Rester Fidele

là aussi, suffit-il de s’appuyer sur une autorité pour discerner le bien et le mal ? Ce qui constitue encore par excellence une référence traditionnelle sur le plan des critères du bien et du mal pour la conscience commune, c’est la religion. Le fidèle d’une confession religieuse voit la loi morale comme une loi sacrée. Antigone, dans la pièce de Sophocle, revendique le caractère sacré de la loi morale, contre les impératifs posés par Créon, l’autorité politique. Créon avait interdit d’ensevelir

en quoi Renoir reste fidèle, structurellement, thématiquement et symboliquement à la nouvelle de Maupassant, bien que le passage d'un langage à l'autre, du récit à l'image, implique nécessairement un certain nombre de transferts, de métamorphoses, inhérents à la transposition. Puis, on mettra en évidence la part créatrice de Jean Renoir, et l'on montrera comment il a su insuffler à la nouvelle naturaliste une atmosphère bien à lui. PROPOSITION DE PLAN I. Une reprise fidèle A) Jean Renoir conserve

En effet, le clergé va être renouvelé, les fidèles vont être plus encadrés et de nombreux ordres et dévots vont voir le jour, afin de renforcer la foi catholique dans les villes et campagnes du territoire. Enfin, le mouvement de sécularisation qui se met en place au XVIIIe siècle va réduire l’influence

aussi, suffit-il de s’appuyer sur une autorité pour discerner le bien et le mal ?       c) Ce qui constitue encore par excellence une référence traditionnelle sur le plan des critères du bien et du mal pour la conscience commune, c’est la religion. Le fidèle d’une confession religieuse voit la loi morale comme une loi sacrée. Antigone, dans la pièce de Sophocle, revendique le caractère sacré de la loi morale, contre les impératifs posés par Créon, l’autorité politique. Créon avait interdit d’ensevelir

problématique, nous allons voir dans un premier temps que ces modifications peuvent assurer sa permanence mais dans un second temps, cela peut conduire à sa destruction et que finalement, dans troisième temps, malgré ses modifications, un mythe peut rester fidèle à sa version originelle. Certes, un mythe peut assurer sa permanence grâce aux modifications apportées par son auteur. En effet, l'auteur peut actualiser son récit afin de le mettre aux ''goûts du jour'' afin qu'il plaît aux lecteurs

là aussi, suffit-il de s’appuyer sur une autorité pour discerner le bien et le mal ? c) Ce qui constitue encore par excellence une référence traditionnelle sur le plan des critères du bien et du mal pour la conscience commune, c’est la religion. Le fidèle d’une confession religieuse Pour l’homme-vital qui ne cherche que la satisfaction du plaisir immédiat, les mots bien et mal ont une consonance gênante. Il aimerait pouvoir profiter de l’existence, sans qu’on lui dise que ceci ou cela est mal, en

tout le monde se retrouve. L’Église affirme sa domination en construisant une autorité parallèle au pouvoir temporel des rois : Pouvoir temporel : Roi (limité dans le temps) Pouvoir spirituel : religion Sur le plan politique le contrôle des fidèles (ensemble des chrétiens) se heurte au pouvoir des rois. Seule l'Espagne échappe à ce conflit d'autorité car il n'est pas contrôlé par les chrétiens. Europe médiévale chrétienne : Un espace géographique visible au XII° siècle : limité par l'expansion

aussi, suffit-il de s’appuyer sur une autorité pour discerner le bien et le mal ?     c) Ce qui constitue encore par excellence une référence traditionnelle sur le plan des critères du bien et du mal pour la conscience commune, c’est la religion. Le fidèle d’une confession religieuse voit la loi morale comme une loi sacrée. Antigone, dans la pièce de Sophocle, revendique le caractère sacré de la loi morale, contre les impératifs posés par Créon, l’autorité politique. Créon avait interdit d’ensevelir

puis tout entreprendre : votre Ilion encor peut sortir de sa cendre ; je puis, en moins de temps que les grecs ne l’ont pris, dans ses murs relevés couronner votre fils. ». Andromaque souhaitant rester fidèle à son mari est troublée entre laisser la vie sauve à son fils et épouser Pyrrhus ou rester fidèle à son mari mais délaisser son fils. Mais la fidélité d’Andromaque à son mari défunt déçoit Pyrrhus ce qui engendre des conséquences V.695 « J’abandonne son fils. Que de pleurs vont couler ! De quel

d’avoir une vie surnaturelle. Hector, « privé de funérailles ». Andromaque veut conserver le souvenir de son mari « dois-je oublier Hector » → forme interrogative, pour lui rendre hommage, à défaut de funérailles : « sans honneur ». * Elle veut rester fidèle à son mari défunt * « dois-je oublier » → anaphore Dois-je →devoir conjugal qu’elle s’impose Oublier →insistance sur le souvenir * Image fortes « ensanglantant l’autel qu’il tenait embrassé » →référence b) Andromaque est Troyenne :