Resume Sur La Mercantiliste

droit subjectif Cycle Licence Domaine des SJES&Gestion 9 S1M7 : Langues et Terminologie I - Révision grammaticale; - Habiletés de lecture: identifier la structure logique du texte, - Evaluation de l’information : faits et opinions, - Résumé et commentaire - Principaux concepts d’économie - Principaux concepts de gestion - Principaux concepts des méthodes quantitatives SEMESTRE 2 S2M1 : Macroéconomie II - Demande agrégée - Offre agrégée - Niveau général des prix - L’équilibre

Chapitre 1 : la théorie classique de la spécialisation (Smith, Ricardo et post-Ricardiens) Introduction Les trois conceptions de la richesse des nations et de l’échange international : 1) l’analyse mercantiliste : La richesse est monétaire, elle n’est pas réelle. Dans la pensée mercantiliste le commerce est profitable si les pays arrivent à avoir des surplus d’exportation (une balance commerciale excédentaire). Ils vont avoir des entrées d’argent (or et argent à l’époque qui provoquaient un

des dénominations. Par exemple les finances publiques, on peut se demander dans quelle mesure on peut rattacher ces finances publiques à l’économie publique. C’est le terme « publique » qui pose les problèmes. Est-ce que l’économie publique doit se résumer à l’économie de l’Etat ? On peut aussi rattacher au terme public la notion collective. On peut aborder l’économie publique en faisant des statistiques et en tirant les conclusions pour aborder des théories, des principes généraux. On est dans une

richesse des états. 3 formes de mercantilisme : → le mercantilisme à la Harpagon (stérile), → le mercantilisme à l'Anglaise (dégage des excédents extérieurs) → et le mercantilisme à la française (glorieux mais mauvaise fin) Les idées mercantilistes : → Population nombreuse (ayez des enfants) → Interventionnisme : l'Etat doit être important et puissant. Essence étatiste → Pré-quantitativisme : plus il y a de monnaie en circulation, plus les prix augmentent et à valeur égale. La physiocratie :

un certain nombre de valeurs. Ce mode de production est pensé parallèlement à une série de principes, ceux du libéralisme. Dès le 19ème siècle, l’individu devient la figure centrale de la société mais aussi de l’économie. Rappelons l’héritage mercantiliste des principes libéraux : l’enrichissement devient une véritable valeur et le marchand est reconnu. L’espagnol Ortiz s’était ainsi donné pour logique de rechercher l’accumulation maximale de métaux précieux. Par la suite, les libéraux ont réclamé

théoriques et de tous les auteurs qui en parlent (en lettres majuscules) ; • actualité du sujet ; • annonce de la problématique et du plan adopté. 2.—- La conclusion Elle est absolument nécessaire. La conclusion n'est pas un résumé. La bonne conclusion est le résultat, le bilan d'une analyse qu'il convient d'éclairer et d'expliquer. On peut y noter d'autres cheminements qui auraient pu être empruntés ; voire les conclusions différentes qui auraient été tirées. Si c'est possible

Les nombreuses références données par l’auteur permettront de mieux approfondir les thèses fournies par l’auteur. Résumé du livre : Le capitalisme a subi de nombreuses mutations depuis sa création, de nouvelles méthodes, organisations se sont développés ayant entraîné une redéfinition du capitalisme où la question de la place de l’Europe peut être encore débattue. Résumé des chapitres Introduction Le capitalisme du XXème siècle s’est bâti sur la grande firme industrielle mais la

1 :L’analyse classique  La doctrine mercantiliste se fondait sur une relation biaisée du commerce international, en mettant en avant le principe selon lequel l’un ne gagne que ce que l’autre perd. Il en résulte d’une part qu’obligation est faite au souverain d’assurer le maximum d’avantage possible et d’autre part des entraves au développement aux transactions libres. La doctrine libérale s’est efforcée en revanche, à démanteler la thèse mercantiliste en prônant la théorie de la spécialisation

Objectif : abolition des classes sociales Les Mercantilistes sont favorables à l’intervention de l’Etat qu’ils jugent nécessaire à l’enrichissement de la Nation, aussi bien en France que dans les pays européens. CCL : Les courants de pensée sont liés entre eux soit par une filiation soit en totale rupture. Tout est relatif. Il faut une certaine ouverture d’esprit car les points de vue sont différents. Partie I : SECTION 1 : Les Mercantilistes. Courant dominant en Europe (XVIè au XVIIIè

Deuxième révolution industrielle : Electricité, pétrole, automobile moteur combustion, chemin fer, chimie Troisième révolution industrielle : Nucléaire, énergies renouvelables, NTIC Keynes Epoque actuelle B. Les grands repères de l’HPE. Les mercantilistes (Jean BODIN). Les physiocrates (François QUESNAY). Les classiques (SMITH, SAY, RICARDO, STUART MILL ). K.MARX : Livre I du Capital.(1867) La première école néo-classique : JEVONS,MARSHALL. La seconde école néo-classique : SCHUMPETER, VON HAYEK