Reproduction Sexuée Chez Les Angiospermes

des étamines. Les étamines sont la partie mâle (qui libère du pollen), et le pistil la partie femelle (qui reçoit le pollen). Pourtant, il existe certaines plantes comme le pistachier ou le kiwi chez qui les fleurs ne sont pas hermaphrodites : elles sont soit mâles, soit femelles. On dit qu'elles sont sexuées (les scientifiques parlent de fleur gonochorique). D'autres plantes comme l'avocatier ont des fleurs successivement mâles et femelles, on parle alors d'hermaphrodisme successif. La fleur hermaphrodite

Division Méiotique 6 III. L’HITOLOGIE/ANATOMIE (2eme SEMESTRE) 6 IV. LA REPRODUCTION (polycopie) 6 IV.1 MULTIPLICATION OU REPRODUCTION VEGETATIVE 6 IV.1.1 Chez les Thallophytes 6 IV.1.2 Chez les Cormophytes 6 IV.2 REPRODUCTION SEXUEE 6 IV.2.1 Reproduction chez les Algues 6 IV.2.2 Reproduction chez les Champignons 7 IV.2.3 Reproduction chez les Bryophytes 7 IV.2.4 Reproduction chez les Ptéridophytes 7 IV.2.5 Reproduction chez les Spermaphytes (Phanérogames) 7 B. TRAVAUX PRATIQUES 7 C. TRAVAUX DIRIGEES

fleur présente une architecture commune constituée de pièces stériles et fertiles. Cet appareil clé de la reproduction sexuée des Angiospermes participe à la grande diversité des individus de ce groupe. QUESTION : Montrer comment, grâce à leurs différentes pièces florales, des individus parentaux peuvent produire une descendance génétiquement variée, lors de la reproduction sexuée. Vous rédigerez un texte argumenté. On attend des expériences, des observations, des exemples pour appuyer

l'apparition des descendants . Caractéristiques générales des êtres vivants ? (communes aux animaux et végétaux) 1- Unité de base 2- Environnement → énergie et matériaux 3-Changements, réactions 4-Reproduction, transmission des gènes 5-Adaptation-Evolution Caractéristiques spécifiques rencontrés chez les végétaux ? Au niveau cellulaire 1-paroi 2-cellulose 3-plastes 4-peroxysomes,glyoxysomes 5-Golgi peu développé Au niveau de leur mode de vie 1-synthèses (autotrophes,chlorophylle) 2-immobilité

possède deux types de pétales : les pétales, reconnaissable avec leur petit traits marron chez cette �eur, et les sépales qui n’ont pas ces traits. Ces deux types de pétales suivent une disposition très rigoureuse. Chez la �eur étudiée, les 3 pétales qui sont vers le cœur de la �eur sont les pétales, en revanche les 3 autres qui sont le plus éloignés sont les sépales.1.b - La formation des graines Chez les Angiosperme, la fécondation des plantes doit être engendrée par le déplacement de pollen d’une plante

gènes de développement : Eyeless, Small eye et Aniridia. Les séquences de ces gènes sont disponibles dans anagène (dossier sauv Gène dvpt oeil.thm) Chez la drosophile, certaines mutations du gène eyeless produisent des individus sans yeux. On décrit des mutations semblables dans le gène "small eye" chez la souris, et dans le gène "Aniridia" chez l'Homme, qui causent des anomalies comparables (petits yeux et absence d'iris). Que pouvez-vous dire sur la fonction de ces trois gènes ainsi que sur

gymnospermes contre 20 000 environ au cours du Jurassique (il y a 160 millions d'années). Les forêts de résineux forment aujourd'hui une large ceinture autour de l'hémisphère Nord (Europe, Scandinavie, Canada, Alaska,...). • LES ANGIOSPERMES Les angiospermes, plantes à graines contenues dans un fruit, se divisent en deux classes : ← les monocotylédones (à un cotylédon), dont les palmiers font partie, sont très peu utilisées en industrie en raison de leurs structures ; leur emploi

d'après leur mode de reproduction sexuée. 1° Les fleurs des arbres. Elles prennent des aspects divers : a) celles des résineux sont en forme de cônes, ex. : le pin, b) celles des feuillus sont complètes, ex. : l'érable, - ou incomplètes, ex. : le chêne. 2° Les graines dites les « ovules » sont : - nus chez les résineux (Gymnospermes), - enfermées dans un espace clos chez les feuillus (Angiospermes). 3 LES

grande diversité de leurs cycles de reproduction. Certains sont très évolués. Les différentes variantes du cycle fondamental (cf introduction) sont quasiment toutes représentées. (En fait, entre une algue primitive et une algue évoluée, il y a probablement plus de distance qu’entre une Ptéridophyte et une Angiospermes). Les algues sont des thallophytes (plantes à thalle) chlorophylliennes (usuellement), de morphologie très variable. Leur taille varie de 1 µm (chez les Ostreococcus tauri, Chlorophycée

conditions de vie dans et hors de l’eau. C’est pourquoi sont présentées les Préphanérogames, « groupe intermédiaire » qui, en prenant le relais des Ptéridophytes, ont réalisé l’ovule (ou prégraine), étape essentielle dans l’évolution de la reproduction sexuée et du cycle de développement. Dans cette septième édition, un cahier de huit pages en couleur a été introduit afin d’apporter plus de précisions sur les diverses structures citées dans le texte. Les données évolutives ont été revues et précisées