René Coty

la République, auparavant élu par la réunion de l'Assemblée nationale et du Sénat. Le souvenir de l'élection laborieuse de 1954, où il avait fallu pas moins de 13 tours de scrutins pour que députés et sénateurs s'accordent sur la candidature de René Coty, est resté dans les mémoires. Aussi la Constitution confie-t-elle dans un premier temps le soin d'élire le prés i d e n t d e la R é p u b l ique à un collège d'environ 80 000 grands électeurs (députés, sénateurs, conseillers généraux, maires et

François Mitterrand, qui est de désavouer officiellement les Comités de Défense de la République, composés de civils et de militaires et constitués dans toute la France pour favoriser sa prise de pouvoir. Le 29 mai, le président de la République, René Coty, fait appel « au plus illustre des Français ». L'Assemblée Nationale, en majorité de Gauche, et opposée au Général, vote alors la confiance à Pierre Pflimlin, leader de la Droite modérée qui devient ainsi Président du Conseil, sans pouvoir contrôler

à l’établissement d’un | |gouvernement républicain ». - 28 mai 1958 À Paris, démission du gouvernement Pflimlin et manifestation pour la défense de la | |République. - 29 mai 1958 Message au Parlement du président de la République René Coty annonçant sa décision de faire appel « au plus | |illustre des Français ». De Gaulle reçu à l’Élysée. 1er et 2 juin 1958 De Gaulle est investi à la tête du dernier gouvernement de la | |Quatrième République et reçoit les pleins pouvoirs avec

Massu lance un appel au général de Gaulle. Cette révolte prend de l'ampleur et n'est pas loin de dégénérer en guerre civile. Le 15, le Général se dit « prêt à assumer les pouvoirs de la République ». * Le 29 mai, le président de la République, René Coty, fait appel au Général. L'Assemblée Nationale, en majorité de Gauche, et opposée à son retour. Le Président de la République dans un message au Parlement, menace à ce moment de démissionner sur le champ, ce qui pourrait provoqué un coup d'état militaire

président du Conseil, contrôle du président de la République. b) Les partis politiques trop divers font tomber les ministères. c) La décolonisation en Algérie pèse sur le gouvernement. II. Le général de Gaulle est rappelé au pouvoir. a) Le président René Coty ne peut faire face à l'insurrection en Algérie. Il appelle le général de Gaulle à la présidence du Conseil le 1er juin 1958. b) Le général de Gaulle propose une nouvelle Constitution acceptée par référendum le 28 septembre 1958. c) Élu président

gouvernements ont été renversés dans un délai de 18 mois. Cela est arrivé une seule fois en 1955, le gouvernement de Pierre mandès France a été renversé le 5 février puis celui de d'Edgard Frot le 29 novembre. Cela a débouché sur la dissolution de l'AN par René Coty le 2 décembre II) L'échec de la rationalisation du parlementarisme A° Les dérapages de la rationalisation dans la pratique. - La question de l'investiture qui avait été rationlisé mais Paul Ramadier président du conseil accepte

pour 7 ans, à la majorité absolue des suffrages exprimés, par l'Assemblée nationale et le Conseil de la République réunis en Congrès à Versailles. 
(Le 16 janvier 1947 M. Vincent Auriol est élu au premier tour de scrutin ; le 23 décembre 1953 M. René Coty est élu au treizième tour de scrutin.) Le Président de la République a un statut de monarque républicain mais n'a aucun pouvoir réel. 
Il désigne le Chef du Gouvernement, qui porte officiellement le nom de Président du Conseil bien que le Conseil

l'Armée : avec le Commandant Massu en Algérie. → Hors la loi. → L'insurrection d'Algérie se propage : des élus se réclament de ce comité (Corse...) → Le 15 Mai : De Gaulle se tient "prêt à assurer les pleins pouvoirs de la République". → Renée Coty et Pierre Pflimlin veulent mettre fin à la crise qui débuta avec le putsch d'Alger. - Mais Pflimlin démissionne le 28 Mai (car il ne peut pas faire face à la crise). - Le Général de Gaulle est élu le 29 mais 1958 : ° Il devient le dernier Président

démissionne. La raison de sa chute est due à l’absence de majorité à l’Assemblée Nationale, aussi bien pour la poursuite de la guerre d’Algérie que pour la négociation du Front National de Libération (FLN). Le 8 mai, le président de la République, René Coty, demande à Pierre Pflimlin d’être son 1er ministre et de constituer un Gouvernement. Le 13 mai, des émeutiers prennent d’assaut le Gouvernement général à Alger : putsch local. L’armée française postée en Algérie est défavorable alors à ce mouvement

regrettable mais inévitable) eut le mérite de comprendre qu'il était indispensable pour les hommes de droite de s'organiser en une seule formation, indépendante de tout parti politique. Deux hommes politiques chevronnés, entourés d'un respect unanime, René Coty et Jean Boivin-Champeau, saisirent aussitôt la valeur de l'idée lancée par le Sénateur-maire de Beaune. C'est ainsi, qu'après la création pendant l'été 1948 de plusieurs centres départementaux, fut fondé le 6 janvier 1949, sous cette triple signature