Rendement

du capital par travailleur, qui permet d’accroître la productivité du travail, se heurte à la loi des rendements décroissants lorsque le facteur travail est fixe (cf. programme de première, économie, question 2.1.), ce qui, en première approximation, est le cas dans les pays ayant réalisé leur transition démographique depuis longtemps. Seul le progrès technique permet de surmonter ces rendements décroissants du capital et d’assurer une croissance durable de la productivité du travail. Le rôle central

l’unité retiré de la consommation de l dernière unité consommé Ex : l’eau a une utilité plus forte dans le désert que dans des conditions normales, donc sa valeur est plus forte On peut donc introduire une fonction mathématique Loi des rendements décroissants Politiquement, on cherche à expurger une théorie économique. ▪ Analyse de la société et répartition des revenus en classe sociale Chez les néo : abandon des classes sociales. Répartition en fonction de la contribution

démographique. Sa démonstration est fondée sur l’idée que la population croît plus vite (progression géométrique) que les subsistances (progression arithmétique), provoquant un déséquilibre qui conduit l’humanité vers la famine. Selon la loi des rendements décroissants, en effet, une faible population commencera par exploiter les terres les plus fertiles. Mais au fur et à mesure de la croissance de la population, on devra avoir recours à des terres de plus en plus difficiles à cultiver et nécessitant

différentes tâches qui composent le processus les différents stocks et en-cours les flux d'informations t de matières les tailles de lots de transfert les temps de cycle, de changement de série, les temps d'attente les capacités machines le TRS (Taux de rendement synthétique) 

production l'innovation de débouchés l'innovation de matières premières. Progrès Technique : permet ainsi que la combinaison productive soit plus efficace, pallier les limites de la croissance extensive (croissance du aux facteur L et K ; loi des rendements décroissants) (Il part d'un état stable (éco stationnaire) . Ce n'est cependant pas l'équilibre néoclassique. Schumpeter est un économiste de l'école autrichienne, donc il raisonne en terme de circuit. Il y a des producteurs, qui achètent

fonction doit être positive. II. La notion de rendements A. Les rendements factoriels Attention à ne pas confondre rendements factoriels (les facteurs sont tous bloqués sauf celui qu'on observe) et rendements d’échelle (on fait bouger tous les facteurs simultanément). Comment varie la quantité produite quand on combine une quantité variable d’un facteur avec des quantités fixes des autres facteurs de production ? 1. L’hypothèse des rendements décroissants Elle est communément admise

valeurs, c’est l’ordre de propriété, le libéralisme et l’ordre naturel ; On retrouve dans son œuvre des thèmes de productivité, du produit net, de la stérilité et du circuit économique. Mais les apports de Turgot concernent beaucoup plus la loi des rendements décroissants, l’épargne et le capital, mais précisément la théorie de la valeur pour bien assimiler les travaux de Turgot. Nous allons faire une analyse des auteurs qui l’ont précédé : William Petty, Cantillon et l’abbé Galiani. On peut considérer

tout en gardant le même volume de production. A court terme, certains inputs de L’Ese peuvent être fixes. A long terme, ces mêmes facteurs peuvent être variables de sorte que les possibilités techniques de L’Ese peuvent être différentes. 1- Rendements et productivité A partir d’une fonction de production X= f(T,K), il est possible de suivre l’évolution de la production lorsqu’on augmente la quantité d’un seul facteur variable en maintenant l’autre constant. Cette fonction de production permet

nouveau bien, elle disposera d’un pouvoir de marché supérieur jusqu’à ce que d’autres entreprises l’imitent, ce qui l’incitera à rechercher de nouvelles innovations. R. Solow bâtit en 1956 un modèle de croissance (dit exogène) avec l’hypothèse de rendements factoriels décroissants. La décroissance de la productivité marginale du capital a tendance à limiter le processus de croissance. Il remarque que le travail et le capital ne permettent pas d’expliquer à eux seuls la croissance. Il propose alors

temps avec la mise en culture de terres peu fertiles. Il y a donc trois phases dans l'évolution de la production agricole en fonction des terres mises en culture : une phase de rendements croissants, une de rendements constants et une de rendements décroissants. Cette loi établie par Turgot est appelée loi des rendements décroissants. Elle traduit la limite à l'accroissement quantitatif de la production agricole. Le seul moyen de trouver une solution à cette limite est donc d'agir sur l'accroissement