Réification

homme pour les femmes, mépris accentué par des phrases telles que « il aurait encore épousé toi, son chien et son chat » ou il compare les femmes à des animaux, ou « il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui » où l’on observe une réification de la femme par le mot « rien ». En plus de mépriser les femmes, il ne respecte pas l’union sacrée du mariage le considérant comme un « piège » et la séduction une chasse. Tout cela pour sa « passion », chose réprouvée au XVIIème siècle. Malgré

personnage particulier : très utilisé aussi par Marivaux dans la Fausse Suivante ou l’Ile des esclaves par exemple. Utilisation récurrente de ce personnage pour critiquer l’aristocratie. - société corrompue, à l’image du chantage de Trivelin : réification de la maitresse : « faire entrer Sylvia en comparaison avec des meubles » b) Apologie du bon sens populaire - peuple à travers Arlequin, personnage particulier : une des théories de l’étymologie est hell = enfer et king = roi, issu de croyance

déifier : le pouvoir de l’eau par ses larmes, le pouvoir du ciel qu’elle regarde et le pouvoir du feu par les flambeaux (absence toutefois du pouvoir de la terre) . Cette déification fait d’elle une image, qui d’une certaine manière devient une réification) ③ Une opposition de l’immobilité de Néron et la mobilité de Junie est remarquable. Conclusion : C’est un environnement hostile qui produit un sentiment d’inquiétude, d’étrangeté comme annonçant les prémices d’un évènement dangereux. Paradoxalement

n’était pas présente : « Madame, il faut disposer de cette créature, si vous ne voulez pas qu’elle dispose de nous » l. 5-6. L’utilisation de l’auxiliaire de modalité traduisant l’obligation, de même que le mot « créature » traduisent à la fois la réification de l’héroïne dans l’énonciation des religieuses, et le sentiment d’un danger imminent touchant l’un ou l’autre des partis. La violence verbale faite à Suzanne atteint en quelque sorte son apogée dans cette expression (l. 5-6). C’est

schéma. Le père Ubu provoque des personnages importants, il les interroge et leur donne des ordres avant de les exécuter (« à la trappe », expression la plus répétée dans la scène) Le comique de gestesLe comique de gestes est remarquable par la réification des Nobles à la ligne 43 « on empile les Nobles dans la trappe ». Il y a une mise en scène du dramaturge qui contribue à la déshumanisation des personnages comme dans ces exemples « on pousse brutalement les nobles », « ils se débattent en vain

Tardi très réaliste et fidèle au vécu des soldats durant la première guerre mondiale III. L’évocation des violences de la Guerre Elles montrent la brutalisation d'un conflit industriel (gaz, mitrailleuses) sur les corps des belligérants, la réification des troupes, la perte de toute dignité humaine face à la banalisation de la mort au combat, la violence d'une guerre qui toucha souvent les civils et qui fut plus urbaine qu'on ne le pense d'ordinaire. Selon Tardi, la guerre est une chose très

L'analyse systématique des principales activités humaines se poursuit par l'œuvre, ce qui dure, ce qui est le résultat d'une réification. La principale caractéristique de l'œuvre est d'avoir une fin prévisible, et ainsi d'offrir à l’homo faber un monde de sécurité « parce qu'il est ou s'est fait maître de la nature, mais surtout parce qu'il est maître de soi et de ses actes. »20 L'automatisation du travail, et à travers elle l'absence de limites du travail, la quête de l'abondance, menace ce monde

éprouva dans sa relation amoureuse et malheureuse avec Annie Playden. Comme souvent chez ce poète, le thème de la mutilation apparaît, au vers 6 " les mains des amantes d’antan jonchent ton sol ". Cette image d'une mutilation s'accompagne d'une réification et le verbe joncher, qui s’applique en premier lieu aux feuilles qui tombent, montre comment les souvenirs amoureux finissent par se trouver assimilés aux manifestations naturelles propres à cette saison. L’automne, saison de transition, devient

l’art est une production humaine libérée de l’utilité immédiate et renvoyant aux interrogations liées à notre condition humaine : à la fois dévoilement d’une réalité d’habitude cachée, conscience du tragique, révolte contre toutes les formes de réification et expression de la vie spirituelle. S’interroger sur les règles de l’art revient donc à se demander s’il est possible d’enseigner l’art, ou au contraire, si l’art ne relève que d’une inspiration, d’un don, du génie : l’art s’affranchirait-il de

comprendre symbole oiseau poète I – Récit pathétique de la chute de l'oiseau a) Le drame de la capture rapt oiseau en vole = vole brisé 1ere strophe : description barbarie marins : * rejet met en valeur « prendre » qui renvoi à objet → réification * occlusives = violence * brutalité acte : « vaste oiseau des mers » ( + fluide que je reste) hommes sadiques : prennent albatros pour s'amuser + torturer b) Dégradation progressive de l'oiseau