Remords Ou Regrets

tragédie de l'usurpateur. En effet, Egisthe, après avoir assassiné le roi et épousé sa femme, et a instauré le terreur. On retrouve ici un roi vulgaire et remplis de remords. "Je regrette d'avoir du punir Electre", "Femme, ce n'est pas pour toi que je le regrette", "Laisse-moi, catin!". Ici, nous pouvons voir que l'homme a des regrets envers les personnes auquel il a fait du mal, il se rend compte qu'il a utilisé son pouvoir sans fondement moral. Dans le troisième extrait, Albert Camus montre un

ses raisons à personne. A quelque temps de là, le maréchal de Saint-André, autre soupirant de Mme de Clèves, donne un grand bal. Il compte ainsi éblouir la princesse, mais Mme de Clèves apprend que M. de Nemours ne peut se rendre à ce bal et qu’il regrette son éventuelle présence à cette fête. Aussitôt, prétextant une maladie, elle refuse l’invitation au bal. Mme de Chartres, une fois de plus, perce le jeu de sa fille, Dans son désir de la détromper au sujet de M. de Nemours, elle éveille en fait sa

la médiocrité. Pour Baudelaire, le spleen viens de son angoisse sur le temps qui passe « obscur ennemi », c’est le temps qui détruit tous, qui est capable de prendre toutes nos forces, il nait aussi des remords et de ses regret d’avoir perdu son temps dans la recherche du plaisir, c’est un regret de Baudelaire de ne pas l’avoir crée au mieux de sa forme. le poète est tellement miné par cette angoisse du temps, il va donc dans son recueil va amplifier les image morbide «  cimetière, caveaux » qui

CORRESPONDANCES L’auteur décrit en quelque sorte, la richesse de la Nature. Cette description se fait à l’aide de correspondances (comparaison, métaphores). V. J’aime le souvenir de ces époques nues,... L’auteur fait part de son intérêt pour l’Antiquité et regrette que l’époque dans laquelle il vit soit si dégradée. Il dépeint un portrait des hommes et des femmes, très sombre. Il termine sur une note plus gaie : la jeunesse. VI. LES PHARES Baudelaire rend hommage à plusieurs artistes en les citant et en notant

Le temps ne se défini pas. Il s'estompe, il ne peut revenir sur ses pas. Le temps qui part ne connait le doute, le chagrin, la mélancolie. Il défile, s’entasse, s’évapore et emporte avec lui, les regrets les plus fins, laissant derrière les plus lourds secrets, les plus durs souvenirs. Si le temps se définissait, il serait frère de vanité. On ne peut le toucher, on ne peut s’y agripper, car le temps a son orgueil que l’orgueilleux ne connait pas. Il s’ébranle dans le bonheur comme dans le malheur

l’individu qui subit une injustice, car sinon cette morale qui est appliquer sur autrui, serait en effet, de l’injustice. D’une part, commettre une injustice serait volontaire et bénéfique à la personne qui la commise. Cependant, une question de remords et de conscience de soi se ferait entendre. De plus, lorsqu’une injustice est commise, l’individu devient victime étant donné qu’elle subit un méfait qui peut-être physique, moral, etc. On pourrait exemplifier ce fait à l’aide du principe du droit

elles n'ont plus le même effet et le mal ne nous choque plus. Les conséquences pour celui qui agit ne sont autres que les remords. Rousseau dit : " On parle du cri des remords, qui punit en secret les crimes cachés et les met si souvent en évidence. Hélas ! " pour montrer que les remords arrivent bien souvent. On en a une bonne illustration avec ceux de Lady Macbeth qui regrette de s'être par la manigance du crime de Duncan sali les mains : " Va-t'en, damnée tache ! va-t'en, je te dit " C - On

exposé mme de r Mme de Rênal Exposé lll.A) Un dileme Le chapitre 19 Tom I, est une prise de remords de Mme de R par rapport a son adultère . On rappel alors que son fils est gravement malade . Cependant elle va s’imaginer que son adultère est la cause, de la maladie de son fils . Elle ira jusqu’à inventer une nécessité de faire pénitence , pour que son fils puisse guérir. Puisque elle est fortement persuadée que c’est Dieu qui la puni , d’aimer un homme qui n’est pas

raison de sa démesure. Le procureur et ses effets Le 1er argument repose sur l’intelligence du prévenu. Le procureur sous entend qu’il ne peut donc plaider l’irresponsabilité. Ensuite, il l’accuse de ne pas regretter son geste, de n’éprouver aucun remords « a –il seulement éprouvé des regrets » Puis il développe l’absence d’âme de l’accusé celui-ci n’étant qu’un monstre dépourvu d’humanité « rien d’humain » et dangereux pour la société. L’argument qui suit compare le parricide à l’insensibilité

risquer ce qu’on veut, peut être vraiment, pour ce qu’on croit vouloir ! On se retrouve incapable de faire un pas parce qu’on a peur ! La peur du regret, La peur du remord … la peur nous immobilise ; Et on ne se rend pas compte que même en ne choisissant pas … On fait un choix ! A force de tarder … le temps s’en occupe et décide à notre place. Et on Regrette ; non de ne pas avoir choisi de prendre l’autre route … mais de ne pas avoir eu droit à prendre les deux …parce qu’ainsi, on ne saura jamais laquelle