Remords Ou Regrets

commun .. Ils étaient fous l'un de l'autre J'aurai voulu te garder dans mes bras pour toujours .. Mais l'éternité m'aurait parue trop courte Nous devons apprendre à vivre dans le présent. A trop regarder le passé, nous ressassons des remords et des regrets. A trop espérer du futur, nous nous berçons d'illusion. La seule vie qui vaille vraiment la peine est celle du moment présent. Dépêchez vous de vivre, dépêchez vous d'aimer, car vous ne savez jamais combien de temps il vous reste au compteur

évoque rien ne pourra en aucun cas nous atteindre et nous laissera totalement indifférent. C'est une des raisons, justifiant le choix thématique de cette anthologie. Aux saisons nous associons tous, selon notre vécu, un sentiment particulier, du remords, des souvenirs... Mais par la lecture de différents poèmes, l'on constate assez vite qu'il existe des assimilations récurrentes. Ainsi, dans mes pensées, printemps rime avec amour, renouveau, immense symphonie, où « des millions de fleurs se mélangent

paix, aux autres le souci. Pendant que des mortels la multitude vile, Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci, Va cueillir des remords dans la fête servile, Ma Douleur, donne-moi la main; viens par ici, Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années, Sur les balcons du ciel, en robes surannées; Surgir du fond des eaux le Regret souriant; Le soleil moribond s'endormir sous une arche, Et, comme un long linceul traînant à l'Orient, Entends, ma chère, entends la douce

676 « Sales égoïstes ; c’est moi qui veut vivre, moi, moi, je suis jeune, moi… »). Pour se venger de sa mère, Antoinette n’hésite pas à jeter les invitations dans la Seine. C’est une jeune fille qui n’a pas froid aux yeux et qui ne semble pas regretter son geste, bien que celui-ci soit lourd de conséquences. Les thèmes : L’adolescence est évoquée : en effet on s’identifie facilement à Antoinette qui fait sa crise d’adolescence en jetant, par exemple, les invitations de sa mère. On a son

la structure narrative du récit proposé par Quignard. Nous résumerons donc le récit par chapitres et proposerons une comparaison avec la trame narrative du film qui adjoint un plan séquence initial dans lequel Marin Marais vieilli et rongé par le remords, assume la voix off du narrateur. 1. Le titre Le titre provient de la phrase extraite du chapitre 26, après le suicide de mademoiselle de Sainte Colombe : « Tous les matins du monde sont sans retour ». Il place le récit au cœur d’une problématique

REDACTION PAULINE Le lendemain la femme du paysan prise de remord va voir le curé pour l'inviter a manger un gâteau. Le curé assez retissant a l'idée de venir manger un gâteau et de voir a nouveau Gombault et trouve l'idée assez stupide. Le curé dit alors : « Et pourquoi ferait-je sa après ce qui c'est passer hier ? Votre mari veut me tuer. Je n'est plus envi de le revoir ! Mais il avait tort et regrette son acte. Et en plus il n'est pas a la maison il est partie rendre visite a sa mère comme

ne tue quelqu’un, tire d’une seule balle, l’Arabe tombe à terre, Meursault tire quatre autres coups de feu sur le corps inerte. La deuxième partie du roman est consacré au procès de Meursault, il est arrêté et questionné. Il ne fait part d’aucun regret lors du procès. Il dit avoir commis son acte à cause du soleil. Il se retrouve condamné à mort (guillotiner). Meursault voit l’aumônier, mais quand celui-ci lui dit qu'il priera pour lui, il déclenche sa colère. Avant de mourir, Meursault trouve

Oreste. On peut se demander s'il n'envie pas leurs " grasses nourritures". Impression qu'Oreste éprouve un regret en se sentant différent d'eux. Limites de cette liberté. La liberté d'Oreste peut paraître dérisoire car 1) liberté = absence de liens 2) liberté s'accompagne de l'exil 3) liberté est considérée avec ironie Liberté > aux autres hommes. Il n'a aucun lien, ce qui suscite du regret. La liberté est comparée à des fils d'araignée => absence de lien => légèreté "je ne pèse plus qu'un

innocente». Tout ces mots connotent le caractère innocent de Séverine, qui s'oppose à la violence du meurtre, qui évoque une vendetta. D'ailleurs, Jacques semble, lui aussi, considérer Séverine comme une victime innocente de ses pulsions. Il exprime du regret, symbolisé notamment par le silence : «il la regardait, dans le lourd silence de la chambre rouge». Jacques ne peut d'ailleurs pas détacher son regard de sa victime : «Et c'est ce qui le retenait, c'était le masque d'abominable terreur que prenait

comprendre afin d’avoir une conception claire de la vie et du monde. Cette volonté de compréhension ne cesse jamais, ce veut dire que la découverte et le développement de soi est toujours en mouvement. «[…] pour l’autre de s’abandonner sans remords ni regret à la métamorphose des choses»[1]. Chercher à voir ce qui nous constitue et ce qui nous entoure est le fruit de l’approfondissement de l’Homme. Montaigne s’accorde donc de l’importance, mais raisonnablement, avec modestie. Montaigne se sert