Renaissance du XIIe siècle

Gerbert d'Aurillac[1], on trouve sa trace à Chartres comme chanoine et écolâtre à partir de 1004. Son enseignement y gagne une grande notoriété et préfigure les futures écoles de la ville, bien que Fulbert ne puisse être directement lié à la renaissance du XIIe siècle. On n'y apprend pas seulement la théologie, mais encore la géométrie, la médecine, la philosophie. Nombreux et fidèles seront ses disciples. Fulbert est aussi réputé comme conseiller des rois et des princes, notamment par sa proximité avec

raconter l’histoire. ↔ Conception primitive. Chez les grecs les deux notions se confondent, alors que chez nous il y a une dissociation entre historien et témoin, de plus en plus → être capable de parler de faits passés. * Isidore de Séville (VIIe siècle) « Etymologies » : Il définit le mot « histoire ». L’histoire est la narration des actions accomplies par laquelle (la narration) on discerne (on distingue) ce qui s’est fait dans le passé. L’historien se rapporte à des faits et non plus des paroles

peintres choisissent une figuration réaliste détaillée, rejetant l’exagération sentimentale des expressionnistes. Les peintres ont une ambition commune : trouver la vérité du sujet qu'ils représentent, grâce à un travail fondé, comme au temps de la Renaissance, sur la haute valeur du « métier » : la technique, le dessin, la netteté, les détails, la composition,… Citations d’Otto DIX « Il me fallait cette expérience : comment quelqu’un situé juste à côté de moi pouvait tomber tout à coup et disparaître

règles coutumières. Pour des actes juridiques (ventes, prêt...), la parole suffit. Cela se traduit par un droit formaliste : formes, paroles, gestes particuliers à respecter pour faire naitre un effet de droit. L'ANCIEN DROIT ROMAIN (-509 – 2e siècle av JC) 509 : naissance de la République Explication : double mouvement : Révolution patriotique menée par les familles patriciennes, grandes familles romaines depuis les origines, devenues minoritaires, et qui veulent récupérer le pouvoir

barbare présentée par les hommes de la Renaissance. Seul le XVe siècle fait exception. En effet, dans le dernier siècle du Moyen – Age se manifeste une décadence et une misère généralisées, ce qui modifie profondément la conception de la mort de ce siècle foncièrement pessimiste. A l’inverse des siècles précédents qui manifestent une certaine joie de vivre, le XVe siècle accueille l’existence avec horreur et mépris. Eustache Deschamps décrit son siècle comme un . Du même auteur provient cette

11 Bibliographie 12 Voir aussi 12.1 Articles connexes 12.2 Liens externes Histoire des représentations des nuages L'histoire des représentations des nuages présente les différentes perceptions des nuages au cours des siècles. La majorité des philosophes de l'Antiquité considèrent que les nuages sont issus des exhalaisons humides que dégagent la mer et les cours d'eau1. Au Moyen Âge, le nuage appelé nue est perçu dans une perspective théologique comme la « nuée mystique

États en Égypte et en Mésopotamie) VIIIe siècle av. J.-C. -Homère (auteur des poèmes l'Iliade et l'Odyssée, à la base de la culture et des croyances des Grecs) -Fondation de Rome (premières installations de populations sur le site de Rome, ville qui domine le bassin méditerranéen jusqu'en 476) -Début de l'écriture de la Bible (lors de la disparition de leurs royaumes, les juifs mettent par écrit des récits religieux transmis jusque là oralement) Ve siècle av. J.-C. -Périclès (magistrat athénien

autour de l’autoportrait L'autoportrait est un sujet que de nombreux peintres ont pratiqué. Le genre, qui semble absent dans l’antiquité et exceptionnel au Moyen Âge, émerge avec la Renaissance, lorsque l’individu devient en soi un centre d’intérêt majeur. L’apparition des premiers autoportraits fut dès le XIIe siècle dans les enluminures. ➢ Albrecht Dürer (1471-1528) et Titien (1477-1576) sont considérés comme les inventeurs de ce genre. Les artistes ont commencé à se représenter comme un élément

On qualifie de roman le style architectural, pictural et décoratif de la période qui a cours, en Europe, de l’avènement des Carolingiens (IXe siècle) jusqu’au XIe siècle (ou au XIIe siècle selon les pays). Le terme de roman, forgé au XIXe siècle, aurait été employé pour la première fois par l’archéologue normand Charles Duhérissier de Gerville. Cet art s’exprime à travers le caractère monumental de son architecture, mais aussi dans une riche sculpture et une peinture particulièrement précieuse

légendaires, de portée locale ou universelle, émaillés d’actions héroïques et grandioses. Elles s'organisent le plus souvent autour des exploits d'un seul personnage ou d'un groupe bien défini. On peut citer par exemple la chanson de Roland (fin du xie siècle), poème épique français qui relatant les exploits de Roland, le neveu de Charlemagne. Extrait de « la chanson de Roland » : «  Olivier sent qu’il est blessé à mort. Jamais il ne saurait assez se venger. En pleine mêlée, maintenant, il frappe