Résistance aux herbicides

céréales et Niébé ; - La lutte intégrée contre les plantes parasites du genre Rhampicarpa sur le riz de bas-fond ; - La phytopathologie des cultures maraîchères ; - La lutte intégrée contre les ravageurs du Niébé ; - Les tests herbicides. - ➢ Potentialités du laboratoire des recherches zootechniques vétérinaires et Halieutiques (LRZVH) Le LRZVH vise la mise au point de technologies pour aider à lever les principales contraintes qui freinent le développement

la résistance des petits paysans, des hommes de main à la solde des grands propriétaires entament des mesures d'intimidation : destruction des récoltes, incendie des maisons voire assassinat. Les recours à la police ou à la justice sont les plus souvent infructueux. Les meurtriers ne sont que rarement inculpés et les commanditaires ne sont pratiquement jamais inquiétés. b - La modernisation des plus grosses exploitations Les subventions aux intrants (engrais, insecticides, herbicides...)

utilisant des OGM. Certaines personnes pensent que ces organismes génétiquement modifiés risquent de contribuer à la perte de biodiversité ou que leur capacité de résistance aux herbicides peut être transmise à des espèces sauvages. Cela poserait des problèmes, car, comment lutter contre des pousses indésirables résistantes à tout herbicide ? Et pour les plantes résistantes aux parasites : combien de temps faudra-t-il aux insectes pour s'adapter ?    L'agriculture influence la qualité de l'eau

Engrais. Substitut/complément du fumier et du lisier - Phytosanitaires. - Herbicides. Substitut de la rotation des cultures et du hersage. - Fongicides, suite à l’accroissement de la contamination par les champignons. - Pesticides, suite aux pullulations dues à la forte régression des insectes prédateurs privés d’habitat. - Sélections de variétés et hybridations, pour accroître résistance et qualité des variétés. - Drainages, assèchement des zones humides. - Suppression

influencent directement les propriétés chimiques du sol, la croissance des racines, la nutrition minérale et les populations des nuisibles. Ces facteurs influencent à leur tour la viabilité, la variabilité des agents pathogènes et la susceptibilité ou la résistance de l’hôte. Les pratiques culturales spécialement mise en ?uvre comme mesure de contrôle des agents pathogènes comprennent l’enfouissement profond de l’inoculum des agents pathogènes dispersés par les sclérotes et autres structures de repos, le retournement

sont apparus vers 1930 : Engrais. Substitut/complément du fumier et du lisier Phytosanitaires. Herbicides. Substitut de la rotation des cultures et du hersage. Fongicides, suite à l’accroissement de la contamination par les champignons. Pesticides, suite aux pullulations dues à la forte régression des insectes prédateurs privés d’habitat. Sélections de variétés et hybridations, pour accroître résistance et qualité des variétés. Drainages, assèchement des zones humides. Suppression des haies, ruisseaux

ce domaine, on manque encore d'études épidémiologiques. Les paramètres concernant les pesticides et produits apparentés Souvent due à l'utilisation de produits destinés à la lutte contre les parasites, les insectes ou comme herbicides, la présence de pesticides et des produits apparentés dans l'eau est limitée à des doses infimes, à titre préventif pour la santé. La règlementation fixe à 0,1 microgramme/l la concentration maximale par substance individuelle et

des marchés locaux. Les bonnes pratiques agricoles consisteront à: • Sélectionner les cultivars et les variétés (la réaction à l’époque des semis ou des plantations, la productivité, la qualité, les chances d'écoulement sur les marchés, la résistance à la maladie et au stress, l’adaptabilité édaphique et climatique, et la réaction aux engrais et aux produits agrochimiques) • Alterner les cultures de façon à optimiser l’utilisation du travail et du matériel et à maximiser les bénéfices biologiques

- 90 % d’araignées en plus et une grande diversité d’espèces. Les sols bio-cultivés ont donc une place de choix dans l’activité agricole de demain. Leur haute teneur en matière organique leur assure une structure plus robuste, donc une meilleure résistance à l’érosion, ainsi qu’une meilleure porosité, donc une capacité de rétention d’eau plus élevée. Cette dernière caractéristique permet aux cultures de mieux résister à la sécheresse, et on a ainsi pu démontrer que dans certains cas, la production

l’hégomine mondiale des grandes entreprises agroalimentaires américaines (Coca-Cola, PepsiCo, McDonald’s, Starbucks) est le produit du leadership américain. 7• En pratique, les modèles nationaux sont difficilement substituables, voire font de la résistance. Ainsi, en Afrique, la consommation d’insectes est commune (chenilles, scarabées) dans certaines régions. Malgré des apports nutritionnels réels, la diffusion massive d’insectes semble peu probable. Comme dirait l’anthropologue Claude Lévi-Strauss