Remords

pas avoir pu vivre leur amour. Le thème des remords, va être présent jusqu’à la fin du roman a partir du moment où Laurent et Thérèse vont avoir commis leur crime. Les personnages, ayant le remord d’avoir tué Camille, vont ne plus pouvoir s’aimer comme il l’avait prévu. Les remord, vont les faire réfléchir est regretter leur actes jusqu'à se haïr mutuellement. Les personnages vont quand même se marier, mais jusqu'à pendant la nuit de noce, les remords vont les suivre et gâcherons se moment unique

Mais une autre épreuve l’ai aidé a surmonté cette dépression. C’est l’amour, représenté par Emilienne. Mais cet amour lui a fait passer trois autres épreuves : la rupture, les remords car il n’est pas allé assister sa mère et les reproches des gens de son village. L’épreuve suivante qu’Aimé Pache devra surmonter est les remords causés par la mort de sa mère. En effet, Aimé a préféré rester à Paris plutôt que de rejoindre sa mère mourante pour l’accompagner dans sa mort. Il est juste arrivé pour l’enterrement

vitriol et le sucre, il s’ensuivrait qu’un crime expliqué et motivé comme celui que vous exposez n’est pas chose si miraculeuse et si monstrueuse, et on se demande dès lors pourquoi tout cet appareil de remords qui n’est qu’une transformation et une transposition du remords moral ordinaire, du remords chrétien, et une sorte d’enfer retourné. Dès les premières pages, vous décrivez le passage du Pont-Neuf : je connais ce passage autant que personne et par toutes les raisons qu’un jeune homme a pu avoir

d’une arme puissante en exprimant ses remords. Elle-même utilisera ce mot à deux reprises : « je devais juger de ses remords » L21, « le remords de son infidélité »L30 Nous retrouvons, dès lors, un vaste champ lexical exprimant la souffrance et du trouble : « douleur » L21, « confusion extrême » L32, « peine »L40, « larmes » L41, « ses gémissements » , « ses cris » L41, « son désordre »L43. Nous pouvons même observer une gradation durant cette expression de remords : « non seulement à retenir ses larmes

réquisitoire contre celui-ci. Il transforma un soldat mutilé en allégorie du remords : « l’effrayant remords de la gloire se trainait vers Napoléon» (l.14). Cette transformation sert à souligner l’attitude de napoléon qui est soulignée par un chiasme (l.14-15), par une allitération en « r » comme avec « effrayant » (l.14), « remords » (l.14) ou « trainait » (l.14). L’attitude de Napoléon est aussi soulignée par une opposition de remords qui se traine et de Napoléon qui fuit qui est faite grâce à une parataxe

temps alimente le Remords. Le Remords est un ennemi pour l’Homme, il persiste, nous détruit, grandi. Dans L’irréparable, Baudelaire écrit « se nourrit de nous comme le ver des morts, comme du chêne la chenille », « destructeur et gourmand comme la courtisane, patient comme la fourmi », « A cet agonisant que le loup déjà flaire », « Le Remords, aux traits empoisonnés à qui notre cœur sert de cible », « L’Irréparable ronge avec sa dent maudite », le remord est une vive douleur

occasion pour eux de s’engager dans un acte et ainsi donner 1 sens à leur vie. L’homicide et le matricide vont avoir lieu, ce qui permet à Sartre dans cet extrait des Mouches publié en 1944, de montrer que l’on est libre quand on éprouve aucuns remords. * Dans ce passage de l’Acte III scène 2, le frère et la sœur illustrent des réactions tout à fait opposé : l’un assume, l’autre regrette. * Lecture + rappel de la question * I- Le comportement d’Electre II- Le rôle, la fonction de la

mariage tout ce qui pouvait le rendre agréable aux hommes. » « Pour connaître les hommes, il faut les voir agir. » « Diminuez donc les désirs, c’est comme si vous augmentiez les forces. » « Je suis esclave par mes vices et libre par mes remords. » « Le devoir d’une éternelle fidélité ne sert qu’à faire des adultères. » « C’est en un sens à force d’étudier l’homme que nous nous sommes mis hors d’état de le connaître. » « Suffit-il de n’être jamais injuste pour être toujours innocent

REMORDS POSTHUME Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d'un monument construit en marbre noir, Et lorsque tu n'auras pour alcôve et manoir Qu'un caveau pluvieux et qu'une fosse creuse; Quand la pierre, opprimant ta poitrine peureuse Et tes flancs qu'assouplit un charmant nonchaloir, Empêchera ton cœur de battre et de vouloir, Et tes pieds de courir leur course aventureuse, Le tombeau, confident de mon rêve infini (Car le tombeau toujours comprendra le poète),

revient de l’au-delà ? Nous faisons l’hypothèse que le texte fait du revenant une figure polysémique et polymorphe qui prend la forme à la fois d’une hallucination, suivant une lecture de type positiviste défendue par l’auteur et le narrateur; d’un remords, suivant la lecture psychologique qu’en ont faite les contemporains de Zola; et, enfin, d’un mort malveillant qui revient d’outre-tombe pour supplicier ses meurtriers, suivant la lecture de l’événement réalisée par les personnages principaux. Les