Replonges

I- IDENTIFIER LES EXTRAITS Premier extrait identifié page 181, chapitre XI Se rendant compte de son impuissance devant cette guerre sans fin contre les monstres marins, le narrateur est replongé dans des souvenirs de jeunesse. Il revoit une scène ou son tuteur l'oblige à voir la personne sans son enveloppe .Il se rend compte qu'Aneris peut pleurer et rire donc que ses semblables pourraient penser et peut être pactiser. Deuxième extrait identifié page 48, chapitre IV

l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas, Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne Comme dans le désert le sable et la citerne ; Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants ! Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ; J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ; Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas, Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ; Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ; Ils ont jeté sur

sur lui-même, se regarde sans indulgence, et commence à percevoir une lumière : serait-il encore possible qu'Isa et lui retrouvent le chemin d'un bonheur commun? Une nouvelle tentative d'extorsion de fonds menée par ses enfants et petits-enfants replonge Louis du côté de la haine, et il part pour Paris, décidé à retrouver un fils illégitime issu d'une maîtresse, afin d'en faire son héritier unique. La première partie s'arrête à ce moment. La deuxième partie n'est plus une lettre à Isa, mais

période de grande fragilité émotionnelle, qui combinée à la solitude précédemment démontrée explique le bouleversement mental à venir. La seule manière que trouvera le subconscient Étienne de se délivrer de ce chagrin lourd à supporter est de se replonger dans une nouvelle transe psychotique, qui porte le nom d’Alex Salvail. Cette perte de contact avec la réalité débuta lorsqu’il cesse de penser à Manon et commence à rêver : « Mon réveil indique trois heures du matin. L’heure habituelle de mes angoisses

prend des tons énervé , froid ou suppliant pour convaincre Bajazet. Elle est agitée et fais de nombreux gestes. Bajazet quand à lui est très calme, il répond froidement à Roxane. Quand celle ci s'en va le frère du sultan s’assoit dans le lit et replonge dans sa rêverie. Roxane en remontant l'escalier croise Acomat et lui parle de manière froide et résignée. Acomat entre dans la chambre et essaie de convaincre Bajazet . Celui ci est en retrait et répond avec un œil morne et vide. Atalide entre et

d'en haut, tantôt l'homme d'en bas,  Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne  Comme dans le désert le sable et la citerne ;  Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants !  Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants  Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ;  J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;  Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas,  Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ;  Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;  Ils ont jeté

récit d’une même situation vécue par deux personnes peut être relaté de manières différentes suivant la façon dont elles l’ont ressenti. On peut dire que nos souvenirs sont subjectifs car ils nous sont propres. L’auteur a donc parfois besoin de se replonger dans sa vie passé afin de se rappeler des événements tel qu’il se sont passé et non tel qu’il s’en souvient, il est tout de même difficile pour une personne de relater un événement personnel en toute objectivité. Jean-Jacques Rousseau dans « le

Misère de la Kabylie qui fait un grand bruit. Il est finalement contraint de quitter l'Algérie car son journal fait scandale et est interdit par les autorités. En 1940, il arrive en France, précisément à Clermont-Ferrand Ferrant où l'écrivain se replonge dans le journalisme. C'est à cette époque qu'Albert Camus rédige L’Étranger et le Mythe de Sisyphe. Fidèle à ses engagements, il entre dans la résistance. Gallimard publie ses deux œuvres en 1942 et 1943 et les lecteurs voient des similarités avec

insiste sur le côté magique, royal, immaginaire au passage. Ainsi que le description des édifices publics qui se fait avec toujours autant de surprise : tout est décrit dans la beauté de la richesse et de la magie. 3. La rencontre qui replonge Candide dans la réalité est celle qu'il fait avec Martin. Le passage qui montre que Candide se détache de l'enseignement de Pangloss est le suivant : " - Ô Pangloss ! s'écria Candide, tu n'avais pas deviné cette abomination; c'en est fait, il faudra

et la médiocrité « Hémon ne doit plus pâlir quand je pâlis, s'il ne doit plus me croire morte quand je suis en retard de cinq minutes, [ …] alors je n'aime plus Hémon » (p. 93). Elle veut rester jeune et ne semble heureuse que lorsqu'elle se replonge dans ses souvenirs d'enfance avec Ismène : « Une fois, je t'ai attaché à un arbre et je t'ai coupé tes cheveux, beaux cheveux » (p. 22) ou encore avec sa Nourrice qui lui fait oublier sa peur : « Voilà, je n'ai plus peur. Ni du méchant ogre, ni du