Requisitoire Pollution

sommes confrontés chaque jour à la destruction et au gaspillage que les activités humaines engendrent : nous mangeons, nous circulons, nous nous lavons, nous prenons des médicaments, tout cela provoque de la destruction, de la contamination et de la pollution autour de nous. Les abeilles nous montrent une autre manière de procéder avec la nature, dont nous pouvons nous inspirer : elles fabriquent de l’or – le miel, qui est à la fois une nourriture et un soin –, elles répondent à tous leurs besoins

administration fiscale. Elle est rattachée au ministère du budget puisqu’elle perçoive des recettes destinée à l’Etat. Elle a une mission de protection et de sécurité, elle s’occupe des biens culturels et coopère à l’international et elle lutte contre la pollution marine. Elle contrôle les flux de marchandises et informe sur les échanges extérieur en élaborons des statistiques du commerce extérieur et elle est concernée par toutes les formalités de dédouanement. Le document permettant de dédouaner un produit

………………………………………………………………………….… 17 4.3 Technologie de l’information et des communications (TIC) ……………………………... 17 4.4 Technologies de fabrication ……………………………………………………………....…. 18 5. Environnement environnemental ………………………………………………………..………. 18 5.1 La pollution ………………………………………………………………….…………..…….. 18 5.2 Les matières premières ………………………………………………….…………….…….. 19 5.3 La biodiversité ……………………………………….……………………………..…….…… 21 5.4 La démographie …………………………..…………………………………………….…….. 22 Conclusion ………………………………………………………………

puissant, le pays ne peut pas se développer. C - Les limites de la croissance * Le constat : la poursuite de la recherche d’une croissance non maîtrisée fait courir à l’ensemble de la planète des risques majeurs : - Risques écologiques : pollution (ex : marées noires aux Etats-Unis, accidents des centrales nucléaires comme Tchernobyl en 1986, explosion d’usines comme AZF à Toulouse en 2008), épuisement des ressources naturelles - Risques sanitaires : conséquences à long terme de certaines

environnementales et aux évolutions climatiques comme la dégradation de la vie planétaire due à la pollution, au réchauffement climatique ou aux activités de l’homme. Cette utilisation du mot vient de la naissance des mouvements écologiques dans les années 1960, qui prennent en compte les actions de l'Homme sur son environnement afin d'en limiter les conséquences négatives et destructrices : pollution, destruction des écosystèmes, effet de serre, réchauffement de la planète, déforestation et autres

qui peuvent être consommés simultanément par plusieurs individus, tel que l’éclairage public dans la rue) et des effets externes (la production d’un agent influe positivement ou négativement sur un autre agent non-impliqué tel que l’effet de la pollution). Ils essayent « d’internaliser » (ou « marchandiser ») ces effets externes à des marchés afin de réduire le rôle de l’Etat. Aujourd’hui on parle beaucoup de la notion de développement durable afin de préserver au mieux la planète pour les générations

et à la mise en œuvre des buts et principes énoncés aux Articles premier et 2 de la Charte, Tenant compte des problèmes affectant de nombreux cours d’eau internationaux qui résultent, entre autres, de l’accroissement de la consommation et de la pollution, Convaincues qu’une Convention-cadre permettra d’utiliser, de mettre en valeur, de conserver, de gérer et de protéger les cours d’eau internationaux, ainsi que d’en promouvoir l’utilisation optimale et durable au bénéfice des générations actuelles

souffre. L’Homme a un besoin vital d’eau : il l’absorbe, l’utilise pour des activités domestiques, industrielles, agricoles, de loisirs, pour la production d’énergie… Nous constatons donc que l’utilisation de l’eau entraîne sa pollution. Et chaque usage entraîne une pollution spécifique. Donc, pour éviter de trop salir le milieu naturel au moment du rejet de l’eau dans la rivière, il faut la dépolluer afin que chacun puisse l’utiliser suivant la qualité qui lui est nécessaire (eau potable au robinet

pays a été considérable pour augmenter le nombre d’hectares cultivables face à la pression démographique. Le bois est une matière première indispensable au quotidien des ruraux africains. Quant aux citadins, ils doivent gérer le développement de la pollution industrielle (villes d’Afrique du Nord surtout) mais aussi celle liée aux déchets ménagers qui polluent les nappes phréatiques. L’eau est une ressource rare et précieuse dans l’Afrique sèche et les sécheresses successives (années 1970) ont fait avancer

années 1920 comme un progrès en termes de mobilité et de confort, l'automobile a fait l'objet de critiques importantes tant dans ses conséquences environnementales (utilisation d'énergies non renouvelables, augmentation du taux de décès accidentel, pollution atmosphérique et sonore) que sociales (individualisme, obésité, impact sur l'aménagement du territoire). Son emploi est venu concurrencer les modes de transport collectifs comme les tramways en ville ou le train pour les trajets interurbains. Au