Réséda

dans le zoom Chapelle Planquette 19 91 92 Hôpital Clemenceau Cimetière Jardin Veyret 98 Cosec G. Mocquet ’Hy ères 103 La Ruytèle 103 Moulin Premier 103 Mauvanne St-Nicolas e de ut Ro Chemin Long Av. A.Camus Résédas Lycée du Coudon Ortolan Ampère Beaulieu Gavary Mocquet Tir à l’Arc Ponant Thouar Debussy SteMusse Nouveaux Logis rau 1 SteJeanne d’Arc Hameau Bernard 29A zoom détaillé ci-dessus La Baronne Gendarmerie La Poterie Cimetière

SOLANGE, ‬à ‬genoux et très humble.‬‬‬‬‬‬‬ Je désire que Madame soit belle.‬‬‬   CLAIRE, ‬elle s’arrange dans la glace.‬‬‬‬‬ Vous me détestez, ‬n'est-ce pas ? ‬Vous m'‬écrasez sous vos prévenances, ‬sous votre humilité, ‬sous les glaïeuls et le réséda. ‬(‬Elle se lève et d'un ton plus bas.)‬ ‬On s'encombre inutilement. ‬Il y a trop de fleurs. ‬C'est mortel. ‬(‬Elle se mire encore.)‬ ‬Je serai belle. ‬Plus que vous ne le serez jamais. ‬Car ce n'est pas avec ce corps et cette face que vous séduirez

SAUVAGES 2 rue de la République ROSELLA 54 rue de la Charité FLEURS DE NOS 6 rue Vaubecour JARDINS ANAIS 12 place Jean-Macé LA GENTIANE 52 place Carnot FLEUR DE LYS 25 rue S. Brissy CHARDON D'ARGENT(LE)71 cours de Verdun COQUELICOT (LE) 8 rue Joliet RESEDA (LE) 12 square Carnot AU CHENE-LIEGE 9 place Bellecour AMARYLLIS 67 montée de Choulans FLEURS DE ROCAILLE 10 rue Saint-Jean AU LISERON 18 rue Jean-Moulin ASTERIE 9 rue de la Poste ROSE DES SABLES (LA) 89 montée du FLEURETTE Funiculaire FLORE DES MARAIS

PETITE FILLE. Pas du tout. Il a fleur et fleur. Le phlox va bien mal sur Thyeste. TROISIEME PETITE FILLE. Et le réséda sur Cassandre. LE JARDINIER. Vont-elles se taire ! La fenêtre avec les roses, étranger, est celle de la piscine où notre roi Agamemnon, le père d’Electre, glissa, revenant de la guerre

mm, 5 W * passage renforcé dans le plafond tendu | | | 4/ Texture et couleurs : a- Les reflets laqués : |  02012 Gris clématite |   |  02016 Gris ombelle |   |  02014 Gris jasmin |   |  02011 Blanc lys |   |  02024 Jaune réséda |   |  02015 Beige arum |   |  02013 Beige magnolia |   |  02021 Beige dactyle |   |  02032 Brun roseaux |   |  02033 Brun noisetier |   |  02031 Brun pomme de pin |   |  02041 Noir tulipe |   |  02081 Bordeaux pivoine |   |  02083

la brume de vos marécages ? SOLANGE, à genoux et très humble. Je désire que Madame soit belle. CLAIRE, elle s'arrange dans la glace. Vous me détestez, n'est-ce pas ? Vous m'écrasez sous vos prévenances, sous votre humilité, sous les glaïeuls et le réséda. (Elle se lève et d'un ton plus bas.) On s'encombre inutilement. Il y a trop de fleurs. C'est mortel. (Elle se mire encore.) Je serai belle. Plus que vous ne le serez jamais. Fragonard, Le Verrou, 1774-8 

L'Espoir Malraux y dénonce la guerre civile espagnole et soutient le Front populaire (contre Francisco Franco). Il défend des idées de gauche. ⇒ Poètes de la résistance à l'origine du surréalisme : Paul Éluard - "Liberté" ; Louis Aragon - "La Rose et le Réséda". ⇒ Boris Vian - "Le Déserteur" Poème sur la dénonciation de la guerre d'Indochine, adressé au président de la République français de l'époque afin de montrer sa lâcheté : René Coty.Ce poème est une chanson antimilitariste qui écrite sous forme

la brume de vos marécages ? SOLANGE, à genoux et très humble. Je désire que Madame soit belle. CLAIRE, elle s'arrange dans la glace. Vous me détestez, n'est-ce pas ? Vous m'écrasez sous vos prévenances, sous votre humilité, sous les glaïeuls et le réséda. (Elle se lève et d'un ton plus bas.) On s'encombre inutilement. Il y a trop de fleurs. C'est mortel. (Elle se mire encore.) Je serai belle. Plus que vous ne le serez jamais. Fragonard, Le Verrou, 1774-8 

lettre à Mélinée de| | | | |Manouchian. | |séance 15 |Dire un poème en chœur parlé  |« La rose et le réséda » de Louis Aragon (p.236 |Les élèves se répartissent avec le plus de pertinence| |oral | |manuel Français Livre Unique 3ème Hatier) ou |possible les vers qu’ils diront en alternance ou en | |

la brume de vos marécages ? Solange, à genoux et très humble. Je désire que Madame soit belle. Claire, elle s’arrange dans la glace. Vous me détestez, n’est-ce pas ? Vous m’écrasez sous vos prévenances, sous votre humilité, sous les glaïeuls et le réséda. (Elle se lève et d’un ton plus bas.) On s’encombre inutilement. Il y a trop de fleurs. C’est mortel. (Elle se mire encore.) Je serai belle. Plus que vous ne le serez jamais. Jean Genet, Les Bonnes, 1947. Éditions GALLIMARD. « Tous les droits