Relations Entre Sainte Colombe Et Marin Marais

choix ministériel : une œuvre qui a conjugué exigence (la musique baroque, les références au jansénisme, l’omniprésence de la mort) et succès populaire (deux millions d’entrées et sept césars pour le film d’Alain Corneau) ; une relation originale, quasiment incestueuse, entre l’écrit et l’image, puisque le roman de Quignard (qui avait déjà traité le thème dans sa nouvelle La Leçon de musique) est né d’une commande d’Alain Corneau ; une œuvre qui brasse à la fois de grands thèmes (la figure de l’artiste

son scenario à partir roman ; on peut remarquer une étroite collaboration entre ces deux artistes. On verra ce que représente cette cabane par rapport a la relation de Mr. De Sainte Colombe avec ses filles ensuite la musique et puis avec sa femme, nous les diviserons donc en trois parties. Chacun de ces éléments on une relation différente par rapport a cette cabane et la musique donc nous les analyserons. Mr. De Saint Colombe après la mort de sa femme, il commence a s’isoler et a ne plus donner de

choix ministériel : une œuvre qui a conjugué exigence (la musique baroque, les références au jansénisme, l’omniprésence de la mort) et succès populaire (deux millions d’entrées et sept césars pour le film d’Alain Corneau) ; une relation originale, quasiment incestueuse, entre l’écrit et l’image, puisque le roman de Quignard (qui avait déjà traité le thème dans sa nouvelle La Leçon de musique) est né d’une commande d’Alain Corneau ; une œuvre qui brasse à la fois de grands thèmes (la figure de l’artiste

1650, Mme de Sainte Colombe meurt. Son mari reste inconsolable. Il compose à cette occasion Le Tombeau des regrets. |9 |« Au printemps 1650, Madame de Sainte Colombre | | |M.de Sainte Colombe a deux filles et vit dans une maison qui donne sur la Bièvre. Il enseigne la viole. Monsieur de Bures, enseigne | |mourrue » : place primordiale de la mort, première phrase | | |aux filles les lettres, les mathématiques et l'histoire Sainte.

-Le silence en musique; l'absence de musique entre les notes; le soupir, la pause, le silence ... nécessaire mise en valeur du son dans une composition -Le silence par rapport au langage; l'impossibilité de s'exprimer; la retraite à l'écart du monde (SC par rapport à la cour du roi puis petit à petit par rapport à tout le monde; fin des concerts) - Le silence chez Quignard ; expérience inaugurale du mutisme (à deux reprises, cf. cours sur PQ et son écriture et Le nom sur le bout de la langue)

Du tableau au texte « Ecoutez le son que rend le pinceau de Monsieur Baugin […]. Vous avez appris la technique de l’archet. » Telle est la « leçon de musique » que Monsieur de Sainte Colombe donne à Marin Marais , lors d’une visite au peintre Lubin Baugin. Le jansénisme comme toile de fond Le jansénisme = catholicisme pessimiste et sévère, marqué par doctrine de St Augustin. Se développe au début du XVII° siècle, à une époque où religion catho. cherche à se renouveler face au dvpmt du Protestantisme

15 dernières minutes du film). L’arrivée de Marin Marais chez Sainte Colombe : ch 8 du roman // ch 7 de DVD ( jusqu’ 43’01’’) Une scène de votre choix : précisez les références et donnez-lui un titre. II- Comparez la présence et le rôle de la musique dans le roman et dans le film (4 points) III- Comparez la voix narrative dans le roman et dans le film (4 points) Qui raconte ? Y a-t-il un point de vue ? Quels changements observez-vous entre le roman et le film ? (incomplet) Retenez

QUESTION 1 (8 points) Quelle importance est accordée au personnage de Marin Marais dans le roman et dans le film ? Le roman se centre sur l’histoire de SC : MM n’apparaît qu’au chap. VIII. Le film se centre sur MM qui ouvre et clôt le film : l’histoire de SC est enchâssée dans celle de MM qui raconte l’histoire de SC Le film accorde-t-il plus d’importance à MM ? I. Une place privilégiée à MM dans le film MM : de second rôle au premier rôle dans l’adaptation = la présence, l’omniprésence de

milieu de cinq frères et sœurs. Il passe plus de temps dans la rue qu'à l'école, qu'il quitte à l'âge de 13 ans. Au cours de son adolescence matériellement difficile, il se « débrouille » et commet quelques vols et trafics malhonnêtes en tous genres, entre autre avec les GI de la base militaire américaine de sa ville natale. En 1964, après divers petits métiers, âgé de 16 ans, il quitte Châteauroux pour Paris où il suit les cours de comédie de Jean-Laurent Cochet - en même temps que Claude Jade et

caractéristiques du récit de voyage ; écrire un journal de bord. Repères – Voyages, grandes découvertes et explorations . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Lecture – Motivations et formes d’écriture du récit de voyage : M. Polo, H. Cortés, C. Colomb . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 – Les conditions du voyage : J. Cook, J. de Léry . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 – La découverte de l’autre : M. Polo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .