Régulier et séculier

III) Société Au XVIIème siècle, la société française était groupée en trois ordres : le Clergé, la Noblesse et le Tiers état. Chacun d’eux possédait des lois et des privilèges particuliers. Clergé : il y a deux types de clergé, séculier et régulier. Il vivait essentiellement de la dîme qui assurait l’enseignement, les services de charité, les cultes et l’entretien des églises. Noblesse : il y a plusieurs catégories de nobles, mais cet ordre est le plus aisé. Le tiers état : cet

proteger ses fidèles en envoyant des chevalier a la conquete de la terre sainte. Le pape interdira aussi les batailles le dimanche dans le meme but de pacification L'Eglise est strucutré et hierarchisée divisé entre le clergé seculier (pretres eveques et archeveques) et regulier (moines copistes) dirigé par le Pape, chef de l'Eglise.Il cherche a etendre la chretienté et lutte contre les heretiques et les paiens. Au 11e siecle le Pape se fait elire par des cardinaux (et plus par l'empereur) il devient

Constituante s’étaient engagés à gérer le service du culte et à entretenir ses ministres. B. La position du bas-clergé Le bas-clergé séculier n’a pas été inquiété de la nationalisation des biens du clergé, ni de la suppression des offices inutiles. En effet, ils considéraient que ces mesures concernaient surtout le haut-clergé et le clergé régulier. L’essentiel des biens de l’Eglise était détenu par la noblesse ecclésiastique, ainsi les curés, souvent issus de milieux modestes, ne détenaient

En raison du respect attaché au caractère sacré de ses fonctions, son autorité est grande. Solidement structuré, hiérarchisé, discipliné, il est le corps social le mieux organisé. Partagé entre clergé «régulier», comprenant les religieux et religieuses des abbayes et monastères, et clergé «séculier», prélats et prêtres de paroisse, il représente moins de 200000 personnes ( soit 1 % de la population en France), mais il forme une société à part, avec son aristocratie riche, le haut clergé, composé des

la mort. L’Eglise contrôle tous les aspects de l’organisation sociale, elle enseigne, accueille les pauvres et garantit la paix. Elle est représentée dans cette société par le clergé régulier, des moines vivant en communauté dans des abbayes selon une règle monastique et consacrant leur vie à Dieu. Et le clergé séculier (curés, prêtres et évêques qui dirigent les diocèses) vivant et régissant le quotidien des croyants. L’Eglise contrôle les consciences, les pratiques et les croyances ; des pénitences

fidèle qui regroupe le clergé et laïcs, le clergé est chargé de l’encadrement des fidèles laïcs. On distingue deux types de clergés : * Le clergé régulier : membres qui vivent en communauté et respect une règle, le but est de prier pour le salut des âmes de tous les chrétiens. * Le clergé séculier : vivait auprès des fidèles. Le prêtre allait apporter les différents sacrements pour rapprocher les chrétiens de Dieu. Il y a 7 sacrements : le baptême, la confirmation

des cardinaux, les évêques, les abbés et les moines. Le Pape élisait les cardinaux, qui eux nommaient le pape. Ensemble, ils élisaient les évêques et les prêtres et qui formaient donc le groupe des Séculiers. Le pape et les cardinaux élisaient aussi les abbés et les moines. Il s'appelaient les Réguliers. A la naissance, les religieux sont libres et leur fonction est donc une fonction religieuse. Qui dit religieux, dit éducation religieuse, avec certaines valeurs. Ils possèdent des terres, des domaines

qui l’a décidé car sa vie est un exemple à suivre. Il a fondé l’ordre des frères mineurs et a consacré sa vie à la prédication et aux pauvres. 4/ Qu’est-ce que l’Eglise ? Qu’est-ce qu’un hérétique ? L’Eglise c’est l’ensemble du clergé régulier (moines) et séculier (prêtre, évêques, pape). Un hérétique est une personne qui refuse de croire aux croyances de l’Eglise. 5/ Donne deux exemples du rôle de l’Eglise dans la société au Moyen Age ? L’Eglise joue un rôle politique : c’est l’évêque qui sacre

une parenté directe avec le panthéon (c'est le cas d'Hercule), ou légendaire, auquel cas il est fréquemment lié à un dieu tutélaire. La fonction du héros évolue ; il devient, pour l'admiration des populations, relais de la fusion du pouvoir régulier et séculier réalisée en la personne du suzerain. Homme-lige, le héros donne donc par son geste de la légitimité à son seigneur. Grâce aux effets produits par la littérature, le héros emblématique devient fictionnel, tel Don Quichotte en Espagne. L'époque

y reçoivent les sacrements (baptême, eucharistie, extrême-onction, etc.). Les évêques et les prêtres qui vivent avec les laïcs forment le clergé séculier. •  À l'écart du monde vivent des religieux qui sont en général groupés dans des monastères. Ils suivent une règle, sous l'autorité d'un abbé ; c'est pourquoi les moines constituent le clergé régulier. La règle de saint Benoît sert de modèle à presque tous les monastères ; les bénédictins vivent en communauté, se consacrent à la prière, à la méditation