Reine De Beauté

Dionysos équivaut à Bacchus. Cléopâtre, quant à elle, est considérée comme Aphrodite. Nous le voyons à la ligne 5 « représentent Aphrodite » ainsi qu’à la ligne 11 « c’était Aphrodite ». Aphrodite est la déesse de l’amour, des plaisirs et de la beauté. La déesse romaine équivalente est Vénus. A coté de cela, Cléopâtre se déifie elle-même. Nous avons déduit cela avec les déguisements de ses accompagnants. Ces servantes sont déguisées d’une part en Néréides et d’autre part en Grâces. Les Néréides

Selon le roi Philippe II, l’Angleterre est aux emprises du Diable. Il doit la libérer pour ainsi convertir les Anglais protestants à la bonne religion, le religion catholique. 2- Quels cadeaux rapporte Walter Raleigh du nouveau monde pour la reine? Il rapporte des patates, du tabac et des natifs des Amériques. 3- Quel secret Élisabeth confie-t-elle à son prétendant suédois? Elle lui dit qu’elle fait comme s’il y avait un panneau de verre entre elle et ses sujets. Ils peuvent la voir

à marier. La présence de la reine autorisait la sienne. Cette princesse était belle, quoiqu'elle eût passé la première jeunesse ; elle aimait la grandeur, la magnificence et les plaisirs. Le roi l'avait épousée lorsqu'il était encore duc d'Orléans, et qu'il avait pour aîné le dauphin, qui mourut à Tournon, prince que sa naissance et ses grandes qualités destinaient à remplir dignement la place du roi François premier, son père. L'humeur ambitieuse de la reine lui faisait trouver une grande

indépendance et d’un pouvoir féminin ne soit pas systématiquement présentée à nos enfants comme le mal absolu. Pour mémoire, les principales méchantes des « classiques d’animation Disney » sont : la Reine dans Blanche-Neige et les sept nains, la marâtre et ses filles dans Cendrillon, la Reine de Cœur dans Alice au pays des merveilles, Maléfique dans La belle au bois dormant, Cruella dans Les 101 dalmatiens, Mme Mim dans Merlin l’enchanteur, Mme Médusa dans Les Aventures de Bernard et Bianca,

simple dépouillement et va en faire « de l’or », - Tristan L’hermite : cf points communs et différences : importance parties corps + pierres précieuses : problème elle subit, « baisse la tête » donc condamnée à être une « gueuse » et non une Beauté) - Champ lexical de la poésie : « sonnets », « rimeurs », « dédiant », « primeurs » - Jeu avec la tradition de la poésie amoureuse : « et contemplant ton soulier sous l’escalier », aveu d’amour original voire érotique peut-être… -

Nemours » + « elle se tourna »  ils s’entendent avant de se voir « étonnement » = frappé par le tonnerre Une égale beauté « l’on admira sa beauté et sa parure » « le soin qu’il avait pris de se parer » « l’air brillant » «  tellement surpris de sa beauté » « admiration » « louanges » « parfaite beauté »  importance beauté isole les 2 perso principaux & beauté extérieure = beauté âme Parallélisme : « il était difficile […] mais il était difficile aussi » Le discours direct Duc : « Madame de Clèves

jeune princesse de 16 ans, qui après avoir reçu de sa mère une éducation austère, découvre la Cour et se marie avec M. de Clèves, un homme qu'elle estime mais dont elle n'est pas amoureuse. Le caractère exceptionnel de cette princesse ainsi que sa beauté exceptionnelle semblent pourtant présager d'un avenir tragique . L'extrait étudié est situé juste après le mariage de Mademoiselle de Chartres et de M.de Clèves. Il s'agit de la première rencontre entre l'héroïne et le Duc de Nemours. -nous nous

Marie-Antoinette : Reine de la mode Marie-Antoinette est née à Vienne le 2 novembre 1755 et est morte guillotinée à Paris, le 16 Octobre 1793. Elle était épouse de Louis XVI, roi de France. Elle fut surnommée l'Autrichienne dès son arrivée en France et, plus tard,« Madame Déficit ». Pendant de nombreuses années, Louis XVI se révéla incapable de consommer le mariage exacerbant ainsi les désirs inassouvis de sa femme, ceci peut expliquer le besoin de la reine aux divertissements constants et

comme si Psyché était tiraillée, perdue… Regard du narrateur devenant externe au niveau de la strophe… Le narrateur fusionne souplement un peu les deux points de vue. Ecriture poétique de La Fontaine : style élevé, lyrique, qui sert à magnifier la beauté de l’amour, telle une langue des dieux… Allégories qui foisonnent, comme si par contamination de l’amour nous étions passés dans un registre complètement surnaturel, domaine de la merveille, explosion de lumière etc. Alors qu’il ne s’agit que d’un

marier. La présence de la Reine autorisait la sienne. Cette Princesse était belle, quoiqu’elle eut passé la première jeunesse ; elle aimait la grandeur, la magnificence, et les plaisirs. Le Roy l’avait épousée lorsqu’il était encore Duc d’Orléans, et qu’il avait pour ainé le Dauphin, qui mourut à Tournon ; Prince, que sa naissance et ses grandes qualités destinaient à remplir dignement la place du Roy François Premier, son père. L’humeur ambitieuse de la Reine lui faisait trouver une grande