Relativiste

de répondre à cette question, nous étudierons, dans une première partie, l'instinct morale naturel. Puis, dans une seconde partie, nous étudierons la notion de morale universelle. Finalement, dans une troisième partie, nous étudierons la morale relativiste. Ainsi, nous chercherons à comprendre la place de la morale dans la nature humaine. Il existe dans la nature, une morale naturelle ou morale de l'instinct. On peut considérer qu'il existe deux types de morale naturelle. La première est une

des jugements et des perceptions diffrentes. On accde au rel par les sens, or les sens sont variables. Il ny a pas de vrit absolue, uniquement des vrits relatives ( La vrit est individuelle cest un point de vu subjectif, empiriste, sensualiste, relativiste. Protagoras (grec, Vme sicle av. J.-C.) Lhomme est la mesure de toute chose pour celles qui sont de leur existence, pour celles qui ne sont pas, de leur non-existence. Lhomme est le critre de tous les objets. Il va encore plus loin un phnomne qui

l'est l’énergie cinétique. L’énergie (totale) d’un corps devient donc la somme de son énergie cinétique et de son énergie de masse (au repos). Cette équivalence entre masse et énergie ouvre un éventail de possibilités inconnues de la physique pré-relativiste. Ce type de transformation de masse en énergie est utilisée par les piles atomiques ainsi que des bombes nucléaires. À l'échelle astronomique, la formule explique également comment les étoiles, comme le Soleil, peuvent émettre leur énergie pendant

en quatrième dimension. Le sujet nécessite une connaissance mathématique et physique de la quatrième dimension, d’où l’étude des théories respectives, celles des espaces vectoriels à quatre dimensions, et celles de la physique (quantique et relativiste).

Objectiviste. Les lois morales ne dépendent pas de l'homme mais des lois de la nature, de "commandements divins" ou des lois de la raison. Elles ont un caractère universel, éternel, absolu, normatif. Elles ne peuvent être ni changées ni supprimées. Relativiste. Les valeurs morales ont une origine humaine. Elles sont définies par la société ou par l'individu lui-même et varient donc d'une société à l'autre. La philosophie morale aborde, avec la seule autorité de la raison, la question de la finalité

conduisent le lecteur à réfléchir à certaines questions, en particulier à son rapport à l'altérité et aux limites de la connaissance humaine, et l'invitent à épouser les thèses défendues par Voltaire sur ces deux points : la nécessité d'une approche relativiste de l'autre face à la diversité de la nature et à la finitude de la connaissance humaine, limitée au champ de l'expérimentation physique. La présence d'une telle réflexion justifie l'attribution de l'adjectif « philosophique » à ce conte. Le récit

institutions se développent. Cette approche va développer des travaux qui vont montrer que l’espace scientifique est un espace sociale stratifiée (formes de positions, de hiérarchisation…). Cette approche s’oppose à l’idéalisme de Merton. • L’approche relativiste : il va nous dire à ce qu’est vraiment la science. Cette théorie va s’attaquer au positivisme de la science, aux contenues, ces produits… Ces produits scientifiques ont des déterminants sociaux qui vont entrer en compte. Une loi n’est pas seulement

contact », le mystique n’a pas un besoin radical d’intermédiaire. Il est sans église car l’église en général n’est jamais qu’une institution, même si on suppose que cette institution est d’origine divine (elle est factuellement humaine), par là est relativiste. Le fanatique (le sectaire) est, à rebours, un homme d’appareil ou tend à le devenir, donc un fanfaron 15 digne d’injure et de mépris au regard de ce qu’il prétend.  16 La conséquence est la rareté du mystique (faut­il espérer une société de mystique

l’électron et satisferait tout à la fois à la théorie quantique et à la théorie de la relativité einsteinienne, (…) s’aperçut qu’il y avait une autre solution (que l’électron) de charge positive. (…) Chaque fois qu’on construit une théorie quantique relativiste pour décrire une particule, la théorie fait apparaître la nécessité de postuler une « antiparticule » symétrique, de charge opposée. Ces antiparticules forment ce qu’on appelle l’antimatière, dénuée de tout le mystère dont on entoure parfois son

de point de vue qui s’érigent en vérité de manière abusive. D’où le relativisme de Protagoras, qui a donné le scepticisme de Pyrrhon (suivi par Montaigne ou Pascal) et l’immatérialisme de Berkeley. Il y a bien un argument contre cette formule relativiste, c’est l’existence des instruments de mesure, qui nous offrent eux toute l’objectivité souhaitée. De la balance au mètre, nous avons là un instrument qui peut nous mettre d’accord. Suivons d’ailleurs sur ce point l’analyse que fait Blaise Pascal