Répression politique

Le fascisme (en italien fascismo) est un mouvement politique italien apparu en 1919. Très utilisé, le terme a par la suite pris un sens beaucoup plus large, notamment pour désigner dans leur ensemble, durant les années 1930, les mouvements politiques ayant eu en commun des thèmes et des représentations politiques avec le mouvement italien. Le terme même vient du mot « fascio » (« faisceau ») désignant le rassemblement des fusils au repos ou l'attribut du licteur dans la Rome antique1. Au sens strict

de la IV° République en France (52-58) * De 52 à 54 une majorité de centre droite conduit une politique de droite sur le plan économique te financier, il pratique l’anticommunisme et la rigueur sociale. * Divisée sur la question de la Communauté Européenne de défense elle s’effondre après la défaite de Diên Biên Phû. * Le gouvernement Mendès France lui succède et tente une politique moderniste mais s’effondre après 7 mois * En 56 le pouvoir est aux républicains (centre-gauche) qui

des débats ». Le marais : entre les deux, les députés indécis, le tiers-parti, centriste indispensables à la vie parlementaire. Tout le jeu politique consiste donc à faire passer le marais dans son camp. 4- Oppositions et difficultés : des temps difficiles Au début de la monarchie, en 30-35, elle apparait comme un régime fragile. Oppositions politiques : Anciens ultras n’ont jamais accepté l’usurpateur, ils défendent la légitimité du petit fils, fils posthume du duc de Berry, et forment autour

majeure à la politique algérienne de la France, qui se terminera, par l’indépendance de 1962. Ramené à l’essentiel, la journée du 13 mai pourrait se résumer en quelques lignes: A Alger, une foule composée des partisans de l’Algérie Française envahit les bâtiments du gouvernement général et impose l’instauration d’un comité de Salut Public. Aussi on peut se demander comment un évènement tel que celui-ci a pu faire vaciller un régime? En effet la crise aurait put être résolue, la répression de l’armée

ses propres règles de décision. Les acteurs "libres de souveraineté" de ce monde multicentré sont les entreprises multinationales, les minorités ethniques, les gouvernements locaux, les bureaucraties, les associations professionnelles, les partis politiques et les organisations transnationales… Individuellement, et parfois ensemble, ils entrent en compétition, sont en conflit, coopèrent ou interagissent réciproquement avec les acteurs "contraints par la souveraineté" du monde statocentré. Ce phénomène

que la conscience morale; pour beaucoup, voler le fisc n'est pas considérée vraiment comme un vol. 2-Les causes politiques Si les contribuables sont enclins à tenter d'échapper au prélèvement fiscal, c'est souvent en raison d'une politique qu'on a appelé parfois le fiscalisme. Cette politique consiste à utiliser le prélèvement comme instrument d'une politique sociale ou d'une politique économique 3-Les causes économiques Les considérations économiques ne sont pas étrangères à la fuite devant l'impôt

é« Misère du débat sur « l’insécurité » » de Laurent Mucchielli (2002) * Résumé du texte : Depuis 1994, nous assistons à une explosion médiatique de la délinquance. La principale cause de cette médiatisation est dû au fait que la politique se sert du perpétuel sentiment d’insécurité des français. Les médias mettent donc en avant de simples faits divers en les transformant en criminalité quotidienne afin de cacher certains problèmes bien plus conséquents. Et les amalgames ne sont pas

corruption et le trafic d’influence au regard du droit belge. p. 5 1. Introduction p. 5 2. La corruption publique p. 5 1. La corruption passive p. 6 2. La corruption active p. 9 3. La répression de l’infraction p. 10 - Les différentes peines p. 11 - La tentative de corruption p. 11 - La participation à l’infraction p. 11 - La prescription p. 11 3. La corruption privée

d’ignorances E. Les causes administratives IV. CONSEQUENCES DE LA CORRUPTION A. Au plan politique B. Au plan économique C. Au plan social V. STRATEGIES DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION A. Cas du Burkina 1. Les mesures préventives 2. Les mesures de détection 3. Les mesures de répression B. Les limites de la stratégie 1. La dépendance

en 1936 Introduction La seconde République, qui s’autoproclame dans sa constitution « République des travailleurs » (ou « des professeurs »), ne représente pas en 1931, à la suite des élections du 14 avril, qu’un simple changement de régime politique, on passe de la monarchie d’Alphonse XIII doublée de la dictature de Primo de Rivera à une république. Celle-ci, présidée par Niceto Alcalá Zamora (1877-1949), va supposer également l’adoption d’un ensemble de réformes économiques, sociales, éducatives