellay Ronsard → par Hélène Du Bellay → Les regrets XVII siécle classicisme La fontaine, les fables Boileau Art poétique sur un racine de la bruyère une corneille Boileau de la fontaine molière XIX siècle romantisme Chateaubriand Musset Hugo parnasse « l'art pour l'art » Gautier, Leconte de Lisle symbolisme Verlaine, Rimbaud XX siècle cubisme Apollinaire surréalisme

est universelle et les thèmes qu'elle développe concernent l'Homme. (comme le fait Saint John Perse dans « Les Cloches », Images à Crusoé) (comme le fait Victor Hugo dans Demain dès l'Aube – rend hommage à sa fille Léopoldine). Le poème lyrique développe des thèmes liés à la vie affective de l'auteur (l'amour, la haine, les regrets), à son rapport au monde (la nature, le temps qui passe) et à l'évasion de l'imaginaire (rêve d'un ailleurs idéal). Comme on voit sur la branche de Pierre de

ce bourreau sans merci, Va cueillir des remords dans la fête servile, Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici, Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années, Sur les balcons du ciel, en robes surannées ; Surgir du fond des eaux le Regret souriant ; Le Soleil moribond s'endormir sous une arche, Et, comme un long linceul traînant à l'Orient, Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche. Charles Baudelaire . Ronde pour les enfants Fillettes, les fleurs sont écloses

Victor Hugo Assemblée Constituante 1848 15 septembre 1848. Je regrette que cette question, la première de toutes peut-être, arrive au milieu de vos délibérations presque à l’improviste, et surprenne les orateurs non préparés. Quant à moi, je dirai peu de mots, mais, ils partiront du sentiment d’une conviction profonde et ancienne. Vous venez de consacrer l’inviolabilité du domicile, nous vous demandons de consacrer une inviolabilité plus haute et plus sainte encore, l’inviolabilité de la

[pic] La peine de mort CORPUS GROUPE 1 : Extrait de Réflexion sur la peine capitale d’A. CAMUS et de A. KOESTLER (1957) La peine capitale GROUPE 2 : Discours prononcé par Victor HUGO à l’Assemblée constituante (1848) La peine de mort GROUPE 3 : Extrait du Dictionnaire philosophique, article « Torture » de VOLTAIRE GROUPE 4 : Extrait de Dei delitti e delle pene (1765) de Cesare BECCARIA

enfant du siècle, ouvrage paru en 1836, les désarrois de la génération née à la fin de l'Empire et qui, ayant rêvé avec l'épopée napoléonienne, s'ennuie sous la Restauration. Les jeunes artistes se réunissent dans des cénacles, autour de Nodier puis de Hugo et affirment leurs ambitions dans des textes théoriques et des manifestations. Ils se rebellent contre l'esthétique de leurs aînés et revendiquent la liberté en art, puis en politique, plaçant leurs espoirs dans la révolution avant de connaître la

registre que des poètes parviennent à se livrer en nous faisant partager leurs passions, qui sont généralement l’amour la tristesse et la déception. Dans le recueil « Les nuits », Alfred de Musset illustre ses déceptions et sa solitude. De même Victor Hugo nous fait part de la douleur qu’il ressent après avoir perdu sa fille Léopoldine à travers « Les contemplations ». Louis Aragon, en revanche, célèbre l’amour qu’il a pour Elsa Triolet mais également son amour pour la France dans un poème qui s’intitule

plusieurs s'en vont qui devraient demeurer. Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis ! Si même Ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ; S'il en demeure dix, je serai le dixième ; Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! Victor Hugo, Les châtiments, 1852 À M. Félix Guillemardet Frère, le temps n’est plus où j’écoutais mon âme Se plaindre et soupirer comme une faible femme Qui de sa propre voix soi-même s’attendrit, Où par des chants de deuil