René Char Le Prisonnier

organisée autour de Vercingétorix. César combat Vercingétorix. Il doit défaire cette résistance. Vercingétorix se rend au siège d'Alésia en 52 et est jeté dans une prison (« prison Mamertine »), où il restera 7 ans : en 45 av JC, il est attaché au char de César qui triomphe à Rome. Cette bataille d'Alésia est importante puisqu'elle marque la romanisation de la gaule jusqu'à la chute de l'Empire Romain d'Occident en 476. On emploiera le terme de gallo-romain à la suite de cette conquête. LE

LAUNAY, Georges MAILHOS : Introduction à la vie littéraire du XVIII° siècle, avec la collaboration de Claude Cristin et Jean Sgard, Paris : Bordas, 1984 - Nicole MASSON : Histoire de la littérature française du XVIII° siècle, Paris : Champion, 2003 - René POMEAU ; Jean EHRARD : Histoire de la littérature française de Fénelon à Voltaire, Paris : Garnier-Flammarion, 1984 * Quelques « classiques » de la littérature (tous en format de « poche ») On lira de manière privilégiée les œuvres des auteurs étudiés

fille promet à Corto une très forte somme d’argent : « il vous couvrira d’or » (l. 7). b. Corto ne répond pas à cette attente. Comme Corto est lui-même pirate, il ne peut trahir Raspoutine ; tout ce qu’il peut faire, c’est protéger les deux jeunes prisonniers. Corto p. 70 Peu avant sa mort, Hugo Pratt décida de se tourner vers le roman : l’ouvrage est paru pour la première fois, en Italie, en 1995, l’année même de sa mort. Pour ce roman tout simplement intitulé Corto Maltese, Pratt reprend l’aventure

nous », comme le regrettait Sainte-Beuve48) si bien qu’il est très difficile de s’en détacher et que nous sommes englués, fascinés, « béants d’horreur » (p. 332) à l’image des Barbares devant « Moloch ». Salammbô est un texte dont le lecteur est prisonnier. Ce ne sont pas les images en elles-mêmes, pour pénibles qu’elles soient, qui font souffrir ; c’est le fait que l’auteur nous oblige à les regarder. Si l’on cherche des analogies avec Sade, c’est peut-être dans cette direction qu’il faut aller.

Je ne sais plus » G. F. Kersting, La Brodeuse C. Baudelaire, « Parfum exotique » Exercices d’approfondissement 1 A. de Lamartine, Méditations poétiques, « L’isolement » 2 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Paysage » 3 F.-R. de Chateaubriand, René 4 Pétrarque, Canzoniere, « En retournant en Italie » 5 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de mai » 6 L. G. Damas, Névralgies, « Quand bien même » Prolongements Séquence 10 Romantisme et engagement F. de Goya, Le 2 mai 1808 V. Hugo, Les Orientales

dans la procession des Grandes Panathénées. Ils représentent la participation de la jeunesse aristocratique : faisant le tour de tous les temples et de toutes les statues se trouvant sur l’Agora, ils se dirigent ensuite vers l’Acropole. Comme le char portant le péplos, ils doivent s’arrêter au pied de la rampe de l’Acropole, la fin du trajet s’effectuant à pied. Bœuf pour le sacrifice et Porteurs d’eau pour les besoins du sacrifice La procession s’achève par un gigantesque sacrifice. Les animaux

discours, ses ma-nières, ses relations ; et Deslauriers l’engagea fortement à cultiver cette connaissance. Frédéric, dans ces derniers temps n’avait rien écrit ses opinions littéraires étaient changées : il estimait par des-sus tout la passion ; Werther, René, Frank, Lara, Lélia et d’autres plus médiocres l’enthousiasmaient presque éga-lement. Quelquefois la musique lui semblait seule capa-ble d’exprimer ses troubles intérieurs ; alors, il rêvait des symphonies ; ou bien la surface des choses l’appréhendait

de Christophe Colomb au travers de sa description des Indigènes (p. 312 ES/S et Techno / p. 314 L/ES/S). L’admiration qu’il montre pour leur beauté et celle du décor dans lequel ils vivent tient davantage à sa représentation du paradis terrestre. Prisonnier de sa culture, il ne peut expliquer ce monde inconnu qu’en le référant à sa religion et à la civilisation européenne dans un ethnocentrisme présent à chaque ligne. Incapable de voir la différence, il ne perçoit que la dégradation et la corruption

celle aussi qui fait dire à Amphitryon Je doute quije suis,je me perds, je m'ignore, Moi-même je m'oublie et ne me connais plus 3. Le Moi se confirme, mais sous les espèces de l'Autre l'image spéculaire est un parfait symbole de l'aliénation. Prisonnier de son image, Narcisse se fige dans une immoLu Sosiu, Acte V, Scène 4Le Miroir _bonll. 3. Les Sosies, Acte IV, Scène 4I. 2. 2.2 COMPLEXE DE NARCISSE bilité inquiète, car il se sait à la merci du moindre écart, qui, en supprimant son reflet

race de maîtres géants à la peau blanche qui, des siècles plus tôt, descendaient du ciel avec des disques volants. Ces derniers avaient régné longtemps et promis de revenir..." (Le Livre Jaune N° 5, Editions Félix) D'après Anne Givaudan, le "Char d'Ezéchiel" est un objet matériel. Les Aelohim étaient des êtres de chair mais ils sont une manifestation de la Puissance divine. Leur mission a un caractère spirituel. "Les arrivées des êtres d'outre espace sur Terre ont débouché sur des unions