Relation Entre Maitres Et Valets

Dom Juan existe déjà. Dans cette pièce, Molière retrace le parcours d’un grand séducteur impertinent qui va à la rencontre de son destin (la statue du Commandeur, statue mortuaire en pierre). Il s’agit d’une scène d’exposition mettant en scène deux valets (Gusman et Sganarelle). Problématique : En quoi cette scène d’exposition est-elle une scène d’exposition efficace et originale ? Plan : I. Une scène qui informe avec efficacité II. Scène qui fait le portrait des personnages hors scène

intentions et on assiste à un jeu serré entre les deux hommes. Le Comte l’emporte en pouvoir : il est « un maître absolu, que son rang, sa fortune, sa prodigalité rendent tout-puissant », dit Beaumarchais dans sa préface. Figaro l’emporte en savoir : il a percé les intentions de son maître qui quant à lui ignore s’il les connaît ou non. Problématique : La liberté accordée à Figaro ne serait-elle que verbale ? Plus que le procès des seuls abus de son maître, Figaro n’instruirait-il pas le procès

«des esclaves de la Grèce révoltés contre leurs maîtres […] et leur coutume, mon cher Arlequin, est de tuer tous les maîtres qu'ils rencontrent, ou de les jeter dans l'esclavage.» Il précise que cette situation dure jusqu'à ce que les anciens dominants se soient repentis des tourments qu’ils ont fait endurer aux anciens dominés. Narquois et même insolent, Arlequin, qui a une bouteille d'eau-de-vie à sa ceinture, y boit, siffle, badine, tutoie son maître, refuse de lui obéir, de le servir davantage,

d’exposition 2 2.1.1. Un éloge du tabac ambigu 2 2.1.2. Une scène pour exposer la situation 3 2.1.3. Le portrait de Don Juan 4 2.2. L’inscription de la pièce dans une philosophie 5 2.2.1. Libertinage et matérialisme 5 2.2.2. L’imitation du valet 5 2.2.3. La critique implicite de la religion 6 3. Conclusion 6 Introduction Le texte présenté est une partie de la scène d’exposition de la pièce de théâtre « Dom Juan» de Molière (l’objet d’étude) que l’on pourrait classer dans le sous-genre

Des sujets comme la relation entre maitre et valet sont abordés et remis en cause par les lumières. Marivaux s’inscrit dans cette période et écrit des pièces de théâtre comiques soit à caractère social ou traitant des relations amoureuses. Le texte à étudier est une partie de la scène trois de l’ile des esclaves, une pièce en un acte de Marivaux où, deux couples maitres/esclaves s’échouent sur une ile et les lois régissant l’ile veulent l’inversion des rôles entre le maitre et l’esclave. Dans cette

conversations de deux cavaliers, Jacques et son maître, alors que les deux hommes cheminent vers une destination inconnue. Jacques est un valet courageux, intelligent, généreux et a le sens de l’initiative. Philosophe prolixe il affirme que « tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit la-haut ». Le maître de Jacques apparaît lui, sous les traits d‘un aristocrate oisif, amorphe et irascible. Il est aussi très dépendant de son valet et l’entraînera par sa lâcheté et sa maladresse

toute la société est remise en question par une inversion des rôles entre maître et valet. Pouvant donc être qualifiée de révolutionnaire, la pièce expose en effet des maîtres de haute position sociale réduits à l'état d'esclavage. Au début de cette scène 9, Arlequin et Iphicrate entament une conversation sur la nature des relations qui unissent le maître à l'esclavage. Ainsi, cette scène peut être vue comme la scène de résolution entre Arlequin et Iphicrate, donc comme un réglement de la situation,

et leur rapport implicite à leur maîtresse ici nommée "Madame". Cependant, les deux bonnes entretiennent une relation particulière avec leur maîtresse : mélange d'attirance, d'admiration et de répugnance. Le personnage de la maîtresse est aussi révélé par son statut : son attitude sévère, dominatrice, l'observation de leurs faits et gestes contribuent à mettre en place la hiérarchie entre les personnages. Cependant, ce personnage reste secondaire cristallisant les frustrations et fantasmes des deux

Victor Hugo, Le roi s'amuse, acte II scène 2 En quoi peut-on dire que le bouffon du roi lève le masque dans ce monologue? l) LE ROLE DU BOUFFON A LA COUR DU ROI A) LES RELATIONS ENTRE LE BOUFFON ET SON MAITRE 1) Des êtres que tout oppose dans un portrait antithétique -PHYSIQUEMENT: Triboulet → Termes dévalorisants ''être difforme'' ''pris dans un corps mal-fait'' ''Dégout de ma difformitée'' François 1er → énumeration de termes élogieux '' Grand, jeune

totalement atypiques dans la tradition narrative du XVIIIè siècle. Le ton est celui de la provocation amusée. On a l'impression que le narrateur se moque du lecteur en voulant le désintéresser du comportement de ses personnages soit par leur vide "Le maître ne disait rien", soit par un emboîtement de parole au style indirect qui rend la lecture pénible : "et Jacques disait que son capitaine disait que…" Cette moquerie aboutira à la fin de notre extrait à l'interruption de l'histoire commencée par