Religion Statique Selon Bergson

Thèse soutenue  : Henri Bergson pour l'une des figures majeures du courant des « philosophies de la vie » [footnoteRef:1] . L'évolution créatrice publié en 1907 associera définitivement à la philosophie bergsonienne l’image de « l'élan vital » . [1: Aux côtés de Nietzsche, de Dilthey et de Simmel.] La réflexion de Bergson entamée dans ses précédents ouvrages ( Essai sur les

La religion vient du mot latin religio, à son tour venant des termes religare (« relier ») et religere. Elle est dotée d’un double aspect : l’aspect subjectif, les croyances et les rites permettant un lien entre l’homme et sa divinité (« la religion dynamique ») ; et l’aspect subjetif, la pratique religieuse institutionnalisée grâce aux cérémonies, institutions.. (« la religions statique »). La religion est un phénomène universel et intemporel. Il existent, en effet, de multiples formes de religion

différent et la possible- ou nécessaire- rencontre avec cet autre pour former le social. En un sens, ce sujet nous interpelle certes sur des questions d'ordre économique, politique, religieuses ( la question de la tolérance à l'égard des autres religions, des autres cultures, la question du "quota" d'immigration ou non admissibile pour qu'une société soit elle-même, la question du libre échange économique,la question de l'identité d'une nation ou l'idée même de peuple, etc...). Mais ce sujet nous

 RELIGION ET SOCIETE. Introduction : l'essence du Religieux. La religion est-elle un épiphénomène? c'est-à-dire un phénomène de surface. Marx : « La religion est l'opium du peuple » = phénomène hallucinatoire. Cela signifierait que la religion n'aurait pas de fondement. Mais la religion est un ph. Persistant. Malraux : « Le 21ème siècle sera religieux ou ne le

La Religion  - Relegere : respecter, découvrir une valeur absolue que l’on s’engage à respecter - Religare : relier, unir, sentiment d’appartenance Homme = Mystique ? (le monde où l’on vit est irréductible à sa dimension seulement sensible, existence d’une autre dimension) L’Homme croit : quel type de Croyance est-ce ? I- Ambigüité du verbe Croire 1er degré : Croyance présumé ou Intuition (superficielle, sans danger) 2ème degré : La PERSUASION (intuition devient

LA RELIGIONPage 1 sur 8 LA RELIGION I / Un phénomène culturel divers et complexe 1) l'homme en question 2) Définition étymologique de la religion 3) Analyse des composantes communes des religions Texte de Durkheim 4) Les évolutions religieuses contemporaines II/ Religion et philosophie, raison et foi 1) le conflit originel entre religion et philosophie 2) la critique philosophique de l'irrationalité religieuse 3) L'interprétation rationnelle de l'irrationalité religieuse

L’inconscient collectif: Il y a selon Jung une transmission, de génération en génération d’archétypes psychiques, évoqués sous la forme de symboles et d’images. Cette conception héréditaire a été critiquée et parfois remplacée par une conception de l’inconscient collectif comme intériorisation des réalités économiques et sociales. -         Les critiques de l’inconscient : Sartre a refusé le geste freudien faisant de l’inconscient une substance, un autre moi car cela revenait, selon lui, à évacuer la question

diversité de peuples et de coutumes, « on trouve partout les mêmes idées de justice et d'honnêteté, partout les mêmes notions de bien et de mal ». La moralité est donc indépendante de toutes les variations culturelles. Elle n'est également pas liée à a religion, puisque les polythéistes sont moraux comme nous, bien qu'ils adorent des Dieux immoraux et méprisables, qui divinisent le vice, la faiblesse et les monstruosités. Cette permanence des idées de bien, de mal et de justice ne peut donc s'expliquer

mutation en vérité, le passage du mythe vers la religion organisée s'effectue. Ainsi, dans l'inconscient collectif, il y a cette l'idée d'une puissance supérieure qu'il faut apaiser, louer, craindre et respecter de la bonne manière. Elle est l'arrière fond mythique présent dans la représentation commune de la religion. L'idée qu'il y ait une puissance de la nature n'est pas en soi une idée fausse. En ce sens, il est possible de comprendre le but de la religion, qui est d'être une quête vers un absolu.

M. Laville Classes terminales LE FAIT RELIGIEUX I Définitions : . Parler de « fait religieux », c’est se placer en dehors d’une religion particulière, et tenter de situer ce qui est commun à toutes, et même au-delà, jusque dans des formes apparentées, telles que les sectes et certains mouvements sociaux politiques. . Il ne sera pas ici question de Dieu (dont on sait depuis Kant qu’il ne peut être prouvé par l’exercice