Rempart

I - Les remparts : Dès sa création vers le VI ème siècle avant notre ère, la cité est munie d’un rempart qui ceinture un espace d’environ 3, 3 hectares. Ce rempart devait certainement avoir une fonction défensive et permettait de structurer la ville et ces grands axes. Sa forme est proche de celle d’un triangle et le seule angle véritablement connu se situe au Sud Est et est légèrement arrondi. Les trois côtés sont formés de courtines à peu près rectilignes. Au Sud, les remparts sont doublés

terrain marécageux à l’extérieur des remparts de la ville. Le choix de se terrain ingrat complique la construction mais c’est un coup de génie. Un marais et une rivière offre à la Citadelle une protection naturelle côté campagne. L’assaillant devra l’attaquer du côté de la ville, ce qui l’oblige à prendre la ville d’abord. Vauban fait un autre choix audacieux en plaçant la Citadelle beaucoup plus loin de la ville que l’on ne le faisait alors. En prolongeant les remparts de la ville jusqu’à la Citadelle

majoritairement anglais et hollandais. Voici donc les différentes formes de défenses de la baie de Saint Malo en fonction du temps et des localisations. I) Les fortifications de la ville : L’Intra Muros 1) Les remparts A) Création et Moyen Âge Les travaux des remparts débutèrent des la naissance de la ville de St-Malo, aux alentours de l’an de grâce 1155 lorsque Jean de Chatillon, seigneur évêque d’Aleth transféra son évêché sur le rocher Canalch, qui correspond aujourd’hui à Intra

aux élèves s'ils connaissent des villes médiévales. Ils peuvent citer St Michel, Carcassonne, St Malo... Puis demander de citer leurs particularités par rapport aux villes d'aujourd'hui. Formuler : Les villes médiévales étaient protégées par des remparts. Du haut du beffroi, des guetteurs surveillaient les alentours et sonnaient la cloche en cas de danger. Les rues étaient étroites, sales et sombres : on y jetait les ordures et les eau usagées ce qui favorisait les épidémies. Les villes possédaient

valorise une ville utopique (une représentation d'une réalité idéale et sans défaut) nommée Amaurote et tout ce qu’elle contient. Nous démontrerons comment l’auteur nous donne une sensation de travelling en nous décrivant d’abord la ville et les remparts puis les rues et enfin les maisons et les jardins. Le texte commence avec le champ lexical de la ville, qui est reliée par un pont soutenu par « un ouvrage en pierre", ce qui évoque des bâtiments robustes et massifs.

la fin du siècle dernier. Mais Saillon est demeuré le type du bourg médiéval, tel qu'il était à la fin du 13ème siècle, avec ses rempart et ses portes, son château et son donjon, son hospice et ses foires. Si les foires ont depuis longtemps disparu, si le château a été définitivement ruiné par les Hauts-Valaisans lors des guerres de Bourgogne, le donjon, les remparts et les portes qui sont conservés grâce à quelques heureuses restaurations, le bourg lui-même, avec ses petites rues étroites et tortueuses

attaché, en 1636, à retrouver I' u ancien circuit n de Vannes. Des personnes de qualité, et qui s'étuient intéressé aux antiquités de la ville, lui servirent de guides. Ses yeux exercés reconnurent., non sans plaisir, les restes gallo-romains des sans remparts. Il affirme « Comme l'ouvrage de n I' o ancien circuit est romain, aussy la situation (le la ville est-elle romaine n. Avant de suivre Duhuisson-Aubenay le long du « circuit 't, examinons la situation o SITUATION Pour comprendre l'enceinte, il

l’architecture des châteaux forts »– Les premiers châteaux étaient des mottes fortifiées. Plus tard, à partir du XIIème siècle, ils ont été construits en pierre pour résister aux incendies. Les châteaux forts étaient défendus par d’épais remparts entourés de fossés. Pour se défendre, les habitants du château disposaient d’eau et de vivres en quantité. La tour principale s’appelait le donjon. C’est là que vivaient le seigneur et sa famille. Donjon : partie centrale du château fort qui

de Tulum est protégée par un rempart qui bloque les cotés nord sud et ouest de la cité ( front terrestre). Le côté est, étant naturellement fortifié par des falaises dominant la mer des Caraïbes. L’aire à l’intérieur des remparts s’étend sur environ 380 mètres du nord au sud, et sur 165 mètres d’est en ouest. Le rempart haut de 3 et 5 mètres est d’une épaisseur moyenne d’environ 6 mètres. Il était à l’époque percé de 5 portes couvertes de dalles. Au sommet du rempart, on trouvait un chemin de ronde

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