Religion Et Pouvoir Dans La Rome Antique

distinction. Les grecs sont les inventeurs de la science politique, ils ont inventé le vocabulaire du pouvoir. Le mot politique du grec vient de « polis » qui signifie la cité, « politicos »  ce qui concerne la cité,  « politeia »  forme de gouvernement. Inventeurs aussi de la notion de cité de la citoyenneté et de constitution prit au sens de régime politique c’est le mode d’organisation du pouvoir. Les romains sont les inventeurs de la science juridique, ils ont fait du droit une matière savante

anciensLiberté des modernesLiberté dont l'exercice était chère aux anciens.Ne connaissent pas le gouvernement représentatif. ( exception Lacédémonie mais non car aristocratie monacale et gaulois no plus car théocratique et guerrier donc pas république*) rome **organisation sociale les font désirer liberté différente de celle que le système actuel nous assure. Liberté = exercer collectivement mais directement pplusieurs parties de la souveraineté tout entière, à délibérer sur place publique, à conclure

assujetis au Roi donc n'ont pas joué 1 rôle politique important. A partir de la Grèce, citoyen devient souverain , va donner naissance à la loi en la votant. Donc décide. A la tête de la société se trouvait 1 roi d'origine divine, héréditaire. → Pouvoirs de ce roi : Chef militaire donc mène les troupes à la guerre, en cas de victoire il va relever la meilleure part du butin, va en période de paix exploiter les terres communes. Juge suprême (dans 1 société du VIIIème, pas de loi écrite, va

est institution étrange, c’est un concept étrange et complexe, il est dans la tradition française (tous les français sont gouvernants et se réunissent pour donner leurs opinions sur le plan politique) et on a du mal à le définir. L’Etat : idée de pouvoir efficace et souverain, ainsi que exclusif de toutes autres dormes de subordination, légitime. (cf. Lévi-Strauss, Simone Veil sur les ? de la légitimité de l’autorité) L’Etat pose aussi des ? de participation plus ou moins démocratique à la conduite

 L’Agora, au carrefour des voies principales, possède une triple fonction politique, religieuse et économique. C’est le siège des principales institutions de la cité.  Cité d’Athènes n’est pas une démocratie au sens contemporain du terme : le pouvoir peut-être dans les mains d’un seul homme qui utilise la démagogie pour se faire réélire. CF. Périclès  La femme athénienne est écartée du débat et des fonctions politiques. Elle ne joue aucun rôle militaire, sauf dans des cas exceptionnels d’urgence

de délit, le droit de propriété, la justice… Enfin, les grecs sont les inventeurs de la science politique, ce sont eux qui ont inventé le vocabulaire du pouvoir. Le mot « politique » dérive du terme grec « polis » qui signifie « cité ». Ils ont conçu les notions fondamentales de Constitution et de citoyenneté. L’histoire du monde grec antique s’étend sur 2 millénaires et plus précisément sur 3 grandes périodes : La période Archaïque qui s’étend du début du 2ème millénaire jusqu’au 7ème siècle

(1549-1560) I. Le contexte historique qui voit naître le courant. Il s'agit d'un groupe de poètes qui, dans la moité du XVIe siècle, ont renouvelé la poésie française sous l’autorité de Ronsard, en s’inspirant des chefs d’oeuvre de la littérature antique. En fait, ce mot n’a été utilisé que tardivement par Ronsard : à l’origine, il existait un groupe appelé «Brigade» (Ronsard, du Bellay, Baïf) * DE LA BRIGADE A LA PLÉIADE : par simple métaphore, Ronsard comparait sept poètes de son temps aux

et la France → droit universel à rome applicable à l'europe, la F recoit l'héritage romain, la F a un héritage romano civiliste → le droit romain s'est imposé comme le droit commun à l'europe Pour les sources : - d'ou vient le droit ? Quelle est son évolution ? - passage du droit commun de l'Europe au droit francais Pour les institutions : - comment l'Etat se met en place en France du 5ième siecle au 15eme de Clovis *1er partie = Héritage antiques * 2ieme partie Institution au droit

obstacle au développement de l’esprit et toute référence surnaturelle. II. origines et contexte En latin « umanistas » désigne la culture. Au début du XVIème siècle. L’humaniste est donc l’homme qui se livre avec passion à l’étude des textes antiques, par réaction avec le moyen âge où ne se faisait plus directement à partir des textes de l’antiquité, mais, selon une logique formelle et autoritaire à partir des commentaires de commentaires : On ne faisait plus appel à l’intelligence mais à la

des absolus. En pleine guerre de religions, il affiche sa tolérance et son aversion pour les luttes fratricides entre catholiques et protestants, considérant que la complexité des situations ne peut se régler par l'opposition binaire. S'il croit en Dieu, il considère que l'homme ne peut spéculer sur sa nature et qu'il doit être dégagé des croyances et des préjugés qui l'accompagnent ("Apologie de Raymond Sebond"). Pour Montaigne, l'homme a la possibilité et le pouvoir de faire naître en lui la liberté