Relativiste

Mais cela veut dire aussi tout autre chose. La matière et l'énergie locale ayant pour nos deux horloges des niveaux différents, l'expérience nous montre que le calcul du temps qui passe se trouve alors lui aussi être un facteur de l'équation relativiste. Puisque la quantité d'énergie conférée à l'une des horloges a changé, ce qui devait être identique, ce qui était prétendu invariable, réputé fidèle ! Cela veut dire que la matière, comme l'énergie, sont des facteurs liés à un troisième, correspondant

décidé de se défaire de toutes les opinions qu’il avait reçu afin d’établir quelque chose de ferme et de constant dans les sciences. D’autre part, le Sophiste Protagoras annonce que « L’homme est la mesure de toute chose ».On comprend la dimension relativiste, l’idée que chacun juge et voit le monde à sa manière. En effet, elle signifie simplement que chacun à sa propre sensibilité et que donc les sensations sont particulières et subjectives.  Cette conception originaire a été étendue aux opinions

ou plusieurs lois. C’est le cas du mariage pour tous, la peine de mort, l'avortement, l'euthanasie où en France, ces lois promulguées ont fait évoluer la conscience morale de la plupart des français. B) Des principes similaires - La morale relativiste = des valeurs morales qui ont une origine humaine car elles émanent de la société ou de l'individu lui-même. Les courants du droit positif nous explique également que la règle de droit émane d’une personne morale (de l’Etat pour le courant positif

correspondre aux critères de la vérité ? Là encore il semblerait aisé de répondre par une formule toute faite de Protagoras : «  A chacun sa vérité » mais nous sommes là pour donner une vraie réponse à ce problème et non pour le résoudre d'une façon relativiste. C'est pourquoi il faut d'abord commencer par définir ce concept de vérité qui est considérée comme une valeur donc comme quelque chose qui est digne d'estime, c'est aussi un accord avec le réel qui nécessite une constante recherche. C'est pourquoi

selon laquelle le temps est une chose réelle en soi. Pour lui, le temps est seulement la succession ordonnée des événements. L'idée d'un temps vide, un temps sans événement, est tout simplement dénudée de sens.BerkeleyBerkeley adopte une approche relativiste. Il pense que le temps en soi n'existe pas et qu'il n'est rien d'autre qu'une propriété de nos idées. Certaines de nos idées ont lieu avant d'autres, certaines ont lieu simultanément. Sans idées, il n'y aurait pas de temps.KantKant pense que le

La philologie : étude critique des textes anciens (manuscrits...) visant à établir de façon aussi exacte que possible le contexte d'origine. Rejoint la critique génétique du XXème siècle. L'histoire littéraire : la critique historique est relativiste et descriptive, marquée par le romantisme. -Sainte-Beuve explique les oeuvres par la vie des auteurs. -Taine explique les individus par 3 facteurs : la race, le milieu, le moment -Brunetière ajoute aux déterminations biographiques et sociales

Einstein au Collège de France pour faire des conférences sur la relativité. Henri Bergson, qui avait assisté au congrès de Bologne et aux conférences d'Einstein au Collège de France, publie Durée et simultanéité en 1922 et Émile Meyerson La déduction relativiste en 1925. ------------------------------------------------- L’équation de Langevin ------------------------------------------------- En 1908, il propose une équation pour décrire la marche aléatoire des particules en suspension dans un liquide

vérité est une chose universelle dont tout un chacun peut se vanter d’y avoir accéder. Chaque personne dans son être peut y aspirer, elle n’est soumise à aucune contrainte et à aucune loi. La chose abstraite qu’est la vérité, selon les théories relativistes comme celle de Protagoras (L'homme est la mesure de toute chose : de celles qui sont, du fait qu’elles sont ; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont pas.), la vérité change selon tous les individus. Il n’y a rien d’imposer sur la vérité

sociales[5]. Mario Bunge, un épistémologue renommé, formulait lui aussi la même critique (Bunge, 1983, p 163). Adopter une posture relativiste ou rationaliste n'implique donc pas le même type de recherches, et n'autorise pas la même amplitude entre les définitions concurrentes de la sociologie. Je me permets ici de souligner un autre point. Il est à craindre que la posture relativiste que Feyerabend (1989) appelle de ses vœux, malgré les avantages incontestables qu'elle procure à mon sens (diversité, réflexions

d’une critique matérialiste de la matière, voire d’un matérialisme sans matière ? Il faut donc interroger la « pensée » matérialiste. 1- Si penser= concevoir, quel sera le concept matérialiste de la matière ? a) mise en question de type relativiste, faire apparaître les contradictions du matérialisme à propos de la matière. Référence à la critique de Marx à propos du « matérialisme mécaniste du 18ème siècle ». Entre toutes ces définitions matérialistes de la matière, comment choisir celle