Reine des abeilles

Soleil (1947); On Our Merry Way (1948); le Rebelle (1949); la Garce (id.); Lightning Strikes Twice (1951) ; Japanese War Bride (1952) ; la Furie du désir (Ruby Gentry, id.); L’homme qui n’a pas d’étoile (1954) ; Guerre et Paix (1956) ; Salomon et la Reine de Saba (1959) ; Truth and Illusion : an Introduction to Metaphysics (1966) ; Metaphor (1979). ----------------------- [1] F. J. Turner, La Frontière dans l’histoire des Etats-Unis, Paris, P.U.F., 1963, cité par C. Gonzalez, Le western, Que

 Durée : 1heure Devoir surveillé n°2 du premier trimestre La fourmi fait partie de la classe des insectes, de l'ordre des Hyménoptères (abeilles, guêpes et fourmis), de la famille des formicidés. Son corps mou est aussi dur qu'une armure : On l’appelle l’exosquelette. Sa tête est grosse par rapport à son thorax qui est mince. Ses yeux sont gros et sont composés de lentilles externes. Ses oreilles sont composées de petites antennes. Et sa bouche est comme

cavaliers et les pions sont les reîtres de nouveaux hobereau; les fous (ou plutôt les évêques, selon les normes internationales pour le jeu d’échec) sont l’évêque Jean de Genève, l’évêque de Gap, l’archevêque d’Embrun et l’abbesse d’Arles, et où roi et reine, blancs et noirs, sont respectivement les Mévouillon d’un côté et les Montauban de l’autre .(Patrick Ollivier) Les origines Imaginons un territoire en marge des Alpes et de la Provence, entouré de villes comme Vaison, Sistreron, Gap, avec une

Pierre de Ronsard (1560) Marie, vous avez la joue aussi vermeille Qu'une rose de mai, vous avez les cheveux De couleur de châtaigne, entrefrisés de noeuds, Gentement tortillés tout autour de l'oreille. Quand vous étiez petite, une mignarde abeille Dans vos lèvres forma son doux miel savoureux, Amour laissa ses traits dans vos yeux rigoureux, Pithon vous fit la voix à nulle autre pareille. Vous avez les tétins comme deux monts de lait, Qui pommellent ainsi qu'au printemps nouvelet Pommellent

d'aimer et la vision du temps qui passe comme dans son Mignonne, allons voir si la rose... publié en 1553[62] . On y retrouve également les thèmes d'Anacréon dans ses odelettes dont le héros est le dieu Amour (L'Amour mouillé l'Amour piqué par une abeille - 1553/54)[63] . On retrouve également Michel Marulle dans sa capacité à se raconter et à décrire des sentiments tout simples[64] . C'est dans Les Amours que Ronsard fixe les règles du sonnet : deux quatrains où alternent rimes masculines et

d’une épouse, sans laquelle il n’est roi ni prince qui vaille. L’élue s’appelle Rozala, veuve du comte Arnoul de Flandre, choisie pour des raisons politiques, et aussi idéologiques, car Rozala est de sang royal, fille de Bérenger d’Italie. La nouvelle reine n’est pas jeune, vingt ans de plus peut-être que son mari de seize ans, et ne procréera plus. L’histoire n’a guère retenu que son nom, elle passe comme une ombre, puisque Robert, trois ou quatre ans plus tard, la renvoie chez son fils, le jeune comte

ici, à partir du latin "crudelis" : qui aime le sang (dérivé de "crudus" : saignant, cru). Donc : puanteurs sanglantes, puanteurs sanguinolentes.   La forme verbale "bombinent", dit Antoine Adam (biblio, p.896), "vient de bombus, bourdonnement des abeilles, et Rabelais avait donné comme exemple des subtilités de la scolastique l'extravagante question, imaginée par lui : Utrum chimaera in vacuo bombinans possit comedere intentiones secundas." Pantagruel, chap. VII. ("Est-ce que la Chimère qui bourdonne

des magistrats, un sénat auguste. Ici on creuse des ports ; là on bâtit un théâtre sur de larges assises, et d’normes colonnes sortent de la pierre, hautes décorations de la scène future. Ainsi, au retour de l’été, par les champs en fleurs, les abeilles en plein soleil s’évertuent sans trêve ; elles font sortir les essaims déjà adultes, ou bien elles condensent la liqueur du miel et gonflent leurs cellules d’un doux nectar, où elles reçoivent la charge de celles qui rentrent, ou, en bataillons serrés

perpendiculaire Grandissaient ou parfois s'abaissaient brusquement Et ces ombres barbues pleuraient humainement En glissant pas à pas sur la montagne claire Qui donc reconnais-tu sur ces vieilles photographies Te souviens-tu du jour où une vieille abeille tomba dans le feu C'était tu t'en souviens à la fin de l'été Deux matelots qui ne s'étaient jamais quittés L'aîné portait au cou une chaîne de fer Le plus jeune mettait ses cheveux blonds en tresse Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant La

perpendiculaire Grandissaient ou parfois s'abaissaient brusquement Et ces ombres barbues pleuraient humainement En glissant pas à pas sur la montagne claire Qui donc reconnais-tu sur ces vieilles photographies Te souviens-tu du jour où une vieille abeille tomba dans le feu C'était tu t'en souviens à la fin de l'été Deux matelots qui ne s'étaient jamais quittés L'aîné portait au cou une chaîne de fer Le plus jeune mettait ses cheveux blonds en tresse Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant