République socialiste de Roumanie

Il s'engage en politique aux côtés des radicaux socialistes. Avant la première guerre mondiale, il évolue progressivement vers le centre en entrant au gouvernement en 1906 changeant de portefeuille jusqu'en 1913 date à laquelle il quitte le gouvernement pour créer le Parti Républicain démocratique. Au début des années 20, il est l'un des personnages phare de la politique française. En effet il occupe les plus hautes responsabilités de la République (plusieurs fois président du Conseil et plusieurs

7 au 10 juin 1979 Première élection au suffrage universel direct du Parlement européen. Ses députés, qui étaient issus auparavant des parlements nationaux, ne siègent pas par délégations nationales mais par groupes politiques paneuropéens (socialistes, conservateurs, libéraux, verts…). Son influence ne cesse de croître. Séance du Parlement européen. ———— En Pologne, les ouvriers des chantiers navals de Gdansk, emmenés par Lech Walesa, se mettent en grève pendant l’été 1980 pour obtenir

lui-même, au moins par l’intermédiaire de représentants qu’il désigne. Cette domination est si complète LE 13 POUVOIR POLITIQUE que les régimes dictatoriaux ne peuvent éviter de recourir aux consultations populaires (Chili de A. Pinochet, Roumanie de N. Ceaucescu). Ces consultations, témoignant fréquemment d’un soutien quasi unanime ou même unanime de la population, semblent des mascarades. Mais d’un autre point de vue, elles attestent de la nécessité dans laquelle se trouvent les gouvernants

froide (1943-1945) Conférence de Yalta : février 45, n’est pas un partage du monde ; irréversibilité de ce qu’a obtenu l’URSS : garanties en Tchécoslovaquie, gouvernement yougoslave d’obédience C, Armée rouge aux portes de Berlin, armistices Hongrie, Roumanie… « Déclaration sur l’Europe libérée » : prévoit des élections libres dans pays libérés par Alliés => ne stoppe pas la vague pro-C Conférence de Potsdam : 17 juillet – 2 août 45, fixe l’organisation de l’occupation en Allemagne, Staline en position

contrée (néanmoins, il est fort probable que de très petits contingents roms circulent en Europe dès le XIIe siècle). Au XIVe siècle, des récits attestent pour la première fois de leur présence à Constantinople, en Crète, en Serbie, en Bohême, en Roumanie... Au siècle suivant, ils continuent d'avancer vers l'ouest. L'Empire byzantin en accueille un grand nombre dès le début du XIVesiècle, sous le nom d'Atsinganos ou de Gyphtos. L'Empire est traversé par les pèlerins occidentaux se rendant en Terre

La Cinquième République I. La mise en place de la Ve République 1. L'arrivée de De Gaulle au pouvoir Le 13 ami 1958, une émeute éclate à Alger après l'annonce de la nomination d'un nouveau président du Conseil favorable à des négociations avec les indépendantistes algériens, Pierre Pflimlin[1]. Un Comité de salut public, dirigé par des généraux français, est formé à Alger et réclame le retour de De Gaulle au pouvoir. En effet, de par son statut de militaire, il apparaît, aux yeux des Pieds-noirs

durant la Révolution de Velours. Un nouveau gouvernement non communiste est formé le 10 décembre. Puis c’est au tour de la République socialiste de Ceausescu de disparaître, mais la révolution en Roumanie ne se fait pas sans violence. En 1990, c’est la réunification de l’Allemagne. En Pologne, un président prend ses fonctions le 21 décembre. En Yougoslavie, les différentes républiques organisent leurs premières élections libres, mais les communistes restent au pouvoir en Serbie et au Monténégro. En décembre

développé le "complexe de l'encerclement" et veut former un bloc. Tous ces pays comme la Roumanie, la Hongrie, la Pologne ou la Tchécoslovaquie deviennent rapidement des démocraties populaires. Tous ces états doivent signer des traités qui renforcent leurs liens militaires avec Moscou. En 1949 la signature du CAEM ( Comecon en Anglais) , Conseil d'Assistance Economique Mutuelle, offre aux pays du bloc socialiste une aide économique soviétique pour contrebalancer l'aide américaine. On essaye donc d'intimider

les citoyens des moyens d'existence. Si ce pays ne peut nourrir toute la population, les noncitoyens devront être expulsés du Reich ». Cité dans Walter HOFFER, Le Nationalsocialisme par les textes, PLON, 1963 1. NSDAP : le parti national-socialiste ouvrier allemand (parti nazi). DOCUMENT 4 EXTRAIT DU COMMUNIQUÉ FINAL DE LA CONFÉRENCE DE YALTA (11/02/1945) « (…) II Occupation et contrôle de l'Allemagne Nous nous sommes mis d'accord sur la politique commune et les plans communs

27 Etats depuis janvier 2007 : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, la Bulgarie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume Unie, Slovénie, Slovaquie, Suède.  Etendue du territoire et population (env. 738 millions) lui donne du poids à l’échelle mondiale.  Grande diversité culturelle.  Communauté passée de 6 à 27 membres entre 1957 et 2007.  Plusieurs