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autonomie est restreinte car encadrée au niveau européen. Les pays ne peuvent pas pratiquer une politique de relance par un déficit budgétaire sans limite. En effet le pacte de stabilité et de croissance impose une discipline budgétaire aux pays membres dont la contrainte fondamentale est le déficit budgétaire qui ne doit pas dépasser 3% du PIB ce qui constitue un frein à la politique de relance budgétaire en cas de crise. * La politique monétaire : pour les adhérents à l’euro la politique monétaire

entre différentes règles, non ente différentes décisions. _Enfin il convient de souligner, concernant la première critique, qu’à l’échelle européenne, le taux d’ouverture de l’économie est seulement de 10 %, ce qui signifie qu’une politique de relance serait probablement plus efficace à l’échelle de l’UE (mais manque un budget conséquent, qui est par ailleurs réservé à des politiques structurelles, et donc la volonté politique). On peut même observer que le PSC institue un système procyclique,

idées développées  dans la « théorie générale » se sont traduites par tente ans de politique budgétaire active. En montrant les limites de l’action par les dépenses publiques, on dispose d’arguments à l’encontre de l’utilisation des politiques de relance tandis que, lorsque la crise se prolonge, la dette cumulée de l’Etat limite l’action des gouvernements. J’ai choisi de ne pas suivre le plan de M.Lecaillon pour cette section par souci de compréhension vous en conviendrez c’était beaucoup trop nul 

krach de 1929, l’observation du graphique suffit à montrer qu’il a causé pas mal de chamboulements et pas seulement sur un court terme d’une année, mais bien sur un très long terme d’une dizaine d’années. Le problème est que après cette crise, la relance économique n’as pas bien été réalisée. Au moment où les gouvernements auraient dû prendre des mesures rapides et efficaces, cela n’as pas été fait. Certes, la production a repris entre la crise et les années 36-37 car des mesures ont été prises mais

est un phénomène proposé en analyse keynésienne, dont le but est d'expliquer les caractéristiques observées quand la Banque Centrale devient incapable de stimuler l'économie par la voie monétaire. Dans un contexte de récession, une des méthodes de relance est la diminution du taux d'intérêt et l'augmentation de la masse monétaire. Cependant, les agents réagissent à leur prévision du taux d'intérêt par rapport à un taux considéré comme normal. Ainsi, la demande de monnaie pour motif de spéculation est

Lʼéquilibre se réalise en fonction de la demande : une partie de la population peut donc se retrouver au chômage involontaire. Keynes parle dʼéquilibre de sous-emploi. LʼEtat doit intervenir pour essayer dʼatteindre le plein emploi (politique de relance) : • hausse de la demande : baisse des impôts, hausse du SMIC, hausse des revenus de transfert, hausse des indemnités de chômage • hausse de lʼinvestissement : baisse des taux dʼintérêt (mesure dʼaccompagnement), investissement public (politique de

Delphine FerrandGroupe A3 | Le principe contra-cyclique dans les politiques de relance keynésienne : fondements et critiques | | | Dissertation d’analyse économique | 2008-2009 | Problématique : Quels sont les fondements et critiques des politique de relance keynésienne dans le principe contra-cyclique ? | A la fin du XIXème siècle a lieu la « Révolution marginaliste ». L’école Néoclassiques devient alors la principale école de pensée. L’Homme est parfaitement rationnel, il

ne peut être envisagée sans une coopération internationale. Le problème étant qu’entre intérêts nationaux et sortie de crise mondiale, les présidents auront à prendre de lourdes décisions qui ne seront pas bénéfiques pour tous. Le plan de relance français présentait à Douai le 4 Décembre dernier s’élève au final à plus de 26 milliards d’euros au total. Il prévoit 10,5 milliards d'euros d'investissements supplémentaires de l'Etat, des grandes entreprises publiques et des collectivités locales

mais aussi des anticipations des agents économiques concernant l'activité future. Les entreprises n'offriront plus d'emplois que si elles anticipent une augmentation de leur activité. L'Etat peut donc dans ce cas être amené à mener une politique de relance de type keynésienne afin de soutenir l'activité et donc d'augmenter les offres d'emplois. L'Etat peut aussi de lui-même accroître la demande de travail en pratiquant une politique active d'embauche de fonctionnaires, ou en mettant en place des mécanismes

partage de la valeur ajoutée en faveur des entreprises à partir de 1984 - L’augmentation des investissements - Le retour de la compétitivité et un cercle vertueux qui s’installe Ce nouveau partage qui présente un grand nombre de qualités et qui relance l’économie révèle des limites non négligeable. II- Les limites de ce choix A- Le marché intérieur - Des salaires qui augmentent peu - Une demande interne qui stagne - La corrélation part des salaires dans la VA et taux d’investissement