Remords

Texte A – Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde, 1ère partie, scène 3 SUZANNE. - (…) Parfois, tu nous envoyais des lettres, parfois tu nous envoies des lettres, ce ne sont pas des lettres, qu'est-ce que c'est ? de petits mots, juste des petits mots, une ou deux phrases, rien, comment est-ce qu'on dit ? elliptiques. « Parfois, tu nous envoyais des lettres elliptiques. » Je pensais, lorsque tu es parti (ce que j'ai pensé lorsque tu es parti), lorsque j'étais enfant et lorsque tu nous as faussé

qu’un « grand seigneur méchant homme est une terrible chose » (Acte I, Scène I).Pensez vous que Don Juan illustre effectivement cette réputation redoutable ou bien qu’il s’agit là d’un portrait à charge, dressé par un valet envieux et rongé par le remords de devoir servir un tel maître ? Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, dramaturge français (1622-1673) a mis en scène Dom Juan pour la première fois le 15 février 1665 d’après la pièce de Tirso de Molina, « El Burlador de Sevilla y Convidado de Piedra »

Camus(1942). Ces textes portent sur le thème de l'émotion d'un criminel, retranscrite par l'auteur. Entre autre est-il question de remords ou d'absence de remords des personnages principaux. Il s'agira de montrer comment l'auteur fait-il partager au lecteur les différents sentiments et sensations du criminel. Dans un premier temps nous allons étudier l'expression du remords et puis dans un second temps, le refuts. Concernant d'abord le premier texte nous avons une focalisation multiple, les sentiments

passageVers 1 à 10 : Un remords insurmontable et lancinant Vers 11 à 20 : Un personnage faussement salvateur / Un personnage aux émotions macabres/Une illusion salvatriceVers 21 à 25 : Une angoisse écrasante/Une obscurité insurmontableEnjeu de l’explication (n’en choisir qu’un seul lorsque vous passez à l’oral) Comment ce poème définit-il le pouvoir rongeur du remords ? Comment le poème traduit-il la lutte contre la fatalité du remords ?Eléments d’explication

commence au moment où Oreste revient dans sa ville natale, Argos, qui est envahi par les mouches. Il voyage sous un autre nom, Philèbe, ainsi qu’avec son précepteur. Il voit meurtri un peuple abattu et plein de remords des crimes commis du passé. Même les dirigeants sont empreints à des remords selon leur crimes avoués. Il rencontre Clytemnstre et Egisthe qui sont respectivement sa mère et son beau-père. Ce sont les assassins d’Agamemnon, son père, au retour de la guerre de Troie. Il découvre sa sœur

ce dernier. Elle grandira avec son cousin Camille qu’elle finira par épouser et elle tuera ce dernier avec l’aide de son amant et futur mari, Laurent. Dans le passage étudié qui est l’excipit du roman, on voit que Thérèse et Laurent vivent dans le remord et l’angoisse depuis le meurtre de Camille, c’est alors que chacun d’eux décide d’éliminer son complice. Le destin des deux personnages est complètement fixé on peut donc parler d’excipit fermé. Comment l’auteur met-il en valeur l’illusion du réel

humains et non de troupeaux, à jamais introuvables et irrécupérables en ce monde. Réparations et réhabilitations réduisent la justice à n’être que cérémonie et symbole. Le mal parce qu’il a été inscrit dans l’être condamne toute mémoire historique au remords ; il est dès lors le problème qui décourage d’avance toute solution. Soit en effet une solution qui pourrait à première vue sembler exemplaire. Platon, méditant sur l’injuste mort de Socrate, disciple fidèle entre les fidèles, se jurant de donner

de Camille apporte aussi à Laurent et Thérèse, les deux amants meurtriers nouvellement mariés, un malaise et un effroi terrible. La cicatrice que Camille a fait à Laurent leur rappelle ,d’une part, le meurtre et d’autre part, leur fait avoir des remords terribles. Dans le texte qui suit, je vous démontrerai en quoi la cicatrice de Laurent fait souffrir celui-ci et Thérèse en étant le symbole du crime et de leur culpabilité.

Thérèse. Mais le souvenir de Camille, matérialisé par divers signes symboliques (une cicatrice, un portrait, le chat noir), s’interpose entre les deux amants et les rend impuissants à continuer leur union charnelle c’est la forme « naturaliste » du remords. Dans une crise de haine mutuelle, ils révèlent leur crime à la mère de Camille, devenue paralytique et muette. Et ils finissent par se suicider ensemble sous ses yeux.njnenfjenifjkenjcnd cjb vhrfnhbdv dcijed cv dhbferfn vv uh'h urg' ug'uh uhjie u

autobiographique. C’est une scène emblématique de l’ensemble de l’œuvre. Structure du passage complet : Idées importantes de chaque paragraphe. Paragraphe 1 : L’aveu de la faute commence par les suites qu’elle à entraîné. Il nous dit que c’est le remord de ce qui c’est passé et le désir de se délivrer qu’il l’a poussé à en parler. Paragraphe 2 : Narration des faits. Il évoque les circonstances du vol, l’interrogatoire, la confrontation et la sanction. Paragraphe 3 : Conséquences du mensonge pour