Répudiation

instances judiciaires et sans avis de la femme ; il lui suffisait pour cela d aller devant deux notaires (« Aduls ») et qu’il prononce la phrase de répudiation (=talak talat) Réforme de la Moudawana : L’homme a toujours droit a la répudiation mais désormais sous contrôle judiciaire avec un juge qui donne un délai de réconciliation allant de 2 a 3 mois (=répudiation n est pas définitive (Art.82)), passer ce délais le divorce est prononcé. L’homme doit dans ce cas fournir une pension avancée, avec le reliquat

 La dissolution du mariage Causes de dissolution volontaire : Il y a le repudium et le divorcium. Dans l’ancien droit romain, on parle surtout de répudiation, et ce dernier n’appartient qu’au mari, la femme ne peut pas dissoudre l’union. C’est le mari qui peut en décider, mais que pour des motifs graves et le motif le plus grave, c’est l’adultère de la fin, ou pour des crimes de la femme, cette dernière peut être répudiée par le mari. Si le mari répudie la femme sans motifs, il y a des sanctions

6. ==================================================================== PLAN: Introduction: I. Les éléments constitutifs de la condition féminine : a. L’infériorité de la femme b. Les châtiments et les brimades c. La polygamie d. La répudiation II. L’Injustice sociale III. L’émancipation des filles (Femmes) Conclusion : ==================================================================== INTRODUCTION : Outre le fait qu’elle soit maman, la femme joue un rôle fondamental dans l’espace

* Les mariages civils - Les mariages faits à l'étranger sont reconnus par la nouvelle Moudawana, à condition que deux témoins au moins soient musulmans. * La répudiation - Elle est soumise à l'autorisation préalable du juge. Auparavant, c'était un droit exclusif du mari, ce qui n'est plus le cas et la simple lettre de répudiation établie devant un responsable religieux ne suffit pas non plus. * Le divorce - La femme peut dorénavant demander le divorce et les conditions de demande sont assouplis

d'autres épouses. Le mari a besoin de l'autorisation du juge avant d'épouser une seconde femme. Mariages civils - Les mariages faits à l'étranger sont reconnus par la nouvelle moudawana, à condition que deux témoins au moins soient musulmans. Répudiation - Elle sera soumise à l'autorisation préalable du juge. Avant, c'était un droit exclusif du mari. Divorce - La femme peut demander le divorce. Avant, le juge n'acceptait la demande que dans le cas exceptionnel où l'épouse présentait des preuves

droits civiques, doivent porter le voile car ce port du voile s'impose comme unique solution à la perversité féminine. Egalement, dans la religion juive, la femme n'a généralement pas accès au rabbinat (sauf quelques exceptions), le divorce et la répudiation sont permis mais découragés, l'avortement est autorisé s’il met la vie de la mère en danger ou si elle ne peut pas assumer son enfant, la contraception et la polygamie sont interdites. II. La femme dans le monde du travail III. La femme

Sarah B. Pomeroy, ''Goddesses, Whores, Wives and Slaves'', Schoken, 1975, p. 64-65.</ref>, il peut être obtenu par consentement mutuel ou sur l'initiative de l'un des conjoints. Quand il est demandé par le mari, il prend la forme d'une [[répudiation]] : il suffit au mari de renvoyer sa femme du domicile conjugal, sans qu'il lui soit besoin de se justifier. En pratique, la [[dot]] constitue un frein puissant : lorsque le mariage est dissout, la femme récupère sa dot — sauf en cas d'[[adultère]]

est ce que le peuple veut. -Imperium : puissance absolue de commandement. -Conubium : capacité juridique (pour le mariage) -Pubertas : âge requis (pour le mariage) -Consensu : consentement (pour le mariage) -Divortium / repudium : divorce / répudiation.

principalement ses racines dans le mot ‘’répudiation ‘’. La répudiation, par définition, désigne effectivement une prise de décision unilatérale à l’initiative du mari visant à mettre un terme au lien matrimonial. Cette forme de rupture se distingue ainsi par son aile discriminatoire vis-à-vis de la femme et se présente sous deux formes : la répudiation révocable qui peut voir la femme regagner son foyer si le mari reconsidère sa positon et la répudiation irrévocable qui met un terme définitif au

dissolution du mariage La dissolution du mariage en droit marocain revêt différentes formes, l’actuel code de la famille tout en retenant la possibilité de mettre fin aux relations conjugales à l’initiative de l’époux institution qui correspond à la répudiation du droit musulman et du code du statut personnel il a toutefois soumis cette dissolution à une procédure judiciaire assez rigoureuse d’où l’appellation divorce sous contrôle judiciaire. S’il n’a pas reconnu à l’épouse la possibilité de mettre