Remise En Cause Du Capitalisme Liberal En 1929

économique et sociale | | |II – Le rôle de l’Etat dans les économies modernes | | |III – la remise en cause du rôle de l’Etat | | |IV – Le budget de l’Etat |

classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. • La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. • Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux guerres. • Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage

politiques ou polémiques ont été écrit, l’imprimerie permet de toucher un public élargi, ces débats sont l’occasion de formuler et de développer certaines idées qui vont devenir classiques dans l’Europe moderne : des idées démocratiques d’une part, libérales de l’autre. I- Le puritanisme démocratique : les levellers (ou niveleurs) Ce groupe religieux n’a joué aucun rôle fondamental dans le cours de la révolution anglaise. En revanche, la réflexion politique qu’ils ont adoptée prend une place essentielle

politique classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux guerres. Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage

les Portugais) ne lui permet pas d'assurer une fourniture régulière de métaux précieux, - le faible contrôle des mers (comme les Anglais) malgré les efforts de la Royale limite son commerce international, - les tensions sociales et les remises en cause de l'ordre royal par les pauvres (révoltes des croquants du sud-ouest en 1636, des Nu-pieds à Coutances en 1637-1639, des sabotiers de Sologne et des lustucrus du Boulonnais en 1658 et 1662), les nobles et les élus (Frondes des Princes et des

contexte de guerre froide, de concurrence pour le capitalisme au moins. Il y a eu un renforcement de la dimension sociale dans le capitalisme. Certains vont même plus loin, et poussent le paradoxe jusqu’au bout, disant que l’Occident a su se servir du communisme contre lui-même. Une des raisons pour lesquelles l’Occident aurait connu une de ses plus belles périodes de croissance, est Staline. En encourageant la dimension sociale, il a permis un capitalisme de la grande consommation, fondé sur les marchés

réinvention du politique mixant des formes occidentales imposées et des formes locales traditionnelles. On a de l’invention, de la diversité extrême là où simplement on pensait avoir imposé l’universalité, de sorte qu’on a là encore par ce biais là une remise en cause des catégories universelles du politique. Le prof essaye de marquer la gravité du moment. On constate l’émergence progressive dans ces Etats de pratiques politiques irréductibles au modèle occidental et notamment autour de mécanismes

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Chapitre 5 : Les moyens pour limiter l'effet des crises financières . . 107 Chapitre 6 : Quels moyens pour prévenir les crises financières ?. . . . 125 Conclusion. La fin du capitalisme liquide ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .149 Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

parenthèse de la guerre, la seconde révolution industrielle continue à s'affirmer dans les années 1920, les « Années folles ». 2 La crise de 1929 La reprise des années 1920 s'appuyait sur des bases fragiles : désordre monétaire, inflation galopante (en particulier en Allemagne), surproduction agricole chronique et endettement. Le 24 octobre 1929, lors du « jeudi noir », les cours s'effondrent à Wall Street, entraînant une panique financière qui se transforme en krach boursier. Le système

sortir de la Seconde Guerre mondiale, par exemple, certains penseurs libéraux étasuniens, tels Daniel Bell (The End of Ideology [La fin des idéologies], 1960) et Seymour Martin Lipset (1922-2006) (L’homme et la politique, 1963), ou français, tels que Raymond Aron (1905-1983) (L’opium des intellectuels, 1955), vont proclamer la « fin des idéologies ». À leurs yeux, la défaite des régimes fascistes de l’Axe au profit des pays libéraux – Royaume-Uni, États-Unis et France en tête – et du bloc communiste