René Rémond

Denis Diderot est née a Langres au sein d'une petite famille bourgeoise, le 5 octobre 1713. Il est le fils d'un maitre coutelier, et ses frères et sœurs sont tournés ainsi que lui même vers l'église au début de sa vie. Il va suivre ses études avec des jésuites puis il va au lycée Louis Le Grand à Paris vers 1728. En 1732, il devient maitre un art et diplômé à Paris. Jusqu'en 1740, il va mener une vie de bohème, faite d'expédients qui lui permettent de survivre puisque son père ne veut pas l'entretenir

Alors Adimante intervint : Que répondras-tu, Socrate, si l'on te dit que tu ne rends pas ces hommes fort heureux, et cela de leur faute? En réalité la cité leur appartient, et ils ne jouissent d'aucun des biens de la cité comme d'autres qui possèdent des terres, bâtissent de belles et grandes maisons qu'ils meublent avec une magnificence appropriée, font aux dieux des sacrifices domestiques, offrent l'hospitalité, et, pour en venir à ce que tu disais tout à l'heure, ont en leur possession de l'or

Si on ne remplit pas sa déclaration fiscale à temps, on devra payer des intérêts de retard mais étrangement, aux yeux de la loi, autant la Cour de cassation que le Conseil d’état ont estimé en avril 2002 qu’il ne s’agissait pas d’une sanction tant que ça restait raisonnable. Nous pouvons donc nous interrogé sur les avantages et les dangers de se faire attendre. Nous verrons dans un premier temps les avantages de se faire attendre pour comprendre dans un deuxième temps les dangers qui y sont liés

Devoir de philosophie , dissertation. Sujet : Que puis-je savoir d’Autrui ? On définit généralement autrui comme un alter ego , c’est-à-dire un autre moi-même qui n’est pas moi mais qui n’est pas un simple objet de me représentation. Je ne peux pas faire l’expérience des vécus d’Autrui, mais je partage avec autrui le fait de dire « je ». Que puis-je savoir d’Autrui ? Dans un premier temps nous pouvons savoir ce que l'on découvre : à force d'observer, de côtoyer quelqu'un on peut finir par

mai pour démissionner à la suite de ces conversations. Coty adresse alors un message au parlement le 29 mai pour l’informer qu’il a décidé de faire appel « au plus illustre des français » pour constituer un Gouvernement. Le plus important, c’est que René Coty, chef de l’Etat, menace de démissionner si le gouvernement du général De Gaulle n’est pas investi. Comme il n’y a pas d’autre pôle de stabilité que le chef de l’Etat il s’attend à une sagesse des parlementaires. Les 30 et 31 mai, le général

Fiche : Article « Philosophe » Introduction : Le texte que je vais aujourd’hui analyser est l’article « Philosophe » écrit par César Dumarsais et extrait de L’Encyclopédie. Cette œuvre une véritable représentation des idéaux des Lumières : tolérance, égalité et liberté. Elle cherche à la fois à abolir l’obscurantisme du peuple français au 18e siècle, en rassemblant tout les connaissances de l’époque, mais aussi à critiquer divers aspects de cette société, surtout à travers un système de renvois

Être soi-même c'est avoir conscience de soi et agir en conséquence. C'est donc avoir une parfaite connaissance de soi et savoir pourquoi l'on agit comme on agit. Ne pas être soi-même, c'est l'inverse : agir en contradiction avec notre soi, on agit pas en fonction de nous mais en fonction d'autrui, de la situation, de ce que l'on attend de nous. Peut-on savoir qu'on est autre chose que soi-même si notre identité nous est inconnue (en partie) ? Est-ce qu'on peut vraiment faire la différence entre

Peut on penser par soi-même sans se soucier de ce que pensent les autres ? La pensée est à la fois quelque chose d'évident et pourtant tellement précieux;c'est elle qui fait la richesse de chaque individu. Devrions nous penser par nous-même sans s'ouvrir aux pensées des autres ? Nous savons tous que la mise en commun d'idée et de savoir aboutit à un enrichissement personnel et donc un enrichissement commun,cependant sommes-nous capable de nous soucier de ce que pensent les autres sans penser

John Locke IDENTITÉ ET DIFFÉRENCE Essai sur l’entendement humain, Livre II, Chapitre xxvii [Trad. Étienne Balibar, revue par G. Brykman, Seuil, 1998] § 1. En quoi consiste l’identité. Une autre occasion pour l’esprit de faire des comparaisons lui est offerte par l’être même des choses, lorsque, considérant qu’une chose existe à un certain moment et à une certaine place, nous la comparons avec elle-même existant à un autre moment, et formons de là les idées de l’identique et du différent

Conscience → « Cum scienta », avec le savoir, connaissance qu'à l'homme de ses pensées, sentiments et actes. → Immatérielle, mais réel → Immortel → au-delà ? (métaphysique) → Subjective: sensibilité différentes aux exigences universelles et de la raison → Potentialité: Capacité rendu possible grâce à une aide extérieure, une puissance. → Donnée 2nde dans notre existence (= 5 sens) dans le monde contemporain. Car selon Descartes, le monde de la pensée est une donnée 1ère (point de départ conscience)