Repentance

donc dans les programmes scolaires), la spécificité du sort des Juifs est mentionnée : port de l'étoile jaune, déportation et surtout extermination. Lors du 53e anniversaire de la rafle du Vel d'Hiv, le président Jacques Chirac inaugure l'ère de la repentance pour la mémoire officielle de la Shoah : il reconnaît pour la première fois la responsabilité de l'État français dans la déportation de 76 000 Juifs, notamment la responsabilité de la police et de la gendarmerie. Il multiplie les faits et les chiffres

à l'égard des Juifs. Les présidences de J. Chirac (1995- 2006) ont permis d'engager un devoir de mémoire à l'égard des victimes du génocide. Dans le sillage de l'Etat, l'Eglise, la police, la SNCF ont, à leur tour, demandé pardon et fait acte de repentance. La mémoire de la seconde guerre mondiale en France a connu une évolution qu'il est nécessaire de présenter. A la Libération de Gaulle, qui dirige le Gouvernement Provisoire de la République (de juin 1944 à janvier 1946), fonde la légitimité

a qui estiment que cette loi, non seulement n'est point confirmée par les Saintes Écritures, mais qu'elle y est grande­ment affaiblie, en ce que les pécheurs y sont menacés d'une mort éternelle après cette vie, lorsqu'il n'y a plus de lieu à la repentance, ni de prétexte à l'exemple. Quelques-uns répondent à cette objection, en disant que Dieu n'étant astreint a aucune loi, peut rapporter tout à sa gloire; ce qui n'est pas permis aux hommes. Mais il semblerait par là, que Dieu serait bien désireux

l'esprit - Parler en langues * Fin des temps - Se préparer à l'enlèvement * La Croix - Puissance pour l'esprit, l'âme et le corps * Eglise et ministères - Dons spirituels * Amour - Service - Communion fraternelle * Le Salut - Repentance - Pardon * Marche par la foi - Persévérance - Consécration * Couple - Famille * Appel du Seigneur * Victoire sur le péché - Sanctification * Séductions - Fausses doctrines * Souffrance - Guérison des maladies - Rejet

militaire dans les conditions de guerre". Personnage majeur de la bataille d'Alger en 1957, le général Aussaresses - dont les premières révélations sur les tortures, en novembre 2000, avaient suscité un vif débat en France - se refuse à "tout acte de repentance". Il estime avoir "à peu près tout dit" et "prends le risque" d'une action en justice. "Un procès ne me fait pas peur. Je redirais exactement ce que […] j'ai écrit dans mon livre". Il explique que la torture, pratiquée couramment par la police

de sa situation se pose en bon ce qui fait de son maître le mauvais; un mauvais qui non seulement voit en son esclave le bon, mais aussi le responsable de son état. Cette responsabilité fautive du maître entraîne une culpabilité qui a besoin de repentance. Après avoir pensé l’origine de la morale, puis des valeurs, Nietzsche donne du sens aux idéaux ascétiques. Cet idéal pour lui referme toutes les fictions que la morale et la connaissance ont pu produire jusqu'à présent. Par lui l’homme trouve des

du stade infantile originel de la conscience morale, lequel continue d’exister parallèlement à la « conscience morale » du surmoi : le destin remplace le parent ; un malheur signifie qu’on n’est plus aimé : quand il survient on s’incline dans la repentance devant cette puissance que dans le bonheur on prétendait négliger. « Au début la conscience morale (plus exactement, l’angoisse qui devient plus tard conscience morale) est certes cause du renoncement pulsionnel, mais plus tard le rapport s’inverse

though he constantly promised his attorney to let him have closer information as to Trenchard’s whereabouts, in good time. This information was, however, always postponed, perhaps because Aldobrand hoped he might get better and so repent of his repentance. (p. 244) De même, les villageois de Moonfleet viennent toujours sans hésitation à la rescousse des naufragés dont les navires se brisent sur les récifs au large du village, mais leur altruisme n’est peut-être pas aussi désintéressé qu’il paraît

pêche au lac. Cette volonté dans le comportement de Darcy est mise en avant dans le film, par le fait qu’il se déplace le soir-même à l’auberge pour inviter les Gardiner et Elizabeth à Pemberley le jour suivant. Dans le cas d’Elizabeth, même si sa repentance ne se transforme pas immédiatement en reconnaissance, le passage chaotique suivant la lecture de la lettre montre d’abord sa détermination à en refuser le contenu « his belief in her sister’s insensibility, she instantly resolved to be false ».

intérieur de Razkolnikov est matérialisé dans le dialogue composé entre l’étudiant et l’officier, les voix qui luttent en lui, après le crime, sont incarnées dans les personnages de Sonia et de Svidrigaïlov. La première représente la voie de la repentance, de la résurrection morale de Razkolnikov, et le second, l’abandon de tout principe moral et l’assomption des conséquences de l’amoralisme. Il y a deux longs dialogues-duels entre Razkolnikov et Sonia au cours desquels sont discutées l’idée du sacrifice