Réification

- Elle s’échauffe EX : « visage fort enflammé » (l.1), « dos suant » (l.18), « un tapabor d’écarlate » (l.9)  Réification - « La pauvre dame » (l.24) Ironie car ce n’est pas une femme respectable. « pauvre » -> mépris et non pitié Ainsi le narrateur émet un jugement particulièrement négatif : Mme Bouvillon nous apparait comme bestiale, ridicule et dénuée de

physique (ligne 14 à 25) et enfin, elle s’autodétruit (ligne 25 à fin). | | |--Les sœurs insultes la jeune fille. Elle le représente comme la mal («créature») et Suzanne subit une réification | | |(considérée comme un objet) et une dégradation de la part des sœurs. | | |--Ensuite, les sœurs agressent Suzanne (viol

enfermé ds son alcoolisme, il ne communique plus. Il est réifié « il ne comptait plus ; elle se serait assise sur lui si elle n’avait pas trouvé de chaise » : il fait partie du décor ! Cette réification correspond à une mort symbolique. Le narrateur participe à cette réification en assimilant Coupeau à des objets par le biais de métaphores ou de comparaisons : c’est un « tonneau » malade ; les termes « réparé », « recloué » « raccommodage » appliqués à Coupeau font penser à un objet 

Russo, Roberto Toscano, Gianni Vattimo, Wang Hui, Slavoj Žižek, Nouvelles Éditions Lignes, 2010. La Lutte pour la reconnaissance, Cerf, 2000 (traduction française de l’édition allemande de 1992, seconde édition allemande complétée en 2003).  La Réification : petit traité de théorie critique, Gallimard, 2007. Les Pathologies de la liberté, La Découverte, 2008  Le politique et ses enjeux. Pour une démocratie plurielle. Paris: La Découverte/MAUSS, 1994.  Hégémonie et stratégie socialiste; vers

peut fonder une "société humaine", sur le culte du plus fort et du tri physique, sur la concurrence généralisée et la compétition permanente, sur l'idéal du dépassement, du risque et du jeu avec la mort, sur l'apologie de la virilité (3), sur la réification des athlètes, la chloroformisation des consciences, sur les communions magiques et les délires chauvins, sur les identifications les plus pauvres et les émotions les plus fades, sur l'anti-intellectualisme maladif. L'idéologie sportiste a conquis

supplémentaire imposé au cheval plus rapide : on a transformé la relation en chose, par un processus mental de réification. Dans un deuxième temps, on ne pense plus la chose compensatoire mais ce qui doit être compensé, ce qui manque au plus faible : on a transformé la chose compensatoire en son inverse, un manque, par un processus mental que j'appellerai néantisation. Par ce double processus de réification et de néantisation, on a créé cette chose absente qu'est le handicap, manque imputé à un individu. Ce

l’emploi du pronom “tu”, qui crée un rapprochement vers Hippolyte, une désacralisation qui est suivie d'une distanciation de l'héroïne envers elle-même puisqu’elle utilise la troisième personne du singulier pour se désigner. Elle effectue donc une réification de sa propre personne se dénonçant en tant que criminelle. Ainsi, les paroles de Phèdre donnent un objet précis à l'héros qu'est Hippolyte (tuer un monstre), l'intégrant dans le jeu dramatique.1 Hippolyte est ainsi au deuxième acte non seulement

Enumération des faits banales et intégration de la mort du grand père. Il dégrade l’événement du décès. Le grand père est déshumanisé, il est déjà sorti de la scène comme des détriments puis cette idée et renforcé par les mots des femmes, il y a une réification. « jamais il y a deux sans trois » est donné comme une loi mathématique mais qui est en réalité absurde. « je l’ai toujours dit » la parole qui n’appartient à personne et qui appartient a tout le monde. Il y a un rythme qui clôture le propos. Elle

certain nombre d’actions territorialisantes. Ces actes sont organisés par Turco en trois catégories fondamentales : la dénomination, la réification et la structuration. A ces trois catégories correspondent des relations de contrôle qui règlent les interactions entre l’homme et l’espace : la dénomination permet le contrôle symbolique de l’espace, la réification se définit comme la « transformation matérielle du territoire » et la structuration est un moyen de contrôle du territoire qui passe par

de l'enfance -plus de rire (hyperbole v. 1) -plus de jeux v. 11 ( allitération en [z] suggérant le bruit des machines) -solitude v.3 ("cheminer seul") -un monde de métal (froid): v.10 "tout est d'airain, tout est de fer" (parallélisme) B) Réïfication de l'enfant -même mouvement (==>machine) parallélismes v.6 et v.11 -outil (v.25 comparaison) -l'écrasement: "sous des meules" (hyperbole) v.4, "sous les dents" v.7 C) La perte de l'âme -métaphore vv.26-28: progrès vu comme Dieu maléfique