Rendement

Les rendements d'échelle Les rendements d'échelle concernent la relation entre la quantité ou échelle de production et les quantités des deux facteurs à la fois, dans une proportion donnée. On suppose que l'on veut augmenter la production et donc qu'on augmentera pour cela les quantités des facteurs, ces dernières variant d'un même pourcentage x. La question des économies d'échelle est alors la suivante: les quantités des facteurs de production augmentant ensemble de x%, quel est le pourcentage

loi des rendements décroissants?( la productivité marginale décroissante) PmL = d F/d K PmL = d F/ d L donc dire que la loi des rendements décroissants est vérifiée signifie qui pour tout revenu L° fixe K = d F/d K ( K, L°) est décroissante Ko fixé : L > d F/d L ( Ko,L) est décroissante les dérivées des ce deux facteurs doivent être négatives K > d F/d K<0 de même il faut que dF/d L<0 RENDEMENTS D'ECHELLE ET PROGRES TECHNIQUE Est-ce que la lois de rendements décroissants

Électricité : Les différentes sources d'énergie et leurs chiffres… Les énergies utilisées en France sont multiples mais leur utilisation est inégale. Par exemple, nous utilisons beaucoup plus l'énergie nucléaire ou hydraulique que les énergies renouvelables. Les énergies en France sont : -les énergies fossiles qui proviennent de la combustion de matières premières tels que le charbon, le pétrole ou le gaz naturel. Ces combustions sont dîtes des « combustion fossiles ». Malheureusement elles

productivité marginale correspond à la dérivée partielle de la fonction de production par rapport au travail ------------------------------------------------- PmL = dQ/dl = d f(T0,L)/dl Loi des rendements factoriels décroissants On met en évidence la loi de la Pm décroissante (loi des rendements factoriels décroissants). Lorsqu’on augmente l’utilisation d’un facteur, toutes choses égales par ailleurs il existe un niveau d’utilisation de ce facteur variable à partir duquel la Pm de ce facteur

adapter plus vite le volume de travail que celui de capital. Sa productivité est alors déterminée par la loi des rendements décroissants ( mais pas nécessairement dans la première phase ). Ces rendements décroissants sont inévitables à court terme, pour un état donné des techniques de production et avec un sel facteur variable. Cette loi est parfaitement compatible avec des rendements croissants à long terme, quand le capital et la technologie varient. Par ailleurs, sur cette courte période, il

ou MTA, donc une action sur la FIABILITE et/ou LA MAINTENABILITE de l’équipement 3-3 Le Taux de Rendement Synthétique (TRS) Norme NFE 60-182 Le TRS - Taux de Rendement Synthétique est l'un des indicateurs de performance définis dans la norme NF E60-182 Mai 2002 : Moyens de production - Indicateurs de performances - Taux de rendement synthétique (TRS) - Taux de rendement global (TRG) - Taux de rendement économique (TRE) Sur le schéma suivant des temps significatifs sont définis : - tt temps total

2ème année Sommaire Introduction p.3 I/ Présentation du TPM p.4 A) Les origines du TPM P.4 B) Les objectifs du TPM P.5 II/ Démarche du TPM P.6 A) La phase d’analyse P.6 1) Calcul du Taux de Rendement Global 2) Les causes de pertes d’efficacité des équipements B) La phase d’amélioration P.11 1) Les 5 principes du TPM 2) Les 8 piliers du TPM Conclusion P.15 Bibliographie P.16 Introduction La Total Productive

croissance économique. La loi des rendements décroissants ; quand les terres les moins fertiles ne produisent plus assez pour répondre à la consommation accrue du fait de l’augmentation de la population, les agriculteurs mettent en culture des terres de moins en moins fertiles, dont les rendements tendent à être de plus en plus faibles. Même si les agriculteurs doublent les quantités de capital et de travail, la production fera moins que doubler. Les rendements sont donc décroissants. La croissance

exogènes, des facteurs soumis à la loi des rendements décroissants et des facteurs substituables (défendent la thèse de « croissance équilibrée » qu’ils justifient par l’hypothèse de parfaite substituabilité des facteurs). Les économies connaissent des épisodes de décollage à partir du moment où elles s’arrivent à accumuler du Capital physique et du travail. Cependant, l’accumulation de travail/capital peut se heurter à des limites telles le rendement décroissant (Ricardo). La productivité par tête

partie le résultat de l’innovation, il est est d’autant plus nécessaire que l’accumulation du capital par travailleur, qui permet d’accroître la productivité du travail, se heurte à la loi des rendements décroissants lorsque le facteur travail est fixe. Seul le progrès technique permet de surmonter ces rendements décroissants du capital et d’assurer une croissance durable de la productivité du travail. Nous pouvons donc dire, que le progrès technique et les facteurs de production tiennent un rôle important