Résistance thermique de conduction

Figure 7 : Chronologie des principales actions 18 Figure 8 : Carte de zonage climatique du Maroc adaptée aux besoins du RGC PE 25 Figure 9 : Types d’isolants 30 Figure 10 : Applications des isolants thermiques 31 Figure 11 : Les ponts thermiques 32 Figure 12 : Thermographie 32 Figure 13 : Isolation thermique (intérieure et extérieure) 33 Figure 14 : Ouvertures de ventilations et ouvrants 33 Figure 15 : Conduits de ventilation naturelle 33 Figure 16 : Principes du chauffage solaire passif 34 Figure 17

. . 4.4 Bruit dans les composants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.1 Densité spectrale de puissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2 Les types de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.1 Bruit thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.2 Bruit de grenaille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.3 Bruit en 1/f . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.4 Bruit en créneaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.3 Bruit

ou défini, montre les limites d’une approche purement théorique du calcul d’un réacteur d’oxydation de SO2 en SO3. II.1.4 Méthode de résolution Les modèles évoqués précédemment sont basés sur des équations de bilan matière et thermique. Ces derniers sont en général sous forme des équations différentielles aux dérivées partielles et leur résolution nécessite des méthodes d’analyse numériques à calcul itératif. Les méthodes de RUNGE-KUTTA sont des méthodes d'approximation de

la partie centrale RE R1 (loin des points caractéristiques qui sont la saturation et le ve blocage). L’amplificateur représenté à la figure A.1 est un montage en émetteur commun non découplé. La polarisation impoFigure A.1 Montage en sée par les résistances R1 et R2 donne un point de repos N classe A : émetteur situé « vers le milieu » de la droite de charge statique du commun non découplé montage. Le rendement d’un amplificateur classe A est inférieur à 25 %. On utilise donc souvent ce genre d’amplificateur

en fusion du noyau est presque deux fois plus dense que les silicates du manteau. Cette discontinuité marque la frontière entre les mouvements de convection rapides du noyau liquide et ceux, très lents, du manteau. C’est aussi un lieu d’échanges thermiques et chimiques importants. Les observations sismologiques indiquent que cette interface ondule avec une amplitude maximale de trois kilomètres autour d’une surface moyenne, qui forme une sphère aplatie au pôle (le rayon y est inférieur de neuf kilomètres

partie centrale RE R1 (loin des points caractéristiques qui sont la saturation et le ve blocage). L’amplificateur représenté à la figure A.1 est un montage en émetteur commun non découplé. La polarisation impoFigure A.1 Montage en sée par les résistances R1 et R2 donne un point de repos N classe A : émetteur situé « vers le milieu » de la droite de charge statique du commun non découplé montage. Le rendement d’un amplificateur classe A est inférieur à 25 %. On utilise donc souvent ce genre

les élèves ont pu voir que les valeurs des longueurs d’onde de la lumière visible s’étendent de 400 nm à 800 nm. Les élèves ont également appris à caractériser les différents spectres d’émission : d’une part, les spectres continus d’origine thermique et émis par un corps à une température donnée ; d’autre part, les spectres de raies émis par un gaz chauffé. Pour ce dernier point, le spectre de raies d’un gaz ne contenant qu’un seul élément chimique constitue une carte d'identité de cet élément

utilisant les propriétés semi-conductrices de certains matériaux pour amplifier les signaux. Remplaçant les tubes à vide, le transistor deviendra l’élément de base de l’électronique moderne. Le terme transistor provient de l’anglais transfer resistor (résistance de transfert). Il a été sélectionné par un comité directeur de vingt-six personnes des Bell Labs le 28 Mai 1948 (mémo 48-130-10), parmi les différents noms proposés suivants : semiconductor triode, surface states triode, crystal triode, solid triode

4.4 Bruit dans les composants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.1 Densité spectrale de puissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2 Les types de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.1 Bruit thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.2 Bruit de grenaille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.3 Bruit en 1/f . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.4 Bruit en créneaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.3 Bruit

surface rugueuse que présente le PS entraine une augmentation de vitesse de recombinaisons en surface [13-14]. Plusieurs solutions ont été proposées pour passiver la surface du PS telles que : l’oxydation thermique rapide (RTO), la nitruration [15], l’anodisation et la carbonisation thermique [13-14]. Ces traitements sont efficaces en terme de passivation de surface cependant, ils s’effectuent sous des conditions relativement critiques, particulièrement les recuits à haute température, qui conduisent