René Char

sans ornement La parole en archipel René Char La parole en Archipel représente huit années de la poésie de Char, poèmes écrits entre 1952 et 1960 publié en 1962, recueil unissant Quatre fascinants, la minutieuse 1951, la Paroi et la prairie 1952 Lettera amorosa 1953 Le rempart des brindilles 1953 Poème des deux années 1955 La bibliothèque est en feu et autres poèmes 1956 à quoi s’ajoutent l’Amie qui ne restait pas, Lascaux, Au- dessus du vent quitter. René Char fait l’expérience de la nuit de 1955

(allant du IIe millénaire jusqu’au VIe siècle av J.-C). Ce jeu se jouait alors sur un échiquier primitif de 64 cases. Il opposait simultanément quatre joueurs ayant chacun une « armée » de huit figurines (un roi, un éléphant de combat, un cavalier, un char de guerre ainsi que quatre soldats). Le but était de capturer le/les rois ennemis et c’est de là que vint l’expression « shat-mat » (le roi est pris) qui donnera plus tard l’expression « échecs et mat ». Ce jeu comprenait aussi des dés, servant à faire

Une troupe de comediens arrive dans la ville du Mans. Le soleil avait achevé plus de la moitié de sa course, et son Char, ayant attrapé le penchant du monde, roulait plus vite qu'il lie voulait. Si ses chevaux eussent voulu profiter de la pente du chemin, ils eussent achevé ce qui restoit du jour en moins d'un demi- quart d'heure mais, au lieu de tirer de toute leur force, ils ne s'amusaient qu'à faire des courbettes, respirant un air marin qui les faisait hannir et les avertissoit que la mer

événements très prisés du publique, à nature sportive et religieuse dans l’antiquité grecque et romaine et dans l’ empire byzantin. Les chars pouvaient être tirés par deux chevaux ( bige), quatre chevaux ( quadrige) ou encore par six chevaux ( sejuges). Le char monté sur deux roues et constitué de bois, utilisait des chevaux que l’ont faisait venir d’Espagne ou d’Afrique du Nord par bateaux appelé hippago. Les chars sont conduits par un aurige le plus souvent un esclave ou un affranchi. Sortir vainqueur d’une

rouge. Après, les officiers avec leurs gros chapeaux plumés, puis le reste du régiment qui était vêtu en bleu foncé. Subitement, le régiment s’arrêta. Mme de Chasteller ne pouvait voir la cause de ce ralentissement. Mais elle se dit, qu’il y avait un char qui perdit une roue ou un cas semblable. Elle décida de regarder les officiers, majestueux sur leurs chevaux blancs, noirs et bruns. Un des officier fut donner l’ordre d’aller voir pourquoi le régiment s’était arrêté comme ça. Puisque le passage était

Cette attitude est un peu chauvin. Ils rencontrent aussi deux passants pour leur demander combien leur manquait pour arriver à leur destination. Ces deux passant sont ‘Don Quijote y Sancho Panza’, preuve de la littérature espagnole. Quand ils vont en char, ils s’aperçoivent que la route est en mauvaise état. L’enfant dit qu’ils vont l’arranger tôt. Certainement les routes espagnoles sont pires que les français dans nos jours. Ils rencontrent aussi des nomades (les gitans). On les montre comme drôles

principalement des peintures parlant de sa maladie. La guerre : Untitled, 1985 Collection Keith Haring Foundation Acrylique sur toile 152,4 x 152,4 cm On voit que l’homme en premier plan ne pense qu’à la guerre car il a sa tête remplacée par un char de guerre La manipulation politique et la perte d’individualité : Un singe ovationné par une foule d'hommes ... Haring symbolise ici le danger de mouvements de masse, de la manipulation politique et surtout de la perte d'individualité. L’environnement :

Les courses de chars Déroulement : Voici comment se déroulait une course de chars : Les auriges enroulaient les rênes autour de leur ceinture. Le char de course, semblable au char de guerre, était constitué d'une simple caisse avec deux roues. Le char est tiré par deux ou quatre chevaux, celui de gauche étant toujours le conducteur, pouvait atteindre de très grandes vitesses. Mais ils étaient à la merci du moindre choc. Dans les tournants, surtout, les roues heurtaient les bornes et il ne

durant un millénaire à Rome. Les attelages étaient des chevaux et les concurrents des professionnels. Ils faisaient partie d'équipes(factiones) dont chacune arborait des couleurs différentes. Ces courses se pratiquaient dans des cirques. I- Le char: Le char était une simple caisse montée sur deux roues, comme autrefois les chars de guerre. Il était très léger. Il est réservé aux citoyens romains donc tout le monde ne peut pas y accéder librement. Il n’y a pas de mélange des spectateurs selon leur

tactique entre en compte : lignes de soldats = > le soldat protège son compatriote de droite avec son bouclier, qui dépasse. Bloc de 100 soldats hérissé de piques, en avant et vers le haut = > phalange. Avantage : le soldat est rapide et endurant. Char de guerre : origines orientales = > un conducteur et un ou deux soldats, tactique tournante. Les soldats lancent des sarisses ou tirent à l’arc. Possibilité de mettre des faux sur les roues. Pas facile à utiliser sur un terrain pierreux = > abandon