Remords

l’individu qui subit une injustice, car sinon cette morale qui est appliquer sur autrui, serait en effet, de l’injustice. D’une part, commettre une injustice serait volontaire et bénéfique à la personne qui la commise. Cependant, une question de remords et de conscience de soi se ferait entendre. De plus, lorsqu’une injustice est commise, l’individu devient victime étant donné qu’elle subit un méfait qui peut-être physique, moral, etc. On pourrait exemplifier ce fait à l’aide du principe du droit

les mêmes, on peut en avoir l'habitude et alors elles n'ont plus le même effet et le mal ne nous choque plus. Les conséquences pour celui qui agit ne sont autres que les remords. Rousseau dit : " On parle du cri des remords, qui punit en secret les crimes cachés et les met si souvent en évidence. Hélas ! " pour montrer que les remords arrivent bien souvent. On en a une bonne illustration avec ceux de Lady Macbeth qui regrette de s'être par la manigance du crime de Duncan sali les mains : " Va-t'en,

un poisson, d’un filet sans issus, riche vêtement de malheur, et je le frappe 2 fois »). On ne partage pas les crimes, car ces criminels n’éprouvent ni remord, ni culpabilité. Au contraire, ils se ventent de leurs actes. Les criminels vont jusqu’à la folie. Dans la pièce de théâtre de Wajdi Mouawad, Nihal n’éprouvent aucun remord («  Les gens qui ont dit que je les ai torturés, je les ai torturés »). Il va même jusqu’à utiliser l’ironie pour qualifier ces meurtres et les gens qui l’a giflé

Reconnaissance des innocents Pureté ≠ noire (= crime) = Phèdre en mourant rétablit la clarté. =>> Antithèse Catharsis fait disparaître le noir et apparaître le blanc. Motivation pour se rattraper ( « Allons» v. 1647-1649 anaphore + champ lexical du remord Réhabilitation d’Hippolyte + adoption d’Aricie + impératif (( évoquant le souhait) c. Le sort de Thésée = innocent ou coupable ? |c.1 Innocent |c.2 Coupable

Cours vendredi matin – Atelier sur Zola Richard St-Germain  1- En quoi le remords de Laurent et Thérèse est-il un simple ‘’désordre organique ‘’ ? Laurent et Thérèse sont deux individus complètement opposés par leur tempérament. Thérèse qui a pour mère une femme d’origine ‘’indigène’’ ce qui ramène à une tempérament solaire et nerveux. Elle détient au fond d’elle des pulsations sauvages et dynamiques qui sont étouffées intensément par l’éducation qu’elle reçut par Madame Raquin. Thérèse est

lui infligeait la froideur d’Adolphe « elle mourra cette créature que vous avez protégé mais que vous frappez à coups redoublés » (l.32). Puis dans le texte de Zola, le suicide est le seul remède pour les deux amants, ce qui pourra les délivrer des remords qu’ils éprouvent pour le meurtre de Camille. « Ils tombèrent l’un sur l’autre, foudroyés, trouvant enfin une consolation dans la mort (l.27-28). Pour finir, dans l’extrait du Diable au corps, la mort de Marthe met un terme définitif à cet amour.

paraître, il semble que la conduite d'un homme injuste détient des aspects positifs. Mais cette attitude n'est pas exempts de critique. Une personne morale ayant commis cet acte déloyal est plongée dans une frustration permanente d'une sanction, des remords l'envahisse. Il semble donc plus intéressant de suivre la loi, de se maitrpiser , d'adopter un comportement juste envers autrui. Pourtant l'homme injuste peut ne pas être submergés par ces pensées. De ce faite, il semble intéressant d'aborder la question

rien à espérer de celle en qui tant de vices étaient réunis. Je ne regarde pas même la misère et l'abandon comme le plus grand danger auquel je l'ai exposée. Qui sait, à son âge, où le découragement de l'innocence avilie a pu la porter! Eh! si le remords d'avoir pu la rendre malheureuse est insupportable, qu'on juge de celui d'avoir pu la rendre pire que moi! Ce souvenir cruel me trouble quelquefois, et me bouleverse au point de voir dans mes insomnies cette pauvre fille venir me reprocher mon crime

passé prend ici la figure de l’obstacle, de la contrainte. Pour être libre il faudrait alors que je ne pense plus à ce que je fus pour me tourner vers l’avenir, il faudrait oublier. 2. Le passé comme acte accompli dans la faute m’impose le remords qui obsède mes pensées Plus encore, le passé peut prendre le sens d’un poids culpabilisant : ce que j’ai fait et mal fait, et que je ne peux plus refaire. Impossible de revenir en arrière pour réparer la faute commise et j’ai beau chercher

s’entrecroise avec la voix du personnage en question ; il installe par exemple un écho touchant entre « Ce malheur était l’absence de Julien ; elle l’appelait, elle,  le remords  » (p. 593) et « L’ambition était morte en son cœur, une autre passion y était sortie de ses cendres ; il l’appelait le remords d’avoir assassiné madame de Rênal »  Le rouge et le noir, sous-titré chronique du XIXème siècle, est un roman écrit par Stendhal et publié en 1830. Le roman est structuré